Chapitre 08
Il a continué à parler avec elle pendant quelques secondes avant de mettre fin à l'appel. Il s'est ensuite retourner vers moi Soubhan'Allah...
Il était rouge d'énervement sa respiration était forte, sa poitrine s'élevait à une vitesse incroyable, ses narines étaient écartées, ses points étaient serrés je vous jure que si on était dans un manga il se serait déjà transformer on dirait un dessin animé, ses oreilles et narines donnaient l'impression de dégager de la fumée.
C'est avec un pas ferme et décider qu'il s'avance vers moi je vous mentirais si je vous disais que je n'avais pas peur du nouveau Mensur qui se trouvait en face de moi, il est vrai qu'il s'est déjà énerver contre moi mais jamais ça n'avait atteint ce degré.
Sans m'en rendre compte il était à quelques centimètres de moi entrain de m'étrangler vous savez pas la joie que cela me procurait car par la il me facilitait plus la tâche et la rendait plus rapide. Alors c'est sans me débatte et sans essayer de respirer de je me laissais aller peu à peu et voilà qu'un coup il me lâche.
Lui: putain ! -dit-il à donnant un coup dans un des murs de la chambre-.
Moi: pourquoi t'es tu arrêté fallait continuer j'en ai marre de souffrir s'il te plais aide moi a m'en aller de cette terre chui tellement fatiguée j'ai mal je t'en supplie aide moi ! -pleure-.
J'avais parler tout en pleurant et lui il avait l'air surpris de la façon dont il me dévisageait. j'étais au plus bas je souffrais profondément j'étais anéantie.
Pendant des heures je pleurais tout en réfléchissant à comment faire pour me donner la mort sachant que c'est un grand péché mais cela ne me freinait en aucun cas il lui il était assit près de moi entrain de me regarder ne sachant quoi faire. Un moment il s'était en dormi.
Je cherchais et cherchais mainte et mainte fois comment faire pour le rejoindre la haut. Me tailler les veines ? Non ! Je n'arrivais pas à supporter la douleur et ça prendrait trop de temps. M'empoisonner ? Quelque chose de très difficile à faire sachant que je suis pratiquement handicaper comment ferais je pour trouver du poison amer avec celui que j'ai sous la fesses.
En tournant ma tête je m'aperçois de la fenêtre dont j'avais oubliée l'existence, fallait absolument que je sache au combientième étage nous étions, fallait aussi à tout pris que nous soyons le plus haut possible comme ça je pourrai sauter et de là la mort serait plus facile rapide et moins douloureuse.
Moi: -en tapotant la cuisse de Mensur pour le réveiller- réveille toi j'ai faim !
Lui: -en se réveillant- c'est ton dos ça !
Moi: qu'est ce que t'avais dis à ma mère tout à l'heure ? Je cite ''ce n'est pas la peine que vous veniez je prendrais soins d'elle'' si c'est ça prendre soins de moi m...
Je me suis direct tue en voyant le regard de mort qu'il me lançait. Il s'est ensuite lever pour sortir mais je l'ai stoppé.
Moi: heu... Nous sommes au combientième étage ?
Il m'a regardé en mode wtf.
Moi: je voul....
Lui: tu demande ça pour faire quoi ?
Moi: comme ça je voulais juste savoir !
Lui: 18ème ! -dit-il avant de disparaître de mon champ de vision-.
C'était tous simplement parfait fallait maintenant que je fasse vite avant son retour y'a une chaise roulante à gauche du lit.
J'assayais donc de sortir de lit mais ce n'était pas du tout facile je crois que j'ai mis au moins dix minutes avant de réussir à m'assoire sur le fauteuil roulant j'ai ensuite appuyé sur le bouton de marche, arriver devant la fenêtre j'ai attrapée le rebord pour m'aider à tenir débout Dieu merci qu'il n'y avait ni barreau ni vitre ni store encore une fois le ciel me sourit.
J'étais à présent débout étape suivante pouvoir passer par dessus celle ci était la plus difficile car la fenêtre était un tout petit peu en hauteur ce qui ne me facilitait pas le tâche.
J'étais entrain de galérer à pourvoir sauter (je crois que sa faisait plus d'une demi-heure que j'essayais) quand la porte s'ouvre.
..: MEIN GOTT MAIS QU'EST CE QUE TU FOU LA C'EST QUOI CE BORDEL ?!
Comme vous l'avez bien imaginer c'était Mensur massa il ne pouvait donc pas venir quinze minutes plutard.
Moi: PUTAIN LACHE MOI C'EST QUOI TON SOUCI PURÉE QUE T'ES POT DE COLLE !
lui: TA GUEULE ! -hurla t-il en soulevant sa main pour m'assémer une gifle-.
Par réflexe je ferme instinctivement mes yeux attendant la baffle voyant qu'elle ne vient pas j'explose en sanglots j'étais au bout de ma vie.
