Histoires
Le destin de gloria
Le destin de gloria
Mère célibataire
#MÈRE_CÉLIBATAIRE PROLOGUE -Le destin est une puissance mystérieuse à qui les anciens attribuaient le pouvoir de déterminer d'avance et d'une façon irrévocable la suite des événements , tu ne peux aller contre ton destin , tu dois te soumettre car c'est ton destin -Non mais maman , je ne pourrai résister longtemps , si ça continue je vais laisser ma peau (dis-je en coulant des grosses gouttes de larmes ) -Mais maman j'en ai marre ….. -Tais-toi (dit-elle en me coupant ) , ton père a sept femmes et je suis la troisième pourtant je n'ai manqué de rien , soumet-toi et reste fidèle à ton mari , c'est la tradition et rien ne peut la changer -Donc tu veux que ta fille subisse ce que t'as aussi subir ? Je ne l'ai pas connu comme ça donc je peux toutefois le faire changer d'avis Ma mère me regarde puis secoue sa tête avec ses deux mains …… -Nom des dieux (dit-elle en hurlant ) tu veux que le malheur s'abatte sur notre famille ? -Maman je… -Tais-toi (dit-elle en me coupant ) fais juste ce que ton mari te demande , il demande à prendre une deuxième femme alors laisse-le faire , la tradition l'autorise et ce que les sages ont dire même un prophète ne peut le convertir donc ce n'est pas toi qui réussira -Alors je vais divorcer (dis-je avec un air strict ) -Quoi ? (Dit une voix derrière nous ) Je reconnais cette voix parmi milles , c'est celle de mon père , je regarde ma mère qui n'ose plus dire un mot , je me tourne et mon regard croise celui de mon père . C'est l'histoire d'une jeune fille qui décide de quitter son mari parcequ'il désire prendre une seconde femme , ses parents sont contre sa décision pour des raisons qu'elle même ignore mais elle décide de prendre les devants en quittant le mari . Sa famille ainsi que ses amies lui ont tourné dos à cause en la traitant d'obstinée . Elle n'a pas encore eu d'enfants donc elle décide de bosser dur pour pouvoir affronter les réalités quotidiennes mais elle a régressé quand elle a appris qu'elle est enceinte de deux mois N'oubliez pas de partager mes amours ?????? @Gédéon J Aplogan
Passion interdite
Passion interdite
Mon oncle
Mon oncle
L’histoire de kendrah
L’histoire de kendrah
Être femme sénégalaise et médecin, est-ce possible ?
Être femme sénégalaise et médecin, est-ce possible ?
Le prix de la vengeance
Nouvelle histoire......? Titre : Le prix de la vengeance Prologue : Aldiouma n'en croit pas ses oreilles, son frère Oumar a fui avec la fille de Moustapha Elimane Kane l'un des plus grands dignitaires du village de Podor. Personne ne sait où ils sont allés malgré des recherches fructueuses. Son père Almamy Ba paniqué ne sait plus quoi faire. Ils les ont cherchés partout mais le couple a bel et bien disparu. Oumar a même eu l'audace de laisser une lettre pour expliquer son geste. Son frère a décidé contre l'avis des deux familles d'aller se marier ailleurs avec Fatima Kane. Tout le village est scandalisé. Ne sachant plus quoi faire Almamy décide d'aller demander pardon à Moustapha pour le déshonneur que son fils a posé sur sa famille et ceci en présence du chef du village Thierno Cherif. Thierno après avoir écouté les deux parties décide de la solution à prendre et la sentence tombe. Comme Oumar a eu le culot de s'enfuir avec la fille d'autrui. Sa sœur à lui devra elle aussi être mariée à l'un des fils de Moustapha pour payer l'affront. Une fille pour une fille ! Que cela serve de leçons pour le futur. Moustapha contre son grès choisi alors son fils cadet Cheick Tidiane Kane pour honorer la parole donnée. Aldiouma de son côté n'a plus d'autre choix que de rejoindre le domicile conjugal ou tout le monde l'attend avec dépit. Entre rancunes, mensonges et trahisons la guerre entre les deux familles ne fait alors que commencer. Rendez-vous demain à 08h....???
