L’histoire de kendrah

L'histoire de Kendrah (Partie 2)

Les membres de la famille présentent pour la réunion du côté de Papa sont ses frères et soeur cadets ( Tonton Yves, Tonton Severin, Tata Amelie), du côté de Maman sont le grand frere de maman (Papa Matheo) et Ma Marthe.

Je me suis mise à pleurer, suite à ce que je venais d'apprendre sur la sante de Maman.

Moi : Je ne comprend pas ce qui se passe et pourquoi les choses doivent être comme ça?

Valerie : moi non plus, je ne comprend rien.

Mes freres, ma soeur et Ariel sont plutot très calme. Pourtant ce calme n est pas du tout appaisant, plutot inquiétant, car frise la panique et l'angoise. Tt Severin nous rejoint dans notre coin favoris et nous fais savoir que la maladie de maman à déclenché lors de ses soins à l hôpital, car ne se sentant pas la forme totale avait décide de s y rendre. selon lui c etait une chance. Tt sevérin est plus comme un frere qu un Oncle pour nous, il a toujours été tres proche de maman, pour ses activites, quant elle est au Cameroun et pour beaucoup d'autres choses comme veiller sur nous meme en son absence a la maison. Il est en deuxieme annee BTS( Brevet de Technicien Supérieur) et c'est maman qui s'occupe de sa Scolarité et de tout son nécessaire.

Tt Severin : Keny, pourquoi pleurs tu? Arrêtes de pleurer, ca ira mieux, beaucoup plus vite que tu ne puisses le croire, ok?

Moi : oook.

Apres nous avoir calme et détendu de son mieux, il prit congé de nous.

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Ce matin ne me sentant pas la forme totale, j ai quitté mon hôtel et me suis dirigé a l'Ospedale Policlinico Via Leonardo Bianchi, Naples. J y ai ete consulte et on m a prélevé une grande quantité de sang qui m a parut pas normale. 1h apres le prélèvement, on m a fait une injection qui a accasionner de très fortes douleurs dans tout mon etre, je me suis mise a crier dans toute l'hopital, on m a immobiliser et m a transporte dans une chambre ou on m a allongé et le medecin m a fait prendre certains cachet qui ont calmé la douleur. Le medecin a contacté la connaissance de mon mari ( Benoit) qui est 2 h de temps apres qu on m est installé dans la chambre a fait son entré, très affaibli par le comprimé que je viens de prendre.

Benoit : bonjour Prielle

Moi : bonjour Benoit, fais moi sortir d ici.

Benoit : comment ça? tu viens a peine d y entré, pourquoi veux tu sortir aussi rapidement?

Moi : ils font des expériences sur des noirs ici, je t'empris fais moi sortir et je t'expliquerai tout.

Benoit : je te ferai sortir, mais demain plutot, le temps pour eux de sortir les resultats de tes examens.

Très énerve par cette réponse, pourtant je sais qu'une mauvaise réaction de ma part peut me valoir un comprimé qui m'assomera davantage, donc j ai digéré en acquiesçant de la tête. Apres m avoir dit d'être calme en me faisant comprendre que c est pour mon bien il a quitté l'hôpital.

Les bruits de pas de courses et de civières passant devant ma porte m'ont faite savoir qu'il doit avoir des urgences. De la fenetre de cette chambre d'hôpital, regardant le ciel sans toute fois savoir ce que je cherche, j ai vu un monsieur âgé et à ses côtés son Fils, qui me regardent, je me suis dite Dieu et son Fils Jésus, j ai été rassuré du fait qu ils voient et savent tout ce qui m arrive, cela m'a davantage donne du tonus. 1h de temps plutard, le medecin qui m a consulté suivit d'une infirmière sont entrés dans ma chambre et ont pris ma température, vérifié ma tension et on porte sur ma tete un appareil qu ils ont noué à la base de mon menton comme un chapeau et ont relevé apres quelques secondes l information qui y apparait. D'après le medecin, ca commence à aller de mieux en mieux surtout si je continue à coopérer. Ils ont relâcher les vas et viens dans ma chambre, car toutes les 30 minutes une infirmiere s'emmenait dans ma chambre. Apres le passage du medecin, j ai du attendre 1 heure de temps pour voir venir l infirmière. Juste apres son passage, j ai élaboré rapidement un plan de fuite, il est 15 h, lorsque je me dirige distraitement vers la sortie de l'hopital. Des que je me retrouve hors de la zone ou je peux etre apercu, je prend mes jambes au coup et me retrouve tres épuise a un carrefour et en plus tres fatigue, j essais de reprendre mon souffle et je longe a pied tout doucement réfléchissant a comment faire pour ne pas etre arrête et ramene a l hopital, vu que l'adresse de l hôtel et mon numero de porte figure dans le registre de l hopital. Je marche a n en plus pouvoir car je me sens de plus en plus affaiblie, il me vient l idee d appeler Benoit et de lui demande de venir me chercher. Ce que je fait immediatement, apres 2 bipes, il décrocche le téléphone.

Moi : Allo, c est Prielle.

Benoit : Allo , Prielle?

Moi : oui

Benoit : j'ai ete appelé de l hopital le disant que tu t'es enfuit.

Moi : je ne veux plus y retourner.

Benoit : dis moi ou tu te trouves et je viendrais te chercher.

Moi : Surtout ne me ramène plus là bas Stp.

Benoit : ok, le lieu et je suis la pour toi.