Sans m'y attendre il me prend dans ses bras dans la quelle je pelure de plus belle. Je m'étonnais à lui serrer fort chais pas mais le sentir près de moi aussi coller me procurait une sensation bizarre que je n'avais jamais ressenti malgré qu'il y'avait cette peur envers lui j'adorais ce sentiment inconnu. Surtout sentir ses caresses sur mon dos pour me calmer.
Après quelques minute je m'étais en fin calmer et il se sépare de moi par mon plus grand mécontentement.
Lui: dis moi qu'est-ce qui ne va pas ? -dit-il d'une voix calme malgré qu'elle soit assez rauque-.
Moi:...
Je n'osait lui répondre.
Lui: qu est ce qui t'es passée par la tête à faire cela ?
Moi:...
Lui: tu ne veux pas répondre d'accord mais avant de le faire t'es tu mis en question a tu pansée à ta famille à ta mère ? ça fait à peine quelques heures que t'étais au téléphone avec elle juste en sachant que t'es dans un lit d'hôpital elle était dans tous ces états elle était prête à venir te rejoindre ! Il me semble que non laisse moi te dire que t'es égoïste oui É.G.O.Ï.T.E !
Tu penses être la seule qu'Allah met en épreuve ? Chai pas ce que t'as vécu mais sache que y'a ceux qui vivent plus pire que toi mais ne se donne pas la mort. Plain de personne ont des vie misérable juste à l'extérieur là, eux qu'est qu'ils veulent juste un tout petit peu de confort. Toi juste à la première épreuve tu penses à te donner la mort ! Ça c'est pas l'image d'un vrai musulmans cela ne devrait même pas traversé son esprit Allah nous a envoyé sous cette terre pour nous mettre à l'épreuve, et toi il te met dans ta premier épreuve voilà à quoi tu songe !
Moi:...
Lui: je te demande une chose une seule chose la prochaine fois réfléchis à deux fois avant de prendre une décision penses à ton entourage ! -dit-il avant de souffler bruyamment-.
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Bien les Rosedufléo je vous laisse sur ces derniers phrases de Mensur qui son à méditer !
Alors dites nous que pensez vous qu'il se passera dans la suite des événements ?
Avez vous une petite idée des sentiments inconnus que Khoria a resentie envers Mensur ?
Si oui faite nous pare !
Lui: je te demande une chose une seule chose la prochaine fois réfléchis à deux fois avant de prendre une décision penses à ton entourage ! -dit-il avant de souffler bruyamment-.
J'avais du mal à croire que c'est Mensur qui me parlait ainsi, j'avais l'impression de rêver car pour quelqu'un qui fais ce qu'il fait c'est sidérant de lui voir parler de la sorte.
Moi: dis le, le gars qui coïte les filles avec des chiens. On en parle de toi ?!
Chai pas pour quoi je l'ai répondu mais le faite qu'il m'ai dit ses mots m'ont faits quelques choses dont je ne saurais vous expliquez, et je ne voulais pas lui laisser le dernier mot. Peut être cela vous étonnerait mais j'ai toujours voulue avoir le dernier mot dans une discussion que la personne soit âgée ou pas c'est comme ça.
Lui: de quoi je me mêle ? -dit-il avec la mâchoire serrée-.
Je crois que je l'ai énervé bas les cou*****.
Moi: -rire nerveux- me fais pas rire s'il te plaît de quoi je me mêlais tout à l'heure ?
T'es là t'apparais comme fleur pour venir me donner des leçons de morales pendant que tu commets des actes inimaginable !
Non mais en vrai qui pourrait imaginer quelqu'un bai*** un personne avec un chien ? Hein ? En tous cas pas moi ! Et la il vient me faire son baratin du siècle qui en passant me fais cogité.
Lui: je rêve ou c'est à moi qu'elle s'adresse comme ça ? Hehe -rire nerveux- bilay je préfère me taire parce-que je risque de rompre ma promesse et te faire mal. Fais attention avec moi un conseil tu ne me connais pas et tu ne sais pas de quoi je suis capable ! -dit-il d'un ton tellement congelé à en faire vibrer la colonne vertébrale- maintenant mange ! -enfin d'un ton calme-.
Dites moi est-ce que votre pote là n'est pas jnouné ?
-il en a l'air en tous cas-.
Moi: j'ai pas faim toi même mange ! -dis-je d'un ton sec en me retournant pour lui faire dos-
Lui: donc moi chui un bata** pour aller te chercher à graille pendant plus d'une heure de temps jusqu'au bout de la ville pour ensuite me dire que tu n'a pas faim ?
Oui un gros bata** même un sal** !
Voilà ce que j'aurais voulue lui répondre mais tapette que je suis je me suis tû.
Lui: Hak Allah que si tu ne te retourne pas dans trois secondes tu le regretteras qu'aille au diable la promesse faite à ta daronne ! -dit-il d'un ton ferme avec une pointe d'énervement.