Chapitre 15 : A qui appartient cette voiture ?
Ils déscendent tous les deux. Elliot entre dans la cuisine et commence son manège. Macaréna quand à elle reste au seuil pour le regarder faire. Elliot trouve cela bizzare qu'elle reste dehors, c'est c'est comme si elle avait peur.
-Alors viens m'aider. Tu vas laver les légumes ou éplucher l'oignon.
-Désolée, je ne peux pas.
-Quoi tu ne peux même pas !! Quel genre de fille es-tu ?
-Ne me saoul pas, stp, avec tes questions, je ne peux pas un point est trait. Je ne suis pas obligée de cuisiner dans ma vie pour manger. Et je ne suis pas comme les autres filles de mon âge car je n'ai pas eu leur chance, ok ?
-Macaréna, de quoi as-tu peur ? Je peux t'aider.
-Haha, m'aider moi ?? Non, personne ne pourrait. Je te laisse, je vais passer un appel.
Elliot se met à réfléchir sur son comportement mais ne sais quoi dire, alors il continue la préparation.
Il chauffe l'eau, quelques temps après verse les spaghettis.
Après cuisson, il met la purré de tomate, des oignons coupés et quelques épices, puis ajoute la viande finement hachée, du sel et quelques ingrédients secerts puis attends que tout soit bien mijotés. En moins de quinze minutes, le repas est prêt. Il revient au salon et trouve Macaréna devant la télévision avec une mine boudeuse. Il s'approche et l'enlace par derrrière suprenant elle se laisse faire. Elliot l'embrasse dans les cheveux.
Ils ont mangé sans rien se dire. Elle ramasse les plats et les donne à Elliot pour qu'il les lave. Celui-ci sourit puis seccoue la tête. Assise dans le salon, Macaréna décide de parler.
-Elliot, merci, le repas a été super et tu cuisine très bien, j'ai bien adoré.
-Heureux que ça t'as plu.
-Huumm. Tu sais, j'ai perdu mon père quand j'avais huit ans un accident de voiture. Quelqu'un a trafiqué les friens de sa voiture. Mon père était inspecteur de police. Il faisait bien son travail. Ma mère est une, je ne sais quoi dire, une espione, un truc dans ce genre. Elle aussi a été assassinée quand j'avais treize ans.
-Je suis désolé, comment est-elle morte ?
-Poignarder plusieurs dans la cuisine. Donc je n'ai pas eu cette chance que vous avez d'être éduqué par une mère. Seul mon oncle m'a élevée avec ses enfants.
-C'est pour cela tu as peur de rentrer dans une cuisine ?
-Oui, je ne veux pas revivre ces souvenirs attroces.
-Ok, tu dois voir un psychologue pour t'aider.
-Pas besoin, je vais bien et merci je vais me coucher à demain.
-Oui, dors bien, en cas de bésoin, fais signe.
- Compris.
Comme toujours, Macaréna a une horloge naturel,,donc déjà à six heures elle se réveille, brosse les dents avec les nouveaux effets qu'Elliot lui a remis la veille. Elle attache ses cheveux et descend. Quant à Elliot, il dressa la table pour le petit-déjeuner. Il avait préparé un bon café, pressé du jus d'orange, des pains grillés quelques tranches de jambon et fromage accompagné des fruits.
-Intéressant, tout ça pour nous deux ?
-Oui, bien sûr comme je suis un gentleman, c'est mon devoir de te nourrir.
-Oui, c'est ça, un gentleman. Merci quand même, je suis affamée.
-Ok, bonne appétit.
-Merci. Après je dois rentrer chez moi. J'ai laissé ma sœur et mon frère seuls.
-Comme tu veux, ta voiture est dans mon garage.
Dès qu'elle finit son repas, elle s'en va. dans le garage pour récupérer sa voiture suivie d'Elliot. Ses yeux sculpent tous les voitures jusqu'à ce qu'elle remarque une seule voiture. L'unique voiture qui peut la conduire à l'assassin de sa mère. Elle marche pour bien vérifier le numéro et c'est pareil. C'est le même. Qu'est-ce que ça veut dire ? Elliot serait l'assassin. Mais non il n'a que vingt cinq ou vingt six donc impossible. Elle se tourne vers lui pour lui demander le propriétaire de la voiture.
--A qui appartient cette voiture ?
-C'est à ma mère, cela fait un moment qu'elle la dépose chez moi. Elle te plaie ?
-Pas vraiment, c'est ue ancien modèle datant de dix ou onze ans si je ne me trompe.
-Oui, c'est ça, tu es une experte là dedans.
-Pourquoi ce BR ?
-Au fait ma mère et le père d'Ellène, celui que tu avais rencontré à ce dîner de gala, ont une petite entreprise. Ils confectionnent des bijoux et voitures pour exporter dans d'autres pays. Et très souvent ils personnalisent certains pour leur propre utilisation. D'où les initiales BR. Comme leur nom, Benjamin et Rosamonde.
-Je vois, bon, je dois partir maintenant.
-Macaréna que t'arrives-t-il ? tu as l'air pâle.
-Rien, merci pour tout.
Macaréna s'en va et roule à vive allure. Pour elle, c'est un signe enfin. Et là il se pourrait que la mère de l'homme qu'elle commence à aimer soit la meurtrière de sa mère. Non, ce n'est pas possible.
Elle se rend immédiatement au cimétière. Arrivée, elle se met à genoux en pleurant.
-Maman, papa, que dois-je faire si c'est vrai. Et moi ? Je veux rendre justice. Mais je sais très bien ce que je ressens pour Elliot. Je dois faire taire mes sentiments. Je vous promets qu'ils vont tous le payer. Même si je dois sacrifier mon amour, je le ferais. Je vous le jure. Alors mon seul moyen est de me raporocher de cette famille. Cela ne me plaît pas d'utiliser Elliot mais je ne pas d'autres choix. Et pour ce Benjamin on verra. Vos ames reposeront en paix bientôt, je vous en fait la promesse.
Elle se lève puis rentre chez elle tout en réfflechissant comment se venger d'eux.
Elle rentre chez elle, prend une douche puis s'endort. Ce n'est que la sonnerie de son télephone qui la fit sortie de son rêve ou cauchemar je pense.
