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Chapitre : 05

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J'ai été au marché comme convenu, j'ai pris le soin de payer tout ce qui restait à payer et tout ce que je devrais payer en supplément. De retour à la maison, j'ai pris le soin de préparer le riz pour la famille. Les filles de ma patronne étaient vraiment canons, elles ressemblaient trait pour trait à leur mère.

Il sonnait exactement vingt-trois heures lorsque je me suis endormie, la fatigue qui pesait sur moi était tellement forte que je ne pouvais m'empêcher de dormir. J'étais là, en train de voyager vers un autre monde lorsque soudain, j'ai senti la présence de quelqu'un, pour moi, c'était un rêve, rien de plus. Cette dernière s'approcha de moi, enleva le drap et commença à me parcourir le corps. Dormir avec un soutien-gorge ou avec un slip n'a jamais été mon fort, je dormais toujours nu, d'ailleurs, c'est ce qui est conseillé. Cette dernière prit mes seins, les caressa avec sa langue, joua avec ses mains. Je bondis tout doucement sur le lit, c'était tout comme si je couchais avec mon copain. D'un seul geste, je sentis quelque chose dans mon bas-ventre, quelque chose d'humide, la chose bougeait dans mon vagin comme si c'était un serpent ou quelque chose.

La chose me procurait tellement de plaisir que je n'ai pas pu m'empêcher de commencer par tirer les draps de tous les côtés. La chose allait et revenait dans mon vagin, c'était tellement bon. Oh mon Dieu ! Qu'est-ce que je faisais ? J'ignorais tout ce qui se passait autour de moi. La chose sortit de mon vagin, parcourut mon ventre jusqu'à mes lèvres. J'étais déjà toute excitée alors je me suis laissée aller, nous avons commencé par nous embrasser, en bas, je sentis une main jouer avec mon vagin et de l'autre côté, une autre caresser mes seins et de l'autre côté, les lèvres dans ma bouche.J'étais toute mouillée, je caressais le dos de celui qui me donnait ce plaisir, le rêve était trop cool jusqu'à ce que je finisse par ouvrir les yeux, impossible d'y croire, ma patronne était sur moi, en train de m'embrasser et en train de me caresser la chatte, cette chose que j'avais sentie, c'était sa langue alors.

La sensation était si intense que j'ai été incapable de résister en tirant sur les draps et sur tout ce qui m'entourait. Elle était descendue lentement et avait recommencé à me stimuler le vagin avec sa langue, c'était incroyablement intense je vous assure. J'ai essayé de me lever, mais elle continuait à me procurer un plaisir intense. Après un bon moment de plaisir, ma patronne s'est redressée et a quitté la chambre sans dire un mot.

Un frisson me parcourut le corps alors que je me détachais de son étreinte. Encore sous le coup de l'émotion, je me redressai lentement, mes jambes tremblantes. Je me dirigeai vers la salle de bain, comme attirée par une force invisible.

Sous la douche, l'eau chaude ruisselante sur ma peau me ramena peu à peu à la réalité. Je fermai les yeux, laissant l'eau laver les traces de l'extase et de la confusion qui s'étaient mêlées sur mon corps.

Mon esprit était en effervescence. Je tentais de rassembler mes pensées, de comprendre ce qui s'était passé. C'était la première fois que je me livrais à une telle passion, et les sensations étaient si intenses, si nouvelles, qu'elles me submergeaient.

Avais-je bien fait ? Étais-je prête pour ce genre d'intimité ? Des questions se bousculaient dans ma tête, sans trouver de réponses.

Je sortis de la douche, mon corps enveloppé dans une serviette moelleuse. L'eau avait apaisé la fièvre qui me consumait, mais la confusion persistait.

Je me glissai dans mon lit, cherchant le sommeil pour apaiser mon esprit tourmenté. Mais les images de la scène continuaient de défiler devant mes yeux, accompagnées d'une sensation de chaleur et de désir.

Je me tournai et me retournai dans mon lit, incapable de trouver le repos. La nuit était longue, et j'avais le sentiment que ce n'était que le début d'un voyage tumultueux et incertain.

La nuit s'était écoulée lentement, chaque seconde ponctuée par un flot de pensées tumultueuses. Le sommeil avait fui mes yeux, laissant place à une agitation grandissante. J'avais beau me tourner et me retourner dans mon lit, la chaleur des souvenirs de la nuit précédente me tenait éveillée.

