Chapitre 3: Croiser de chemin

WILLAMAR SHARMA

Je me suis toujours demander pourquoi Dieu m'avait envoyé sur cette terre si c'est chez mes parents que j'allais atterrir, pourquoi ? je me suis toujours débrouiller seule, pas d'aide d'un parent ou d'un oncle j'ai réussi à finir mes études. je me suis jamais plains et je le ferai peut-être jamais. Angèle c'est ma seule amie, elle était comme ma sœur pour moi. je lui ai fait confiance et donner mon cœur, j'ai même rompue avec mon gars juste parce-que je lui faisais confiance. aujourd'hui, aujourd'hui elle ose me parler comme ça ? a cause d'un homme ? et qui l'homme en question, Martin ? Martin cette imbéciles qui autre fois était mon copain. j'ai pas pensé qu'il pouvait raconter des bêtises a mon sujet, j'ai rien dit juste parce que je croyais qu'il avait changé mais apparemment non. toutes la matinée elle m'a pas dit un mot encore moins venir ses excusée de m'avoir parler de cette façon. après le cours j'ai voulu partir chercher de l'eau chez une cousine à moi vu que notre bailleur avait coupé l'eau chez nous. c'est là que je la retrouve, je suis d'abord surprise de la voir là et écouter ce qu'elle me raconte.

j'entre enfin à la maison et ce que je vois me brise le coeur. comment une femme peu faire une chose pareille alors qu'elle a une petite fille dont elle doit s'occuper. aimer la, c'est seulement son mari et non son enfant ? je suis même en colère contre elle et contre l'amour tout court. je ne pourrai jamais faire une chose pareille encore moins me sacrifier pour un homme, jamais.

Angèle : on fait quoi maintenant hein j'ai peur willa.

je la regarde, elle a toujours été fragile et peureuse cette petite.

Moi : tu as déjà appelé la police et c'est attend.

Angèle : tu...tu tu part et tu me laisse ? s'il te plait willa je sais que je t'ai beaucoup blessés mais pardonne moi d'accord ? je ne voulais tout simplement pas perdre l'homme que j'aime tu comprends ?

Moi : je ne comprends rien Angèle, rassure toi je ne suis pas en colère ou triste ok? tu es une grande fille et tu as le droit de faire ce qui te semble juste pour ta vie.

Angèle : écoute....

j'ai vu Martin s'approcher alors je suis partie. elle a commencé à crier mon nom mais c'était trop tard c'est des gens comme elle qui meurt juste pour un homme.

Rina : depuis que je t'attends, j'étais même sur le point de t'envoyer un message

Moi : désolé, j'ai croisé une amie en route.

Rina : ah d'accord, voilà l'eau est la. je me demande comment tu vas faire pour le transporter. j'ai aussi fait du riz si tu veux tu peux en prendre

Moi : vraiment ? j'ai même faim comme tu me vois là.

elle sourit et me laisse entrer. Rina est la nièce de mon père, son père et le miens ne se fréquente pas à cause de mon père. toutes sa famille nous ont tourner le dos, mais Rina et moi sommes restés en contact vu qu'elle vu seule.

Moi : merci beaucoup chérie, maintenant je peu aller chercher quoi donner à mes frères pour ce soir.

Rina : et ma tante alors ? je croyais qu'elle faisait le petit commerce.

Moi : on peu jamais compter sur celle là, là où elle met son argent personne n'est au courant hein, j'essaie de faire ce qui me semble juste et ne pas oublier mon devoir de grande sœur.

Rina : vraiment, je prie que ton école reconnaît enfin ton talent et te paie ce que tu mérite.

Moi : Amen oh mon amour, que Dieu t'entende.

pour m'aider Rina propose de transporter l'eau avec moi et me laisser au carrefour ou personne peu nous voir ensemble. j'arrive à la maison et vois mes frères toute triste et abattu, je soupire et continue d'avancer. j'avais un petit quelque chose dont je devais payer mon transport alors je l'ai remis a la petite sœur pour nous préparer quelque chose à manger.

