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Chapitre 07

Bref j'étais toujours en train de danser mais cette fois ci sur le sons de Rihana ''Américain oxygen'' j'aime plus danser ce sons sur du sensuelle et douceur tout en fermant les yeux c'est trop moi ça. Un moment en faisant un mouvement de retournement j'ouvre et œil et c'est tous les deux qui s'ouvrent en s'écartant limite s'ils n'allaient pas sortir de leurs orbites.

Je me stop net dans mon élan et essaye d'aller éteindre le sons mais je crois que j'ai fais un faut pas car je me suis retrouvée sur les fesses au sol en ayant une douleur horrible au niveau de la cheville je lâche donc un cri strident à peine audible à cause de la musique.

Il était debout à l'encadrement de la porte appuyé contre l'épaule droit avec les bras croisés et sa jambe gauche était en angulaire pour ceux qui ne l'on pas reconnu c'était bien évidemment Mensur, il me dévisageait d'une telle manière dont je ne saurais décrire.

Après mainte relooking il décide de s'en aller mais revient ensuite sur ses pas il se dirige vers les baffles et enlève le sons et se retourne vers moi qui étais toujours à même le sol.

Lui: tu te crois dans une chicha pour te permettre de mettre la musique à fond ainsi ?

Moi:...

Qu'est ce que vous voulez je lui dise hein ? Svp aidez moi parce que là chai pas quoi lui répondre chui en manque total de mots.

Moi: haaaaaaaaa....

Il venait de me tirer par mon tissage purée comment la douleur est aller jusqu'au fond de mon coeur, il l'a fait avec une telle brutalité que j'avais l'impression qu'il allait m'arracher les cheveux de leurs racines.

Lui: sa**** quand je te parle tu me répond tu crois chui ton bouffon moi ? hein ? je ne répéterais pas la question une troisième fois donc je te conseille de nettoyer tes sales oreilles et de m'écouter ! Tu te crois dans une chicha pour te permettre de mettre le sons à fond comme ça ?

Moi: n...non désolé !

Lui: que sa soit la première et la dernière fois que cela se produit c'est pas parce-que mes parents t'ont permis de vivre chez moi que tu vas te permettre de faire ce que tu veux t'es chez moi ici donc fait en sorte de m'éviter si tu ne veux pas te retrouver dans ta tombe avant l'heure OK ?

Moi: OK OK !

Lui: avec tes faux cheveux de pouf***** -dit-il en crachant près de moi et en me lançant quelques mèches de mon tissage à la figure avant de s'en aller-.

Auditeur sortie que je m'écroule au sol et laisse couler mes larmes. Qu'ai je vais Allah qu'ai je fais pour mériter un soit disant mari comme ça ya Allah tu m'a enlevé celui que j'aimais pour me donner un tel monstre sans coeur.

Mes pleurs s'intensifiaient de plus en plus j'avais mal moralement et physiquement. En quelques mots il a réussi à réveiller cette douleur qui se trouve en moi. Morry était l'opposé de Mensur, il était tellement doux avec moi gentil attentionné jamais il ne m'avait traité comme Mensur le fait, il m'avait promis que jamais quelqu'un ne me faisait du mal qu'il serait toujours là pour me protéger et prendre soins de moi mais hélas Dieu l'en a priver. Chui sûr que s'il était vivant je ne serais pas là à vivre cela a ressentir cette douleur qui me tue.

La douleur à la cheville s'intensifiait et à force de pleurer j'avais mal au crâne, je décide de me ressaisir et rampe vers les baffles et débranche mon téléphone il étais déjà 18h et cela faisait plus de 2h que j'étais là.

Je décide de me lever sachant que la douleur à la cheville ne me le permettra sûrement pas. Comme je l'avais c'était impossible pour moi de poser mon pied c'est donc de rampant que je sort de cette salle.

C'est toujours dans cette activité que chuis allée prendre des classes dans la cuisine pour les poser sur ma cheville j'ai continué à faire cela pendant des heures. Quand ça c'est calmer chuis aller faire mes ablutions et prier avant de m'endormir.

