Chapitre 4: Qu'est-ce qui se passer?
PERCY MAYALA
je suis restée devant son école a sourire comme un idiot. cette petite est vraiment très bizarre enfaite, d'abord elle refuse de me donner l'adresse après c'est son numéro qu'elle refuse de partager ? et d'abord pourquoi une fille comme elle peu accepté devenir enseignante avec une telle beauté ? quel gâchis dis-je en démarrant. moi et Martin, nous nous sommes séparés lorsqu'il avait décidé de me donner son bourse d'étude. a l'époque j'avais pas des parents ni famille, j'avais personne pour me prendre en charge. j'ai fait des petits boulots pour me payer l'école, après mon bac j'ai postulé pour une bourse d'étude moi et Martin. il était mon ami donc ce que je faisais on le faisait a deux. choses grave, il était le seul sélectionné. j'étais vraiment content pour mon ami, on avait tout planifier, comment on allait être et vivre à l'étranger. le jour de son visage, c'est moi qui était sensé l'accompagner à l'aéroport mais j'ai pas pu parce-que j'étais tombée malade. aujourd'hui je me dis que c'est peut-être la peur de vivre sans lui qui m'a mise dans cette état. il était comme un père pour moi. l'idée était qu'il avait voyagé, le soir j'ai voulu faire un tour chez ses parents pour dire bonjour mais j'ai vu Martin assise par terre entrain de pleurer. j'ai couru vers lui et demander ce qui se passait c'est là qu'il m'a dit avoir perdu son père. je n'y croyais pas... je me gare enfin en voyant la porte rouge qu'elle m'a parlé.
dès que, j'ai franchi la porte de leur maison mon cœur a commencé à battre rapidement. Martin était assise par terre entrain de faire je ne sais quoi, sa mère et sa petite sœur. personne m'a reconnu, j'ai avancé jusqu'à ce que je suis arrivé devant lui. plus de dix ans loin de cette maison, loin de cette ville me revoilà.
Moi : bonjour Madame, bonjour...
ils lèvent enfin leurs regards et me regarde. Martin semble me reconnaître
Martin : toi dit-il sous le choc
Moi : oui c'est moi, ton amis.
il dépose ce qu'il avait et s'approche de moi. son visage s'assombrit, je touche ma joue tellement la gifle m'a chauffé, j'arguant les sourcils ne comprenant rien.
Martin : comment ose tu mettre les pieds dans cette maison après tout ce que tu m'as fait.
Sa mère : calme toi mon fils.
je ne comprends pas, pourquoi il me parle comme si j'étais un monstre ? j'ai jamais fait quelque chose contre mon meilleur ami, même quand j'étais à Kinshasa j'ai toujours pensé à lui et comment lui rendre hommage. aujourd'hui j'étais enfin prêt pour le faire. et c'est comme ça qu'il me traites ?
Martin : dégage de cette maison d'accord ? je ne veux pas te voir encore moins écouté tes mensonges. vas-y sort de cette maison tout de suite
Moi : écoute moi mon ami, je suis venu te voir pourquoi tu te comporte de cette façon ?
Martin : hahaha hahaha, il pense que je suis bête, tu pense vraiment que je suis bête ? ton secret est connu de tous dans cette ville, tout le monde sait que c'est toi qui avait tué mon père, tu l'avais tué pour que je te donne ma bourse d'étude espèces de sorcièr
Moi ( blesser): Martin...
Saline : Martin quoi? nous sommes au courant de ce que tu avais fait a notre père
Moi : mais... madame croyez moi, j'ai rien fait pour... pourquoi je ferai une chose pareille ?
Martin : parceque tu étais jaloux de moi Percy, tu as toujours été jaloux de moi. voilà pourquoi a l'école tu étais le seul à réussir aux examens et non moi. retourne là où tu viens et ne reviens plus jamais ici.
Moi : Martin....
Martin ( me poussant): ne prononce surtout pas mon nom ok? dégage de cette maison
j'ai jamais eu mal comme ça, même quand j'avais perdu mes parents j'avais pas autant souffert. j'ai tellement bosser dure pour Martin et c'est comme ça qu'il me vois ? il pense vraiment que je suis un sorcier et que c'est par ma faute si son père est mort ? j'ai jamais voulu prendre son bourse d'étude, il m'avait carrément forcé à l'accepter et aujourd'hui c'est moi le méchant ?