Les caprices d'Assy
Les caprices d'assy
Ryan mon petit frère
J’ai absolument tout vendu. Mes bagages ? J’ai fait partir une bonne partie de mes vêtements, notamment ceux d’hiver avec Ryan -mon petit ami- en France, et le reste je rentre avec au Gabon. Après trois ans au Maroc, ma Licence en poche, je quitte ce pays sans regrets. Avec Ryan, on a prévu que j’aille poursuivre mon Master en France pour qu’on se rapproche. Mais les parents, du moins ma mère ne sait pas encore. Je lui en avais vaguement parlé et elle ne semblait pas emballée. M’étant prise en retard pour Campus France, j’ai dû postuler dans le privé et j’ai obtenu une préinscription dans une école de commerce à Paris -la même que Ryan- qui n’est franchement pas donnée. Je rentre au Gabon essayer de convaincre ma mère. Mon téléphone sonne dans la chambre. J’ai rendu mon appartement, actuellement je suis chez une amie. Je me dépêche d’aller prendre cet appel. C’est soit maman qui m’annonce qu’elle a pris mon billet, soit Ryan. C’est maman. - Allô mamounette. - Bonjour Mayite. Je viens de t’envoyer ton billet d’avion par mail. J’exécute quelques pas de danses. - Merci maman. - Aller simple tu as dit ? - Oui. - Pourquoi Mayite ? Je t’ai déjà dit que si le Maroc te fatigue, tu rentres faire ton Master en France. Ton histoire de France la, oublie ! Je ne lui réponds pas pour la simple et bonne raison que ce n’est pas au téléphone qu’on va en parler. Je lui ai vaguement parlé du projet et elle s’y est opposée farouchement. Mais c’est ma mamounette, je saurai lui faire changer d’avis. En attendant, je vérifie mes mails et transfert mon billet à Ryan pour qu’on puisse prendre le même vol. J’ai besoin de ses kilos pour mes bagages. Plus que cinq jours et je serai chez moi. J’arrive à Libreville chargée. Maman m’a demandé de lui faire quelques achats, surtout pour la rentrée scolaire prochaine de mes petits frères. Toute ma famille m’attend à la sortie du hall avec la maman de Ryan. Nos mamans s’entendent très bien. Il faut dire que leurs enfants se connaissent depuis plus de quinze ans et sont en couple depuis dix ans. - Je comprends mieux pourquoi depuis que j’ai envoyé l’argent Monsieur n’a pas acheté de billet, maman Lou taquine son fils. - Vous avez fait bon voyage ? maman demande. Nous leur racontons nos péripéties en se dirigeant vers les voitures. Chacun récupère ses affaires et nous nous séparons. Mais à peine maman s’installe dans sa voiture que son sourire disparaît. Oh oh ! Ça ne sent pas bon. - C’est avec Lou que j’apprends que tu as déjà tout planifier pour aller en France à la rentrée. Que tu viens au Gabon pour faire ton visa. C’est normal Mayite ? Lorsqu’elle est aussi en colère, il veut mieux ne pas répondre. J’ai mal agis en plus, qu’est-ce que je vais bien lui répondre ? - Tu agis comme si tu étais mon unique enfant. Je paie ton école à six millions combien ? En plus à Paris, Lou me dit qu’elle envoie six cent mille francs à Ryan par mois pour vivre. Je trouve tout cet argent où Mayite ? Tu oublies que tu as deux petits frères ? - Ryan dit qu’il va payer tout le reste, tu paies seulement l’école. je prends le risque de répondre d’une voix de souris. - Ryan travaille où ? elle me demande encore plus en colère. Tu veux vivre en comptant sur les gens ? Et si demain vous vous séparez tu deviendras quoi ? Tu vas aller vivre où ? Ne compte jamais sur les gens Mayite, les gens sont changeants. Ne compte que sur toi-même. Les larmes me montent aux yeux. J’ai connu Ryan à l’école primaire, on était les pires ennemis car constamment en course pour la première place. Puis nous sommes allés au lycée et l’expression « de la haine à l’amour il n’y a qu’un pas » a pris tout son sens. Dès la sixième nous nous sommes mis en couple. Maman Lou savait, mais ma mère… Comment dire à une maman africaine qu’on a un petit ami à seulement onze ans ? Elle ne l’a su que quatre ans plus tard, lorsque Ryan est venu lui demander la permission de sortir pour aller célébrer l’obtention de notre brevet. Je me rappelle encore de ce jour. De comment je stressais, de comment j’étais devenue la meilleure petite fille du monde dans la maison. Elle avait accepté de me laisser partir parce qu’elle le connaissait et jusqu’à ce jour, je ne sais pas comment elle a su que Ryan était devenu plus qu’un ami. Lorsque je suis rentrée ce soir là, elle m’a demandé depuis combien de temps on sortait ensemble. « Quatre ans » je lui ai répondu. Elle m’a demandé si on avait déjà fait l’amour. « Oui, depuis deux semaines » je lui avais répondu. Elle m’a demandé si on se protégeait. « oui » je lui avais répondu. Moi qui pensais recevoir des coups pour cette confession, elle m’a simplement sensibilisée. Elle s’est ouverte à moi et m’a dit pourquoi je ne devais pas me prendre une grossesse. Suite à cette discussion, j’ai annoncé à Ryan qu’on n’aurait plus de rapports jusqu’à l’obtention de notre bac. Promesse que j’ai tenue. Ryan