Le lendemain.

Chai pas ce qui c'est passé pendant la nuit mais mais la douleurs avait tripler et mon pied avait doublé de volume ça faisait très mal l'intérieur me brûlait chavais pas quoi faire chais pas parler allemand et le domestiques ne comprennent que ça seul le gardien comprenait anglais mais je pouvais pas aller jusqu'au portail fallait déjà que je réussi à sortir de ma chambre.

Comme hier j'ai alors décidé de ramper arrivée devant les escaliers c'est avec peine que j'essayais de les descendre, je sais pas ce qui c'est passé mais je me suis retrouvée entrain de m'en rouler sur moi même en les descendants ma tête se frappait à chaque marché à la fin quand j'étais au sol hé sentais un liquide couler de ma tête.

J'avais le corp en feu partout me brûlait surtout au niveau ne côtes, je sentais que j'allais m'endormir.

..: Sale co*** tu fais quoi sur le sol Pendant que mes parent nous attendent pou.. Putains c'est quoi ce bordel ?

J'avais reconnu sa voix c'était celle de Mensur jamais je n'aurais crue être heureuse de le voir.

Moi: j...j...

J'essayais de parler mais j'arrivais pas c'était tellement difficile pour moi. Je l'entendais me parler mais la voix me semblait lointaine petit à petit je me sentais m'en aller et là black hole plus rien....

Je venais de me réveiller avec des maux de tête insupportable j'avais la vue un peu brouiller.

Quelques minutes après m'être un peu ressaisi les bipbips d'une machine me font comprendre que chui dans une salle d'hôpital j'ai subitement eu les larmes aux yeux la dernière fois que j'y étais c'était à sa mort et depuis j'ai toujours détester les hôpitaux.

J'ai commencée à pleurer sans me contrôler en pensant de ce terrible jour, je voulais m'en aller de là je ne voulais pas rester une seconde de plus en essayant d'enlever le drap de sur mou et sorti du lit j'à vais l'aire paralyser j'arrivais pas à bouger ma main droite, avec ma main gauche je décide donc d'enlever le drap.

J'avais une attelle au bras droit et au pied gauche cette image m'a fais encore plus pleurer. c'est quoi cette merde ? En un claquement de doigt chui devenu handicaper vous aller dire que j'abuse que j'c'est passagère chai pas quoi ?! Je déteste tellement ne pas avoir un membre en activité et là c'est carrément deux !

J'étais énerver triste abattu et ces maux de tête qui n'arrangeait rien c'est dans ces moments que je ressens plus sons absence s'il était envie il serait sûrement entrain de me réconforter et me faire ses blagues pourries pour me changer le moral.

J'ai si envie de le rejoindre, chai que la bas il est en paix sans soucis et cela me donne plus envie d'être près de lui la bas je sais qu'on vivra notre amour comme on le veux sans la jalousie de quelqu'un sans la rancœur de mon frère j'ai si mal, tellement mal depuis son départ je n'ai connu de joie et voilà que du jour au lendemain je me retrouve mariée et cela a et psychopathe qui ne m'a donner de répit je ne sais pas comment j'en suis arrivé là.

Si je résume j'ai été mariée y'a plus de deux moi de cela dans mon dos avec un fou allié qui coïte des filles à l'aide des chiens et 12 jours après je me retrouve handicaper plus misérable que moi tu meur. C'est décider je vais rejoindre l'amour de ma vie à l'haut de là j'en ai marre de souffrir sur cette, j'en ai marre de tous le monde, de tous. Avec ma main gauche j'essaie de défaire mon tissage mais ça avait l'air d'être coincé je balade ma main autour de la tête et constate que j'avais un bandage c'était la goûte de trop une blessure à la tête qui risquait sûrement de me laisser une cicatrice.

Je défait le bandage et commence à décoller les mèches de tissages à mes nattes. Il ne fallait absolument pas que je meure avec ce truc haram sur la tête.