Moi : je...je suis désolé pour ton bourses d'études Martin, je suis juste revenu ici pour te prendre et t'amener avec moi. j'ai pu gagner de l'argent pour nous deux, c'est ma carte il y a mon adresse en ville si un jour tu veux venir, je serai heureux de t'accueillir chez moi. voilà cette enveloppe, il y a cinq millions de dollars à l'intérieur ça peut t'aider à prendre soin de toi. au-revoir.
je suis brisé complètement. je ne sais même pas où aller. et quoi penser, moi. un sorcier ? j'ai jamais tué quelqu'un et pourquoi je tuerait son père ? Martin avait trop fait pour moi, ça serait égoïste de ma part de faire une chose pareille. donc mon intelligence était un obstacle pour lui? on partageait tout, pourquoi il m'avait jamais rien dit !
plus de deux heures dans la voiture a pensé à ce que je viens d'entendre, j'arrive tout simplement pas à y croire. tout mais pas ça quand-même. je décide de rentrer à Kinshasa, j'ai rien à faire ici de toute façon. j'avais la tête ailleurs, je ne savais pas où j'allais jusqu'à ce que j'attends des cri. j'ai du descendre pour voir
Moi : oh mon dieu désolé, vous allez bien ?
- ahiiii j'ai très mal Monsieur.
Moi : je suis vraiment désolé, venez nous allons à l'hôpital.
je l'aide à se mettre debout, je le fais monté et nous partons. Dieu merci il va bien c'est juste une petite égratignures.
Moi : indiquer moi l'adresse de ta maison et j'irai t'accompagner.
- c'est pas nécessaire monsieur, j'ai peu toujours marché.
Moi : hors de question, vas-y dit moi.
(...)
nous arrivons devant une petite maison en tolle. je me gare et l'aide à sortir de la voiture. au même moment la fille qui m'a aidé le matin apparaît et court vers le petit garçon
Willamar : Aristide ? tu étais passé où ? je t'ai chercher partout mon amour qu'est-ce qui se passé
Aristide : je suis désolé grande sœur, j'ai fait une petite accident en rentrant de l'école
Willamar : comment ? et tu m'as pas appelé pour m'informer ? tu vas bien ?
elle fait tourner le petit et régarde partout, dès qu'elle remarque ma présence elle me regarde en fronçant les sourcils
Aristide : c'est grâce à lui si je vais bien grande sœur, il m'a amèner à l'hôpital.
Moi : je suis vraiment désolé willamar, c'est ma faute. j'ai pas regardé la route
elle ne dit rien et récupére son frère et disparaît. je voulais repartir lors qu'elle réapparaît avec une chaise et me le remets
Moi : c'est pas nécessaire, je vais y aller maintenant encore désolé.
Willamar : je sais que c'est votre faute si mon frère est dans cette état. je sais aussi que c'est grâce à vous s'il se porte bien. alors prenez place, beaucoup ne ferai pas ce que vous avez fait pour lui.
Moi :
Willamar : alors s'il vous plait prenez place.
elle me sert à boire, elle revient avec une table et son sac. elle travaille en discutant avec moi.
Willamar : alors ? tu l'as vu ?
Moi : qui ça ?
Willamar : ton ami, l'homme que tu cherchais..
Moi : ah dis-je ne sachant pas quoi dire
elle me regarde et ne dit rien. elle me donne une feuille ou l'une de ses élèves ne sais rien. nous rigolons ensemble
Willamar : régarde un peu ce que nos enfants font hein, il a dix-neuf ans. même son prénom le monsieur ne sais pas écrire mais pour déranger c'est lui le premier...
je la regarde parler encore et encore. je suis tout simplement fasciné par cette boule de femme, son rire sa façon de parler en bougeant les doigts..
Willamar : tu m'écoute ?
Moi : oui oui désolé désolé.. merci beaucoup pour ton aide et encore désolé pour ton frère. il faut que j'aille
Willamar : d'accord. au-revoir alors
dès que je me lève boum la pluie commence à tomber directement. on se regarde et éclate de rire.
Elle appelle ses frères qui sort l'aidé avec ses cahiers. elle m'invite chez elle, rien de spécial juste deux canapés une petite télévision et une petite frigo.
Willamar : ne reste pas debout, prends place.
je me sent gêner en faite. pas du faite qu'ils ont une petite maison mais du fait que ma présence viennent compliquer les choses.