Il Y'a Quelqu'un D'autres Dans Ma Vie
[Pourquoi retenir quelqu'un qui ne t'aime pas,
Pourquoi me fais-tu du mal comme ça.
J'ai l'impression de mener une défaite et non un combat,
Et, quelques fois, j'aimerais être un soldat,
Me battre pour ne plus te voir causer autant de dégât,
Lorsque tu n'en as rien à faire de mes encombrantes larmes.
Tout ce que tu veux, toi, c'est épuiser mon charme,
Tout ce que tu veux toi, c'est te rassurer que je me désarme.
Or, aujourd'hui, j'ai besoin que tu m'épargnes,
Car j'aimerais ne plus brûler dans tes flammes,
Je voudrais qu'une autre vie m'enflamme,
Ne plus avoir à te voir torturer mes nuits,
Je voudrais ne plus entendre ta colère à minuit,
Que je dorme paisiblement sans avoir d'ennui,
Je voudrais avec la lune et les étoiles être en harmonie,
Que l'homme dont je rêve m'emmène en Californie,
Ou autre part, mais juste loin de toi et de tout ce qui est relié à toi,
Je voudrais que tu ne t'invites plus sous mon toit,
Que plus jamais, comme si j'étais en faute, tu ne me pointes du doigt,
Je ne voudrais plus non plus avoir à toucher du bois,
Tout simplement parce qu'à cause de toi, je vis dans la peur,
Je ne voudrais plus ressentir cette chaude chaleur,
Qui me brûle à chaque fois que tu touches mes profondeurs,
Puis, ne te dis pas que tu détiens mon cœur,
Car je te le dis, tu n'en es pas le moteur,
Tu es peut-être, je te l'accorde, celui qui a été de mon corps le chanteur,
Mais, rien de plus profond pour t'en faire vainqueur,
À cause de toi, de ma vie, de ma vie, j'ai été comme un spectateur,
Courageusement, laisse-moi te dire que tu n'es qu'un amateur,
Car un homme est arrivé et fait preuve de bien plus de grandeur,
Car c'est lui qui m'emmènera et sera mon protecteur.]
Mosé qui s'était précipité vers la chambre que la jeune femme occupait, ouvrit la porte, préoccupé, sans frapper, hurlant