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Chapitre 3 : Est-ce bien une coïncidence ?

Mariah Ségal !

Le nom français de Catherine est en fait Mariah ?

Les yeux de Nicholas s’élargissent étonnement :

— N’y a-t-il pas de photo sur Catherine ?

— Non, le Groupe H&J la protège avec une grande discrétion, J’ai déjà essayé tous les moyens mais je n’y arrive pas. On dit que c’est une très belle femme.

Il est difficile pour Terry d’imaginer que le désigner de voiture qui fait une telle sensation dans le monde est en fait une femme ! En plus une très belle femme !

Ce n’est pas normal.

Quelle femme serait intéressée par les voitures ?

Nicholas ne pense pas au doute de Terry. Il contemple le nom de Mariah sur le dossier pendant un moment long. Ses yeux plissent légèrement que l’on ne voit pas clairement ses émotions, tandis que ses doigts tapotent inconsciemment sur la table, un par un bien en rythme, ce qui rend l’ambiance du bureau un peu stagnant.

— M. Leroy ...

— Prépare bien, je vais la chercher à l’aéroport.

Nicholas parle enfin, ses yeux brillent d’une lumière inhabituelle.

Mariah !

Ce nom est exactement le même, est-ce vraiment une coïncidence ?

Il y a 5 ans, Personne n’a trouvé le cadavre de Mariah dans l’incendie. La police déclare que puisque le feu est tellement intense, peut-être le cadavre est déjà brûlé en poudre, mais Nicholas ne veut toujours pas croire sa mort.

Maintenant cette Catherine s’appelle aussi Mariah !

Il est pressé de la voir.

Terry est un peu stupéfait, car au cours de cinq ans, il est rare de voir Nicholas aller chercher quelqu’un à l’aéroport lui-même. Mais ça dure juste un instant, il réagit rapidement et sort pour tout arranger.

Quand la voiture arrive, le vol de Catherine vient d’atterrir.

Mariah tirant sa valise, sort de la sortie de contrôle de sécurité. Elle a des cheveux bouclés et bruns, une taille parfaite et les traits charmants, son apparition attire immédiatement toutes les attentions de l’entourage. Quant à le petit garçon accompagné de son côté est en vêtement décontracté, son visage est très tendre, des cils longs clignent là-dessus, il est tellement mignon que l’on a envie de le pincer. Il porte une casquette à l’envers, une sucette dans la bouche, derrière Mariah sans presse. bien qu’il ait l’air décontracté, ses beaux yeux minces font peur aux gens de l’approcher.

— Adrian, on est ici à la Cité Marine, pas aux États-Unis, arrête ton regard arrogant, rapproche-toi.

A l’égard de ses expressions, Mariah n’y peut rien, elle se sent en même temps un peu regrettable.

Adrian se conduit de plus en plus comme Nicholas.

Parfois elle est obligée de bien reconnaître la puissance de gène, néanmoins elle préfère que son fils lui ressemble plus.

— Maman, qu’est-ce qui ne va pas ?

Adrian hausse innocemment les épaules, ayant l’air malin.

Mariah secoue la tête avec un sourire doux, pousse son front d’un doigt et dit :

— Ne me fait pas de caprices avec ton visage menteur, tu es mon fils, je te connais comme ma poche. Je te préviens, à propos de notre retour à la Cité Marine, il te faut rester sage et ne fait pas de bêtises, tu comprends ?

— Rassure-toi, tu reviens pour le travail, moi, je veux juste voir l’endroit où maman est grandie, je ne vais pas faire d’autre chose. Maman, je suis ton fils ! Pourquoi tu me surveilles comme si je suis un adversaire.

Adrian a l’air mécontent et fait la moue.

Mariah caresse sa tête affectueusement :

— Tu as toujours plein d’idées, il faut que je te prévienne. Allez-y, sortons de l’aéroport, j’appellerai plus tard à Lucine, on passera chez elle pour quelques jours.

— D’accord.

Adrian sourit comme un ange, il tient la main de Lucine et ils se dirigent vers dehors.

Tout à coup, il aperçoit une silhouette familière.

Cette personne lui ressemble beaucoup, avec un tempérament tel indifférent qui le touche malgré leur distance.

Cet homme doit être Nicholas ?

C’est son père que l’on le dit toujours ?

Adrian jette un coup d’œil à Mariah discrètement, voyant qu’elle cherche encore le numéro sur téléphone, il étreint le ventre.

— Aïe, maman, j’ai mal au ventre, je dois aller aux toilettes !

A l’entente de son crie, Mariah le regarde, Adrian étreint le ventre et son visage devient tout rouge, de plus ses jambes se frottent comme s’il ne peut plus se retenir.

— Je t’accompagne.

En disant, Mariah veut le porter dans ses bras, mais il s’en va en courant.

— Maman, ce n’est grave, j’en peux plus, tu m’attends au dehors, je reviendrai tout de suite.

Adrian sort d’une vitesse d’un sprint.

En lui voyant comme ça, Mariah secoue affectueusement la tête, puis elle téléphone.

— Allô, Lucine, c’est moi Mariah, je reviens.

Lucine est sa vieille amie, elles sont toujours en communication au cours de cinq ans, maintenant Lucine est enseignante d’école maternelle, à l’écoute du retour de Mariah, elle est très contente.

— Quand tu es arrivée ? Je demande la permission pour te chercher, tu es à l’aéroport ?

Lucine est tellement contente.

— Ne vient pas me chercher, je suis revenue avec Adrian, on prendra un taxi pour rentrer chez toi.

Mariah marche en parlant, sans voir l’homme devant elle, et se heurte dans ses bras.

— Excusez-moi, je suis au téléphone.

Mariah lève la tête pour s’excuser, mais elle se fige en voyant l’homme.

C’est lui !

Nicholas !

Comme le monde est petit !

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