m’a toujours respectée, il a toujours été correct avec moi. S’il dit qu’il s’occupera de moi, il le fera. Je ne comprends pas pourquoi maman ne veut toujours pas voir Ryan pour ce qu’il est et non pour ce que « les hommes » sont. Ça me frustre. Je veux rejoindre mon petit ami. Je veux qu’on aménage notre chez nous. Qu’on vive librement chez nous. Trois ans loin l’un de l’autre, même s’il venait me voir dès qu’il le pouvait, c’était long. Long pour deux personnes qui avaient l’habitude de se voir tous les jours. Je veux aller en France. Malgré l’opposition de maman, j’ai continué mes démarches pour partir. Je sais que je finirai par convaincre maman, je le sais. C’est ma maman, je suis sa seule fille. Les jours passaient, maintenant je constituais un dossier pour ma demande de visa. Jusque là j’avais tout fait avec Ryan. Côté finances, il avait tout payé. Sauf que pour la demande de visa, j’avais besoin des papiers de maman. - Et puis zut alors ! je m’exclame soudain. - Zut quoi ? maman me demande. - Je vais aller voir papa. C’est un peu trop facile non, il peut bien t’aider pour me faire partir. - Hum ! fit-elle simplement en reportant son attention sur la télé. C’était décidé. Le lendemain même j’allais rendre visite à mon père. pour lui parler de mon avenir. Stéphane NGOYE ADIMANGOYI et Lucrèce BENDOME ont eu trois enfants : Mayite, Lucas et Raphaël âgés respectivement de vingt-et-un, douze et neuf ans. Après leur séparation, mon père n’a plus jamais envoyé le moindre sous pour nous. Et ma mère, cette femme orgueilleuse, n’a jamais demandé non plus. Maman a toujours tout fait pour nous sans l’aide de personne. Mon père a refait sa vie avec une femme dont maman dit que c’est une « petite fille ». Je ne la trouve pas petite, elle est de loin plus âgée que moi. Cette dernière accouche chaque deux ans, ils ont déjà quatre enfants dont le dernier a à peine sept mois. La maison de mon père, cette maison dans laquelle j’ai grandi ne ressemble désormais à rien. Tout part en lambeauux Ça sent le manioc, les carreaux ont des tâches. Les fauteuils sont déchirés et les murs repeints aux dessins des enfants. En plus de ses quatre, il héberge deux neveux de sa concubine. En me voyant, mes petits frères courent se jeter sur moi. Or je suis en blanc et ils ont les mains pleines de poussières. J’essaie de les maintenir à distance, ce qui n’est pas pour plaire à leur mère. - Mayite tu m’as *emmené quoi de la France ? Lilian, le plus âgé me demande. Ils ne connaissent que deux pays : le Gabon et la France. Si tu n’es pas sous leur yeux et que tu n’es pas au village, alors tu es en France. - Je n’avais pas d’argent mais prochainement. je lui réponds gentiment avec un sourire chaleureux. Je ne sais pas où m’assoir pour ne pas me salir. Tout est sale, tout est cassé. Mais quelle idée de venir ici habillée en blanc ! - Bonjour Mayite ! papa me salue froidement en prenant place sur un fauteuil. - Bonjour papa. - Je vois que tu connais encore le chemin de cette maison. C’est bien. - Je viens d’arriver, je devais faire des papiers. - C’est bien. Il m’accueille tellement froidement que je ne sais plus comment aborder le sujet. Heureusement, je lui avais pris une paire de babouche et une chemise avant de quitter le Maroc. Ce petit présent apaise un tant soit peu son cœur. - Maintenant qu’est-ce que tu comptes faire ? papa me demande plus gentiment. - Justement, je dois aller en France pour faire mon Master. Mais maman dit que seule, elle ne pourra pas. - C’est aujourd’hui que Lucrèce ne peut pas ? N’est-elle pas celle qui me narguait parce qu’elle a de l’argent ? Elle ne pouvait pas se rabaisser à me demander de l’argent non ? Aujourd’hui vous avez besoin de mon argent, moi le pauvre type ? Depuis que tu es partie au Maroc, tu m’as appelé combien de fois ? Conclusion de cette échange, il n’a pas d’argent. A-t-il déjà eu de l’argent pour nous ? J’ai mal de me savoir orpheline de père lorsque mon géniteur est encore en vie. Je pleure sur les genoux de ma mère, pas parce que je ne partirai pas. Mais parce que mon avenir est le cadet des soucis de mon père. - Il te faut quels papiers ? maman me demande en soupirant. Je me redresse et essuie mes larmes. Je sais qu’elle ne le fait pas de bon cœur et qu’elle ira sûrement s’endetter pour me faire partir. Ça m’attriste lorsque je pense à mes petits frères. - Tu vas faire comment ? je lui demande en la fixant. - Honnêtement je ne peux pas payer l’école et le quotidien. Mais je ne peux pas t’empêcher d’aller au devant de ta destinée par orgueil ou parce que j’ai peur. Si vraiment Ryan s’engage à s’occuper du quotidien, je peux me battre payer l’école et le transport. Mais je veux que Lou et Ryan viennent prendre cet engagement devant témoin. - Merci maman. je saute gaiement sur son cou. Merci maman. Je ne te décevrai pas. Je te rendrai fière et lorsque je serai quelqu’un, je te ferai mener une vie de Reine. - A quel âge ? me demande-t-elle en rigolant. Prends seulement soin de tes petits frères, accompagne-les jusqu’à leur Master si jamais je me retrouve dans l’incapacité de le faire. En une semaine, je réunissais les documents pour la demande de visa. J’étais excitée, heureuse. Enfin j’allais vivre ce rêve, cette vie que je voyais sur les réseaux sociaux. Enfin Ryan et moi serons de nouveau réunis. Je stressais un peu mais un article lu sur le net m’avait redonné la force d’y croire. Le Gabon a le taux de refus de visas pour la France le plus bas de la sous-région et les refus de visa étudiant y étaient rares. Et puis finalement, en une semaine j’étais rappelée pour récupérer mon passeport… avec la vignette à l’intérieur. Le comble du bonheur. Quelques jours avant mon départ, Lucas et Raphaël voulaient aller manger une pizza. Avec Ryan, nous y sommes allés. La nuit étant encore jeune, finalement nous avions continué au cinéma. Une belle soirée à rigoler. Je n’ai pas vraiment été présente pour mes frères ces derniers temps avec tous mes problèmes, mais je me rattrape. Lucas, Raphaël et ma mère sont toute ma famille. Les seuls à me donner le sourire, ma motivation lorsque j’ai envie de baisser les bras. Bien sûr il y a Ryan, mais je parle d’abord de ma famille. Mon père, vous avez eu un idée du personnage. Sa famille, quant à elle ne vaut pas mieux. Sept ans que maman a quitté leur frère et fils, sept ans que mes frères et moi sommes morts pour eux. Pas d’appel, pas de message, rien de chez rien. Je ne demande même pas de l’argent ou un sac de riz, juste savoir que j’ai de la famille. Que j’ai une famille paternelle. A l’obtention de mon baccalauréat, je suis allée l’annoncer à mes tantes. Elles m’ont répondu froidement « félicitations ». Plus tard, j’aurai appris que ce jour je suis allée les narguer avec mon « petit bac ». Il faut savoir que dans ma famille paternelle, mon père est le plus diplômé et ses frères et sœurs ne sont pas de ces parents qui se soucient des résultats ou de l’avancé scolaire de leurs enfants. Là-bas, parler de tes études lorsque tu es un élève brillant, c’est mal perçu. Il serait mieux, pour ne frustrer, de parler des « pigeons ». A traduire, des hommes généreux qui succombent à nos charmes. Ma famille maternelle n’est pas mieux. Si chez mon père c’est la solidarité même dans les bêtises. Chez ma mère c’est la désunion totale. Tout le monde est sorcier, tout le monde veut le malheur de tout le monde. Alors chacun reste dans son coin avec ses enfants. On évite de se côtoyer de peur que le malheur ne te frappe après avoir rendu visite à ton frère. On ne parle pas de ses projets ni de son évolution. On ment, cache, joue à l’hypocrite, soupçonne, accuse etc. tout un sport que je ne maîtrise pas. Dans cette famille, ma mère est la sorcière. Elle a eu tous ses enfants d’un même homme dans le mariage. Sans aller loin dans les études, elle gagne bien sa vie. Et elle est « riche ». Je ne sais pas en ce qui concerne cette dernière affirmation. Un « riche » ne réfléchit pas à deux fois pour payer les études de sa fille à Paris. Un « riche » a une piscine, une grande maison, plusieurs voitures, des domestiques. Ma mère n’a que sa maison et sa voiture. Elle a bien quelques boxes qu’elle fait louer à des commerçants, mais ce n'est pas du standing d’un « riche ». Il faut croire qu’une femme qui réussit à élever ses enfants seule dans de bonnes conditions est riche alors. Où qu’il y a plusieurs catégories de riches. Dans ce cas, ma mère doit être bien en bas de l’échelle du groupe. Maman Lou alors est aussi riche. Six cent mille francs par mois pour son fils ? C’est le salaire de certains fonctionnaires de ce pays. Après Ryan est son seul fils. Maman Lou et maman s’entendent si bien parce qu’elles ont sensiblement la même histoire. A savoir qu’elles se battent seules pour leurs enfants et qu’elles ne peuvent pas compter sur leur famille. Maman Lou est tombée enceinte à quatorze ans. Elle était avec le père de Ryan depuis quelques mois seulement, et croyait cette histoire sérieuse. La pauvre n’avait encore jamais eu ses règles et Ryan est le fruit du rapport sexuel qui a défloré sa mère. Ne vous inquiétez pas, elle le raconte elle-même sans honte. Lorsque son père a su sa fille enceinte, il l’a envoyée en mariage chez l’auteur de la grossesse. Chez un jeune homme plus âgé qui avait abusé de la naïveté de sa fille. Chez un jeune homme qui n’était pas prêt pour le mariage et ne voyait pas en maman Lou la femme avec qui il finirait sa vie. Il a envoyé sa fille en mariage sans dot ni cérémonie de mariage. La vie de maman Lou dans la maison de sa belle-famille n’a été que misère. Elle dit que sa belle-mère était la pire de tous. Ne pouvant plus aller à l’école, elle n’a même pas son brevet. Son mari avait alors honte d’elle, lui grand universitaire. Un jour, maman Lou en a eu marre. Elle a pris son fils et elle est partie sans dire au revoir. Comme