Au premier chant des oiseaux, j'ai fini par me lever, l'esprit brumeux et le corps lourd de fatigue. La lumière du jour, pourtant douce et matinale, me semblait crue et agressive. Je me suis dirigée vers la salle de bain, attirée par l'espoir d'un peu de fraîcheur pour apaiser mon esprit bouillonnant.

Devant le miroir, j'ai observé mon reflet avec attention. Mes yeux étaient cernés, mes cheveux en bataille, et une légère rougeur colorait mes joues. C'était à peine croyable : cette personne que je voyais devant moi avait vécu une nuit d'une intensité rare, une nuit qui avait bouleversé son monde et laissé son empreinte sur son corps et son âme.

Un sourire timide a effleuré mes lèvres alors que je me remémorais les détails de la nuit. Les touchers doux, les baisers enflammés, les murmures passionnés... tout cela me revenait en mémoire avec une précision troublante.

Mais ce sourire s'est vite estompé, laissant place à une nouvelle vague de questions. Que signifiait cette nuit pour moi ? Pour lui ? N'était-ce qu'un moment de passion fugace, ou le début de quelque chose de plus profond ?

J'étais perdue, incapable de discerner le vrai du faux, l'espoir de la peur. Tout ce que je savais, c'est que cette nuit avait changé quelque chose en moi, et que je ne pouvais plus ignorer ce sentiment nouveau qui grandissait dans mon cœur.

Je me redressai lentement, mes muscles encore endoloris par la nuit mouvementée que je venais de passer. Une sensation de chaleur et de satisfaction flottait encore dans mon corps, mêlée à une pointe d'incertitude quant à l'avenir.

Sans plus attendre, je me suis dirigée vers la salle de bain, attirée par la promesse d'eau chaude et de vapeur qui me permettraient de me laver des souvenirs et des émotions de la nuit. Sous la douche, j'ai laissé l'eau couler sur mon corps, rinçant la fatigue et les pensées qui me tourmentaient.

Une fois propre et rafraîchie, je me suis enveloppée dans une serviette moelleuse et suis descendue au salon. La lumière du jour inondait la pièce, créant une ambiance paisible et familière.

C'est alors que je l'ai aperçue, assise sur le canapé avec ses deux petites filles. Ma patronne, avec son sourire chaleureux et ses yeux pétillants de bonheur, semblait rayonnante. Elle me regarda avec affection et me fit signe de m'asseoir à côté d'elle.

___ Bonjour madame dis-je.

___ Oui bonjour Olivia, tu as bien dormi ? me t'elle demandé.

Le regard figé sur ma patronne, je la vis me fixer à mon tour. Son sourire, d'une innocence déconcertante, semblait nier l'évidence de la tension qui flottait entre nous depuis la veille. Comment pouvait-elle jouer la carte de l'ingénuité avec une telle facilité ?

___ Que dois-je faire ce matin ?, questionnai-je d'une voix monocorde.

___ Prépare-nous du thé, mes filles vont en prendre. Ensuite, je les emmènerai à l'école, répondit-elle, toujours avec ce sourire énigmatique.

Je hochai la tête, la gorge serrée, et quittai le salon sans un mot. Dans la cuisine, je m'attelai à la tâche, les mouvements automatiques, l'esprit assailli par un flot de questions.

Mes pensées tourbillonnaient tandis que je remplissais la bouilloire et mesurais les feuilles de thé. L'arôme familier qui se diffusa dans l'air ne parvint pas à apaiser l'agitation qui grandissait en moi.

Le regard perdu dans le vide, je revis les scènes de la veille, les reproches cinglants, les silences glaciaux, le sentiment d'impuissance qui m'avait envahie. Un soupir de lassitude s'échappa de mes lèvres.

J'avais terminé de préparer le repas. La table était dressée, et tous les convives étaient installés. Je me sentais un peu fatiguée après les efforts de la journée, et j'aspirais à un moment de calme. Je me suis donc excusée auprès de mes invités et me suis retirée dans ma chambre.

Une fois allongée dans mon lit, je me suis laissée aller à un sommeil paisible et réparateur. Le silence de la nuit n'était troublé que par le chant des grillons et le léger bruissement des feuilles dans les arbres. Soudain, le son strident de mon téléphone portable retentit, me tirant brusquement de mon sommeil.

Encore un peu groggy, j'ai saisi mon téléphone et regardé l'écran. Le nom d'Alex s'affichait. Je me suis redressée et j'ai répondu à l'appel. Sa voix familière me parvint aussitôt, et nous avons commencé à parler. À peine je me suis redressé que j'entendis la voiture de ma patronne quittée la cour, elle amenait ses enfants au cours.

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