Moi : manger ce que nous avons, je ne veux pas que l'une de vous part demander quelque chose à quelqu'un, vous m'avez entendu ?

Eux : oui grande sœur

Moi : je ne suis pas morte, je vais prendre soin de vous même dormir affamé on va le faire mais jamais on va ses plaindre.

nous discutons de tout et rien jusqu'à ce que le sommeil nous en apporte. je dors avec mes deux petites sœurs, l'autre chambre c'est son les parents qui l'occupe. et mes deux frères dorment aux salons. je me réveille à 04h pour puisé de l'eau, fait le ménage et vers 06h je me mets déjà en route.

Moi : il y a encore du riz ?

Samantha : oui grande sœur

Moi : si c'est beaucoup partager un peu un peu, j'ai rien sur moi aujourd'hui.

Samantha : et toi ? tu ne mange pas ? on peut toujours partager

Moi : non ça va, je vais bien. ne soyez pas en retard d'accord ?

je sort enfin et Marche vers l'école qui se trouve à environ vingt kilomètres de chez moi. il était déjà le matin mais je transpirait tellement, heureusement que j'ai mon parfum sinon la honte.

- bonjour mademoiselle

je me retourne et régarde l'homme qui me parle.

Moi : bonjour monsieur

- s'il vous plait, vous pouvez m'aider ? je cherche la maison de Martin*****

Moi : vous êtes ? vous savez que c'est impossible pour moi de vous donner son adresse, j'ai pas envie d'avoir des problème.

- ne vous en faites pas, je suis Percy Mayala. c'est ma carte d'identité vous pouvez le prendre et appelé la police si quelque chose arrive à ce monsieur.

Moi :

Percy : je vous en prie

Moi : bon d'accord, c'est juste vers le nord partez tout droit jusqu'à ce que vous allez voir une petite super marché et tourner à gauche, premier avenue, deuxième avenue entré là-bas. leur maison se situe juste à l'entrée il y a un portail rouge. et tenez votre carte, vous avez l'air d'être quelqu'un de bien.

Percy : merci beaucoup, si vous voulez je peux vous conduire juste pour vous remercier.

Moi : non merci, ne vous inquiété pas pour moi.

je commence à partir mais sa voiture continue de me suivre. il me parle où tout simplement me suplie jusqu'à ce que je décide d'entré dans sa voiture.

Percy : alors vous partez où mademoiselle

Moi : willamar, a l'école. je suis enseignante...

Percy : willamar ? c'est vraiment jolie comme prénom. une femme aussi belle être enseignante ? jamais vue.

Moi ( je sourit): vous voulez me dire que les enseignantes son moche c'est ça ?

Percy ( me regardant): la plus part oui, mais toi ? tu m'as surprise. tu es vraiment sérieuse lorsque tu dit être enseignante ?

Moi : bien-sûr, pourquoi je vous mentirai ?

Percy : non non jamais, il me faut une preuve pour vous croire.

j'éclate cette fois ci de rire. il est vraiment très drôle ce gars, j'avais du mal à me laisser détendre mais il m'a surpris avec sa bonne humeur et sa joie de vivre

Percy : Martin et moi sommes amis depuis longtemps, il a tellement fait pour que aujourd'hui j'ai réussi ma vie. c'est un peu grâce à lui et aujourd'hui j'aimerais lui rendre l'appareil tu vois

Moi :

comment un homme comme Martin peu aider quelqu'un ? il pense qu'à lui cette espèce d'imbécile. voilà qu'il m'a séparer de ma meilleure amie juste pour me faire du mal.

Percy : j'ai peu avoir ton contact, je vous dire si tu le veux bien. je suis encore ici pour quelque jour et je...

un amis a Martin ne peut jamais être quelqu'un de bien.

Moi : euh désolé monsieur j'ai pas de téléphone

j'ai voulu partir quand mon téléphone s'est mise à sonné dans mon sac. j'ai eu la honte de ma vie

Percy : le seigneur n'est pas d'accord avec toi willamar dit-il en souriant

je cours et entre dans l'établissement sans regarder derrière moi, quel honte mon Dieu.