elle le dit, ses débuts n’étaient pas faciles. Elle vivait dans des conditions misérables chez des amis, des connaissances, ou à l’église. Pour manger elle tressait, faisait le ménage ou tout autre boulots qui pouvaient rapporter. Jusqu’au jour où sa mère a eu pitié et lui a donné un studio pour au moins avoir un toit sur la tête, ainsi que de l’argent. Cumulé à ses économies, elle se lança alors dans la confection de bougies parfumées. Elle allait fouiller dans des brocantes et au marché des petites pépites qu’elle redesignait pour en faire des objets de décoration de grande valeur. Aujourd’hui son magasin est l’un des plus grands magasins de décoration et bougies parfumées de la ville. Son ex belle-famille ne lui a jamais pardonné d’être partie comme une voleuse. Concernant le père de Ryan, il a simplement dit bon débarras à cette femme qu’il n’a jamais aimée et à son enfant qu’il n’a jamais voulu. De son expérience avec sa belle-mère, maman Lou est aujourd’hui avec moi une femme ouverte. Avenante. Elle s’est promis de ne jamais ressembler à cette horrible femme. Avant mon départ, maman Lou est venue s’entretenir avec maman comme convenu. Ryan s’est engagé à m’héberger et me nourrir pendant deux ans même si on venait à rompre. Maman ne paiera que les frais relatifs à la scolarité dont le transport. Tout le reste reposera sur Ryan. Il a accepté devant sa maman. - Sous aucun prétexte tu ne me mets mon enfant dehors ou la laisse plusieurs jours sans manger. maman menace. J’ai envoyé ma fille au Maroc, c’est toi qui lui as mis dans la tête de te suivre en France au lieu de toi aller au Maroc. - Je prends cet engagement solennel maman. - Même si une semaine après votre arrivée, vous vous séparez, tu vas la garder chez toi jusqu’à ce qu’elle obtienne son Master. - Oui maman. - Je ne connais pas la France. Si quelque chose arrive à mon enfant c’est toi que je vais pointer du doigt en premier. - Je prendrai soin de Mayite maman. Les yeux de maman devinrent soudain rouges. Sa voix se mit à trembler d’émotions - Tu peux me faire confiance maman. Je prendrai soin de ta fille plus même que ma vie. C’est la phrase qui fit éclater maman en sanglots. Immédiatement maman Lou se rapproche d’elle pour la rassurer avec des mots que seule une maman peut trouver. Moi aussi je me mets à pleurer parce que émue par la situation mais aussi par cette phrase que venait de prononcer Ryan. Le soir, longtemps après que Ryan et sa mère n’aient pris congé de nous, maman me prit en aparté dans sa chambre. - Tu sais ce que signifie ton prénom n’est-ce pas ? elle me demandit. - Je vaincrai, je combattrai. - Tu es une battante, tu as une force en toi. Ne va pas en France pour t’assoir et tout attendre de Ryan. Tu dois être indépendante financièrement. - Oui maman. - Tu as une vie, une destinée différente de celle de Ryan. Tu es une personne à part entière. Ne t’empêche pas de vivre pour Ryan, ne construis pas ta vie autour de lui. Tu dois être indépendante émotionnellement. Je vous souhaite d’aller le plus loin possible mais si ce n’est pas la volonté de Dieu, tu dois l’accepter. Est-ce que tu comprends réellement ce que je te dis ? - Oui, j’avais répondu pour me débarrasser d’elle. Puis on fit une petite prière toutes les deux. Lorsqu’elle a perdu sa famille biologique, maman s’est trouvée une autre famille dans l’église. Elle priait énormément désormais. - Je peux dormir avec toi ? Je pars bientôt. - Toujours mon bébé. Tu n’as même pas à demander. Avant de partir, fait étrange, maman m’avait remis un porte-documents en me disant d’en prendre grand soin. Dans l’euphorie du départ, je me suis dis que je le regarderai plus tard. J’ai pris mon dernier repas avec ma famille puis maman est allée me déposer à l’aéroport avec mes deux petits monstres de frères. Avant de la quitter pour deux longues années minimum, je l’ai serrée fort dans mes bras et l’ai remerciée pour tout ce qu’elle a fait pour moi. Pour nous. Rien que pour ma mère, je ne lâcherai pas. Je ferai tout pour la rendre fière. Elle me demande où est le porte-documents et je le lui montre, calé dans mon sac à main. - Je t’aime mamounette. - Je t’aime encore plus mon petit soldat. La séparation est plus difficile que je ne l’imaginais mais je me fortifie en me disant que je travaillerai dure pour lui offrir un billet d’avion au moins pour ma remise de diplôme. Car croyez-le ou non, mais cette femme « riche » n’est jamais sortie du Gabon. Je lui ferai prendre l’avion. J’ai tellement de projets pour cette femme, que Dieu nous accorde simplement la vie. Ryan et moi passons les contrôles. L’embarquement a déjà commencé donc on se met simplement dans le rang. Je tiens fortement la main de Ryan. Évidemment que j’appréhende. Et si vivre ensemble nous faisait réaliser qu’on n’était pas fait l’un pour l’autre ? Et s’il changeait d’avis ? Et si. Et si. Comme s’il avait entendu mes pensées, Ryan passe son bras par-dessus mon