Chapitre 2
Noémie se sent quelque peu embarrassée. Il est vrai qu’elle ne refuse pas de coucher avec quelques étudiants, autre que Florent, quand l’envie lui en prend, mais elle ne se doutait pas que la réputation de pute la précédait au point où même un geek viendrait la trouver pour se faire dépuceler. Si au départ elle avait l’intention de repousser les ébats sexuels pour plus tard, elle change finalement d’avis et accepte de le faire, même si elle est consciente qu’elle va manquer les cours, pour lesquels elle est déjà très en retard. Alors que le jeune homme s’apprête à s’en aller, Noémie reprend la parole.
- Attends ! l’arrête-t-elle. Dépêche-toi car ces vestiaires seront bientôt occupés.
La demoiselle s’apprête à enlever sa robe quand David reprend la parole.
- On peut aller ailleurs !
- Je n’ai nulle part d’autre où aller, David ! réplique-t-elle aussitôt.
- Moi si ! Et je sais que personne n’y sera à cette heure. Suis-moi, lui propose-t-il avant de lui prendre la main.
Ne perdant pas une seconde, les jeunes gens s’éloignent des vestiaires, que Noémie a bien pris la peine de fermer à clés, et ils traversent le terrain de basketball. Huit cents mètres plus loin, ils atteignent le bord d’une rivière complètement déserte.
- Je ne connaissais pas ce lieu ! lance-t-elle pendant qu’elle regarde autour d’elle. Tu es certain qu’il n’y a personne dans les environs ? Il pourrait y avoir des gens cachés derrière un de ces grands arbres !
- A cette heure de la journée, je t’assure que c’est complètement désert par ici. Par contre, il y aura du monde pendant la pause déjeuner.
- On peut s’y mettre dans ce cas. Nous avons une trentaine de minutes devant nous. Toutefois, j’ai une question à te poser avant de commencer. Pourquoi moi ?
- Pourquoi est-ce avec moi que tu veux qu’est-ce qu’est le sexe ?
- Ne prends pas mal mais, à l’université, tout le monde sait que tu es une fille facile. C’est pour cette raison que j’ai décidé de passer par toi.
- Bon, disons que je suis une femme facile mais, de ton côté, il ne faut pas que tu tombes amoureux de moi. Je ne suis pas du genre à avoir une relation sérieuse. Si tu parviens à contrôler tes sentiments, ça ne me posera aucun souci de coucher avec toi à nouveau.
- C’est noté, lui dit-il, ayant hâte de commencer.
- Très bien… Maintenant, relaxes-toi et laisses-toi faire.
Noémie se rapproche de David et l’embrasse tendrement et, ne sachant pas comment s’y prendre, il se laisse totalement faire. En même temps, elle laisse glisser une main dans le pantalon de David et descend jusqu’à son pénis qui est, comme elle s’y attendait un peu, déjà en érection. Le saisissant, elle le secoue tendrement et lentement alors que ses lèvres sont toujours collées aux siennes. Petit à petit, elle accélère le rythme de la masturbation avant de s’agenouiller avec sensualité tout en le regardant dans les yeux. Après avoir sorti le pénis de David, elle passe sa langue sur le gland avant de le mettre dans sa bouche. Puis, elle fait des va-et-vient lents avant d’accélérer progressivement le rythme. Au fur et à mesure qu’elle s’arrête pour reprendre sa respiration, elle avale le liquide séminal avant de passer la pointe de sa langue dans l’urètre de David. N’étant pas habitué à cette sensation, ce dernier commence à avoir des tremblements et, ne comprenant pas ce qui lui arrive, il repousse la tête de Noémie, qui s’arrête aussitôt.
- Que se passe-t-il ? s’étonne-t-elle, exécutant aussitôt la demande du jeune homme. Je t’ai fait mal ?
C’est la première fois qu’un homme l’arrête pendant qu’elle est en pleine fellation et elle ne comprend pas vraiment ce qui se passe.
- Je n’ai pas eu mal, répond-il, embarrassé. Au fait, j’ai ressenti une drôle de sensation. C’était beaucoup trop chatouilleux, mélangé à un sentiment de plaisir. Je ne sais pas vraiment comment t’expliquer en fait.
- C’est la première fois qu’on me fait cette remarque, lui répond-elle avec un ton amusé. Je continue ou tu préfères que j’arrête ? Je te préviens que ça risque de devenir de plus en plus intense…
- Tu peux continuer, répond-il en reprenant ses esprits. C’est juste que c’est la première fois que je ressens une telle sensation et elle était un peu trop forte pour moi.
- C’est vrai que j’y suis peut-être allée un peu trop fort avec toi pour ta première fois. Pardonne-moi. Je te propose deux choix : Je termine avec la fellation ou tu veux que je passe à autre chose ?
Un silence s’installe subitement entre eux.
- N’hésite pas à me dire ce que tu veux ! Je respecterai ton choix.
- Je pense que j’ai eu ma dose pour une première fois avec la fellation, lui dit-il avec un sourire embarrassé avec de rougir, ce qui fait Noémie éclater de rire.
- Dans ce cas, passons directement à l’action. Si tu sens une fois de plus que c’est trop intense, tu me le dis et nous remettrons ça une prochaine fois.
- Je ne pense pas que je vais m’arrêter cette fois-ci, lance-t-il aussitôt, ne voulant pas laisser passer cette chance. J’espère que je ne vais pas me ridiculiser…
- Ne t’en fais pas pour cela. Laisse-moi gérer.
David sent son cœur battre de plus en plus vite alors que Noémie s’approche de lui. Il réalise qu’il va enfin passer à l’acte, chose qu’il pensait n’arriverait jamais surtout qu’il ne sait pas comment s’y prendre pour séduire une fille. Les deux corps sont collés l’un à l’autre et la respiration du jeune homme devient de plus en plus forte. Décidant de prendre son destin en main, David trouve le courage nécessaire pour enlever la robe de Noémie et, celle-ci se laisse entièrement faire. C’est la première fois qu’il a une femme en sous-vêtements devant lui et, voyant qu’il ne sait pas trop quoi faire, la demoiselle enlève son soutien-gorge, qu’elle laisse tomber, avant de prendre les mains du jeune homme et de les poser là-dessus. Etant tout proche, elle parvient à sentir le pénis s’endurcir davantage. David a du mal à croire qu’il vit un tel moment. Il la regarde de haut en bas pendant que Noémie enlève son string et, après qu’elle se soit allongée par terre, il se place sur elle. Aussitôt, elle insère le pénis dans son vagin et, instinctivement, David commence par de légers va-et-vient. Appréciant le moment, Noémie pousse de légers soupirs qui augmentent en intensité de temps en temps. Alors qu’il accélère le rythme, la demoiselle l’arrête brusquement.