Moi : je suis au Parco Vigiliano( parc)

Benoit : Assieds toi sur un banc et ne bouge pas j arrive d'ici peu.

Moi : Ok

30 minutes apres mon appel, je m inquiète et en plus je commence a ressentir une petite faim. Je me rappelle que je n ai rien avalé depuis ce matin, car je n ai pas voulu consommer le repas de l hopital, à cause de ma crainte. La je voyais un petit stand où je pouvais m acheter a manger, j ai commencé a m y diriger, subitement la meme crainte ma saisie. Pour moi tous sont montés contre moi dans cette ville et meme dans ce pays. J'ai fait demi-tour et me suis rassise sur le banc. 15 minutes apres une voiture s est garée et Benoit en est sorti en me cherchant du regard. Je lui ai fait signe de la main et il s'est approché du banc public ou je suis resté assise.

Moi : Benoit, je ne veux plus y retourner.

Benoit : Qu est ce qui se passe au juste? pourtant tu semblais Tres bien quant je t ai laissé a l hopital.

Moi : Benoit, ils m'ont prélevé une très grande quantité de sang.

Benoit : Surement pour les examens.

Moi : Surtout l injection qu ils m ont administré me trouble encore jusqu'a Maintenant, je me suis senti mal comme jamais de mon existence. Je ne veux plus y retourner.

Benoit : Prielle calme toi, je t'emmène chez moi. D'ailleur Christian sera la dans 2 jours.

Moi : Non, il ne doit pas venir, pourquoi doit il se déplacer?

Benoit : quelle question!!! mais il vient te chercher.

Durant le trajet pour sa demeure, le silence est pesant au point où j'angoisse, mais à l arrive dans sa demeure je me détend naturellement, car c'est confortable et super chaleureux chez lui.

il me montre la chambre d ami et je me précipite pour prendre une douche. pour moi, il me fallait oter l odeur de cette hopital sur moi. Je le rejoins 45 minutes plutard au salon.

Benoit : je t apporte de quoi prendre des forces.

Moi : Ne te donne pas toute cette peine, je ne peux rien avaler.

toujours cette peur de consommer ce que peux m offrir ou me vendre autrui dans ce pays.

Benoit : il faut t'alimenter pour avoir des forces.

Moi : Non, merci.

Benoit : dans ce cas, rendons nous a ton hôtel pour récupérer tes effets.

Moi : Ok, tres bonne idée.

Rendu au Millennium Gold Hotel, toutes mes affaires avaient deja ete rangee et j ai juste eu le temps de prendre le combiné telephonique de l'hotel pour pouvoir joindre mon époux.

Moi : bonjour Cheri

Christian : bonjour ma cherie, tu vas mieux? Je serais la dans 2 jours.

Moi : c'est justement à ce propos que j appelle, ne te déplace surtout pas, reste avec les enfants, car si tu viens on sera coince tous les 2, il faut bien que l un d entre nous veille sur les enfants. C'est comme si tous sont contre moi ici. Je ne pense pas pouvoir m ensortir. Prend bien soin des enfants.

Christian : ok, j ai suivi, mais tu t ensortiras, tu veras. Prend bien soin de toi ne t inquiète de rien, ca ira beaucoup plus vite que tu ne le penses.

Apres cet appel avec mon époux, contrairement à ce qu il pense, je sais que ma vie ne tiens qu a un fil. J ai peur de tout et ne peux meme plus m alimenter. Benoit m a ramene et durant cette nuit chez lui, j'ai fait un rêve ou je voyais les frères de mon époux qui me veulent du mal, plus précisément sa grande soeur( Julie) qui s adresse à moi de façon pas poli, le successeur de leur papa aussi y est dans ce reve. bref, je sens maintenant une menace venant du cote des membres de la famille de mon époux. A mon réveil, je suis encore plus mal qu'a la veille, refusant toujours de m'alimenter en plus je commence vraiment a avoir aussi peur de Benoit, surtout parceque j'ai fait ce reve chez lui.

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Au terme de la réunion, il avait ete decide que papa ira chercher maman et la ramènera directement à Bafoussam chez son grand frere Papa Matheo. 2 jours apres papa entrepris le voyage et nous laissa sur la supervision de Tt Severin. au bout de 5 jours, il etait de retour et est allé directement sur Bafoussam avec maman. Tonton Séverin était chargé de ramener les bagages des parents de l'aéroport pour la maison.

Tt Séverin : Les parents sont directement allés sur Bafoussam.

Moi : As tu vu Maman? Comment l'as tu trouvés?

Tt Séverin : oui, je l ai vu, elle est un peu fatigué et amaigri, mais ça ira maintenant qu'elle est la.

Moi : si tu le dis. Séverin , j aimerai qu'on parle un peu.

Tt Severin : Je t'écoute Keny.

Moi : tu sais je ne crois pas au hasard en ce qui concerne la maladie de maman.

Tt Severin : Qu'est ce qui te fais penser ainsi?

Moi : Ma Marthe, 4 jours avant la date de retour de Maman est venu et a fait certaines pratiques ici a l aide de la pièce de 5 ou 10 f qu'elle a prise à papa disant que si elle ne fait rien maman ne rentrera pas. 3 jours apres, on appel papa pour lui annoncer que maman ne va pas bien. Moi je pense qu elle sait quelque chose de tout ça.

Mes amours, c est pour vous que je me livre à cet exercice, alors plus de like, de commentaires et de partages me feront avoir l'inspiration surtout n'oubliez pas de faire connaître notre page à vos connaissances. Beaucoup de bisous a vous?