épaule et me tire vers lui. - Ça va aller Mayite. il tente de me rassurer. Mon téléphone se met à vibrer dans la poche arrière de mon jeans. Je le sors et constate avec surprise que c’est mon père qui m’appelle. Je réponds en me laissant le soin à Ryan de ranger nos bagages à main dans le compartiment au dessus de nos têtes. - Oui papa. Bonjour. - Tu appelles qui papa ? il se met à hurler dans l’appareil. Donc tu sais que je suis ton père ? Je suis ton père et c’est chez ta mère que tu vas faire tes présentations ? - Quelles présentations ? De quoi parles-tu ? - Ne me prends pas pour un imbécile Mayite ! il se fâche encore plus. Tu es gabonaise, il y a des traditions à respecter. Que tu le veuilles ou pas je suis ton père et si tu vas te marier ailleurs, sache que ce mariage n’ira pas loin. Pour me dire ces méchancetés il m’appelle. Mais après avoir refuser de financer une partie de mes études, m’a-t-il appelée pour me demander ce que je comptais faire désormais ? Après l’obtention de mon bac, m’a-t-il appelée pour savoir mes projets ? Combien de Noël, d’anniversaires, de Pâques, etc. passés sans un coup de fils ? - C’est quoi ce bruit ? Tu es où ? - Dans l’avion. je réponds en reniflant. - Ah ! il s’exclame. Tu retournes au Maroc sans me dire au revoir comme j’ai refusé de payer tes études en France ? Donc tu étais bel et bien venue chez moi simplement par intérêt. C’est bien Mayite. Mais un jour tu sauras que je suis ton père. Sur ce il raccroche sans plus rien ajouter. Je pose ma tête sur l’épaule de Ryan et me mets à pleurer silencieusement. Je ne sais pas pourquoi mon père nous déteste autant.
PAROLE D'AÎNÉ
PROLOGUE Je m’appelle Mansour (Sora pour mes proches). J’ai 33ans et j’suis l’ainé d’une famille de 5 personnes. J’avais perdu la parole, les privilèges, le droit d’ainé etc. Ma seule erreur (si j’peux l’appeler ainsi) était d’avoir mis du temps à me trouver un bon boulot. Si chacun pouvait s’offrir tout ce qu’il voulait, personne ne souffrirait dans ce bas monde. Mon destin était tracé bien avant ma naissance. 1- Je n’ai pas demandé à naitre 2- Le futur est entre les mains de Dieu 3- Tout enfant rêve de prendre le relais de ses parents. 4- La vie ne se passe pas souvent comme on le souhaite. Mais après tout ça, nous devons mettre tout entre les mains de Dieu. Il est le Seul qui décide de notre futur. En tout cas, j’suis croyant et j’ai toujours su tant que y’aura la vie, y’aura de l’espoir. Et tôt ou tard, demain fera jour. Une chose est sure, j’attendrai avec patience que mon étoile brille. Vous aurez le temps de découvrir le fond de cette histoire que j’ai tenu à partager avec vous (PAROLE D’AINE). Merci nandité pour cette oreille attentive. Nandité : Plaisir partagé frère. Je ne pouvais pas rester muet face à cette belle histoire, pleine de renseignement et de leçon. Peut-être, y’a des personnes qui vivent dans l’ombre cette histoire. Au Sénégal triste qu’il soit « Magg bou amoul khalé nga, Khalé bou am kilifeu ».
CE MONSTRE D'HOMME QUI ME SERT DE BEAU PÈRE
PROLOGUE J’suis une jeune sénégalaise du nom de Kiné. J’suis actuellement dans la trentaine. J’ai connu ma mère tardivement dans une situation incroyable. J’ai vécu toute mon adolescence au bled. J’ai connu ma mère à l’âge de 17ans. Ma vie était rebondissement sur rebondissement, joie, peines, douleurs etc. Malgré ce luxe que j’ai connu tardivement, j’donnerai tout pour revenir à mon ancienne vie. J’suis venue partager mon histoire avec vous. Avant de commencer, j’vais remercier nandité qui m’a tendu une oreille attentive. Le fait de me confier à toi m’a permis de me soulager et m’ôter ce poids de l’esprit. Merci de m’avoir convaincu à partager cette histoire avec tes lecteurs et lectrices. Comme tu me l’as dit certainement, y’a des personnes qui ont vécu pire et pourtant, elles continuent à vivre leur vie normalement. J’suis contente de t’avoir rencontré et je t’en serai éternellement reconnaissante de m’avoir redonné confiance et espoir. Vous aurez de plus amples détails dans les parties. Nandité : C’est à moi de te remercier pour cette confiance. Tu as été forte sur tous les plans, expliquez un souvenir douloureux n’est pas donné à tout le monde. Tu es forte, je n’ai fait que réveiller ce talent qui dormait en toi. Beaucoup d’entre vous pense qu’ils sont faibles alors que la faiblesse pour moi n’existe pas. On ne peut passer dans certaines situations pour devenir faibles. Certain passage nous forge. La vie est et restera toujours un combat indécis. Une vie tranquille est une mer morte. Chaque jour de ta vie est une feuille de ton histoire que tu écris, une ivresse continuelle, le plaisir passe et le mal de tête reste. Comme on le dit, n’ayez jamais honte de vos cicatrices ou de vos blessures. Cela signifie juste que vous avez été plus fort que "ce" ou "ceux" qui ont voulu vous faire du mal. Dans cette chronique, y’aura des larmes c’est sur vous êtes avertis. On se lance.
ENTRE PROBLÈME DE CASTE ET MARIAGE FORCÉ
Une histoire rocambolesque 1ère Partie : Connaissance Tout est allé trop vite. Un jour, j’étais tranquillement assise dans mon bureau, comme que y’avait pas trop de travail, j’suis sortie faire un tour dans le bureau d’une de mes collègues du nom de Rama. Quand j’suis arrivée, elle était en discussion avec un vendeur d’objets d’art, des perles personnalisées, bref des astuces de femme. Rama était mariée depuis 2ans mais elle aime pimenter son couple. Elle est trop coquette, elle me parlait tout le temps d’un homme qui la ravitaillait des trucs qui l’aidaient sur son couple. Elle ne cessait de tresser des lauriers à ce monsieur qui m’était inconnu au début..........
Les conséquences d'un mariage à distance
Les conséquences d’un mariage à distance Louf est le mari de Mina. Il l’a connu via la vidéo du mariage de son ami Laye qui vivait en Espagne avec lui. Comme cupidon lance ses flèches partout, il est passé par là et a foudroyé le cœur de Louf. En voyant la photo de Mina, j’comprends pourquoi Louf a jeté son dévolu sur cette fille qu’il n’a vu que par Vidéo. Ce que j’trouve comme erreur d’ailleurs. Ce récit sera détaillé en 20 parties. Malgré que Mina était en couple avec un autre, Louf n’a pas laissé passer sa chance lorsqu’elle s’est présentée. Après avoir mis tous les atouts de son côté, il a fini par convaincre Mina, qui accepta de donner une chance. Et ce fût une histoire qui mènera vers d’autres chemins parfois sombres, parfois clairs. Wayow ma ngi ratati rek. Au faite, c’est l’histoire d’un couple qui vivait leur mariage à distance dans la plus grande complicité, malheureusement les effets de la distance sont passés par là. Comme tout début, tout allait super bien, les conversations nocturnes (watsapp, Imo et Viber etc…), chacun ne voulait pas raccrocher, au fur et à mesure que ça avançait, les pulsions humaines se sont réveillées, l’attente commençait à devenir longue. Avec les problèmes familiaux, une maman qui avait refusé au début, en y ajoutant la distance et une jalousie maladive. Bref, j’vous laisse écouter le récit d’un Modou Modou qui accepte de briser le tabou pour partager son expérience. Et comme d’habitude, j’mettrai mon grain de sel en commentant si besoin. J’espère que vous êtes prêts à vous lancer dans un univers un peu méconnu de la société. Après les confessions de cette personne, j’dirai que certains mariages à distance se tiennent qu’à un bout de fil. Je ne généralise pas, mais j’préfère ma femme près de moi. Allalou golo si lékh ba…
VICTIME DE SON PASSÉ
Afta ma séparation avec mes copines, j’avais pris du recul en attendant la réponse de Binette… Des mois ont passé avant que je renoue le contact avec Binette. Peut être vous direz « nékété nandité dina tokk ay mois sans être avec une fille » je vous réponds toujours par la positive ‘’oh k wi ‘’ je l’ai fait histoire de faire le vide en moi parce que je tenais vraiment à changer loool. Un samedi soir je décide d’appeler Binette au tel histoire de réveiller cette flamme qui dormait en moi. Sans hésiter je compose le 77…6…4..6… Nandité : Hello, ma belle cmt tu vas ça fait un bail… Binette : Hey ça va tw t’a raison ça fait longtemps que je n’ai pas eu de tes nouvelles qu’est ce qui s’est passé ?
LES AVENTURES
Tout est parti d’une vive dispute dans la boutique. Un échange musclé entre deux femmes. Comme la plupart des jeunes, nous avons l’habitude de nous tenir juste à côté de la boutique, après le boulot. C’est notre lieu de rencontre. Nous sommes toujours témoins de tout ce qui se passe dans ce secteur : les accidents, les disputes, bref tout. Y’a que les voleurs qui nous échappent lol. Un jour, j’étais seul avec mon poto Junior à côté de la boutique.
PRISONNIÈRE DE SON TEMPS
-Je ne parlemente pas, soit tu as l’argent pour me payer ou bien tu circules. Je n’ai pas le temps. Dis-je en prenant mon verre de limonade pour m’éloigner de lui.
COUP DE FOUDRE IMMÉDIAT
Un mois que je suis de retour définitivement a Dakar et je ne trouve toujours rien. Pas de boulot, meme pas un petit stage.
SUR LES RIVES DE MA JOUISSANCE
Paris-FRANCE ***Juan Carlos Lopez -Bonsoir Colonel -Bonsoir Agent Lopez, ça a été le voyage ? -Oui, je ne me plains pas -Ah vous ne direz pas cela dans quelques années, la vie est une belle garce -Si vous le dites… -Vos états de service sont excellents, les US marins, la CIA puis la lutte anti-drogue, sacré palmarès ! Vos supérieurs ne tarissent pas d’éloges. Je suis ravi de travailler avec vous jeune homme, j’ose espérer que vous serez à la hauteur -Tout le plaisir est pour moi Monsieur, je suis à votre entière disposition -Tant mieux car le boulot qui vous attend à Conakry ne sera pas de tout repos -J’en suis conscient -Bien ! Comme on en a déjà discutez avec vos supérieurs, vous serez à la tête des agents les mieux entrainés d’Interpol et nous avons pris toutes les précautions nécessaires pour que vous meniez à bien cette mission -Je puis vous assurer que je suis plus que prêt Colonel -Agent Lopez, je n’ai pas à vous rappeler l’importance de tout ceci n’est-ce pas ? -Bien entendu Monsieur -Et n’oubliez pas que cet homme alias ‘’le Lynx’’ est capable de tout. Il agit dans l’ombre comme un fantôme depuis des années donc au moindre faux pas, il risque de nous glisser encore entre les doigts J’écoutais le Colonel La Roche puis subitement un parfum enivrant vint titiller mes narines, j’ai détourné le regard et mes yeux se sont posés sur une belle déesse à la peau d’ébène élégamment vêtue d’une robe de sirène qui lui sciait comme un gant, waouh Dios Mio ! Si les regards pouvaient tuer je suis certain qu’elle n’aurait pas survécu à tous ces regards d’hommes qui la fixaient, même le pauvre Colonel n’était pas indifférent (rires) -Hun hun…. Monsieur ? -Oh euh…..excusez-moi, on en était où déjà ? -Vous me disiez qu’au moindre faux pas, Le Lynx risque de disparaitre à nouveau -Ah oui justement, bon passez à la division demain et je vous fournirai tous les documents que nos services ont accumulés durant ces dernières années -Ok. Vous vous joignez à moi pour le diner ?
UNE GIRL TOWN ET UN BANLIEUSARD
Je me suis approché près d’elle tout comme un vrai banlieusard « fiit si nioune la fekk bakh ».
LA MÉTAMORPHOSE D'UN MARI TIMIDE
Bonjour, je m’appelle Vito (nom d’emprunt). J’suis dans les 35ans. J’avoue avoir un beau physique et une taille très appréciée par la junte féminine. Au début, j’étais complexé mais avec le temps ça a changé. J’me suis marié après avoir obtenu un bon travail grâce à mes études. Pendant que mes amis draguaient de gauche à droite, je me concentrais sur mes études. Je n’ai jamais découvert une fille jusqu’à mon mariage. Vous l’aurez imaginé, j’suis resté puceau durant toute ma jeunesse (eh oui ça existe des hommes vierges mdrrr). Je n’avais jamais eu le courage de dire à une fille que je l’aime. Même si j’avoue qu’il y avait une fille qui me faisait rêver, je n’ai jamais eu la force de déclarer mon amour. J’étais timide et j’avais peur des filles. J’enviais certains de mes amis qui réussissaient à sortir avec toutes les filles qu’ils voulaient. Décidément, chacun avec le don que Dieu lui a donné. Ils étaient doués côté filles et moi, côté études. Aujourd’hui, j’me suis marié avec la première fille avec qui j’suis sorti. Mais sa maman est compliquée et ma mère est autoritaire. Elle pense que j’suis toujours le petit Vito. Depuis que j’ai découvert le plaisir charnel, il m’était difficile de me retenir. J’draguais de gauche à droite, je n’avais plus de retenu. Les belles filles étaient devenues mon passe temps favori. J’tirais sur tout ce qui bouge. La copine de ma femme, la bonne de la maison, bref, j’pensais que toutes les belles filles étaient pour moi. Ma femme n’est pas étrangère de tout ça. Elle est vraiment jongué Mashallah. Mais j’avais une autre philosophie, il faut changer de repas parfois. Chaque jour, le même plat devient lassant. Dans cette histoire, vous comprendrez que l’argent augmente le courage et la force de l’homme. Xaliss dey yokk fiit. Et ne jugez pas la fidélité de l’homme tant qu’il n’a pas réussi. Ne vous vantez pas de votre mari puceau, parce qu’une fois qu’il découvre le plaisir, il sera difficile de le maitriser. Ngène balma nak mdrrr. Tey lay wakh secret mec yeup kxkxkxkx. A vos marques… Kouci am djeukeur bou vierge titeul kxkxkxkx Nandité de retour, j'étais dans mon coin et j'avoue que j'avais décidé de ne plus écrire parce que ça prend énormément de temps et franchement parfois ça en manque. Mais j'ai vu tous les messages même si je n'ai pas réussi à répondre tout le monde n'empêche que vos messages me vont droit au coeur. J'vais essayer de vous consacrer un peu de mon temps. C'est une passion mais ça devient difficle nak rire. Heureusement que j'ai la permission de madame qui m'a forcé aussi hahaha... Bon, pardon à l'avance pour les maris puceaux et qui se croient exemplaires mdrrrr....