[...]

J'étais entrain de galerer à détacher mes tresses toujours en pleurs quand la porte s'ouvre sur Mensur. Non pas lui pa....

Lui: mais t'ai folle ou quoi pour quoi t'as enlevé ton bandage ?

Vous aller peut être être étonné mais en ce moment là je n'avais aucune peur rien je ne sais pas si c'est ma détermination à me donner la mort ou autre mais je ne pas peur de lui du tout.

Lui: t'est tcharbe ou quoi ? C'est à toi que je jacte !

Je ne lui répondais pas et continuais mon activité toujours en pleurant.

Moi: lâche ma main c'est quoi ton problème -dis-je entre des sanglots-.

Lui: parle moi encore comme ça tu verra comment ne vais t'encastrer !

Moi: laisse moi je veux juste défaire mes tresses -pleure-.

Il n'a plus parler et m'a juste regarder pendant quelques secondes.

Lui: pousse toi !

Je me pousse sans piper et c'est avec étonnement que je le vois mettre c'est mains dans ma tête et tirer les mèches.

Lui: putain une tumeur celle là !

Moi: pleure.

Je n'avais pas la force de lui repousser ou lui répondre après avoir fini il est parti dans la salle de bain je crois qu'il est aller se laver les main deux minutes plutard il est ressorti.

Lui: Gott toi aussi arrête de chialer merde ! -dit-il en s'assayant sur la chaise près du lit-.

J'ai essuyé mes larmes en essayant de calmer mes pleurs et lui il était la à me fixer on dirait un extraterrestre ce qui me stressais énormément.

J'ai retourner ma tête vers la fenêtre avant de commencer à penser à ma famille fallait que je leurs parle une dernière que je leurs demandes pardon pour te ce que je leurs ai fais que je demande pardon à sorry pour tous le mal que j'ai pue lui faire qu'ils m'excuse tête égoïste de leurs abandonné mais fallait que je m'en aille de ce bas monde Starfllah chai que c'est haram mais je n'ai pas d'autre choix j'ai tant souffert sur cette terre il est temps pour moi de trouver mon havre de paix mon coeur est si meurtri par les balafre de la vie qu'il ne bat presque plus.

Seul Morry peu lui redonner vie seul Morry peu lui refaire battre normalement c'est pour quoi je veux lui rejoindre immédiatement.

Moi: peux tu me passé ton téléphone s'il te plaît ?

Mensur: pour faire quoi ?

Moi: j'ai besoin de parler à mes parents !

Lui: tiens ! -dit-il en me tenant le portable-.

Moi: merci ! -dis-je en composant le numéro de ma mère-.

C'est à la troisième sonnerie qu'elle décroche. À peine entendit-je sa voix que mes larmes reviennent et dire que c'est la dernière fois que j'entends ça mélodieuse voix, rien qu'en imaginant cela mon coeur se fend.

Elle: allô allô qui est ce à l'apareille ?

Moi: Amita c'est moi ! -dis-je entre deux sanglots-.

Elle: -en paniquant- Khoria qu'est ce que tu as han ? Moun de bi la et bé moun kachi là i te couma wa ? (hein ? Qu'est ce que t'as pour quoi pleur tu ? Ne parle tu pas ?).

Moi: Amita pardonne moi pour tous le mal que je t'ai fais tous le bêtises que j'ai fais pendant mon enfance chui sincèrement désolé excuse moi de ne pas t'appeler maman comme tu le mérite p... -pleure-.

J'arrivais plus à parler à cause des étouffement de mes pleurs.

Elle: hé Allah massa tènè moun de bé ye kana n'dousou kachi saa et be moun kachi la ? Allah kama afo niè ?! (hé Allah Dieu tata qu'est ce qu'il y a ne m'inquiète pas tu pleure quoi à cause de Dieu dis moi ?!). -dit-elle avec une voix tremblante-.

L'entendre me parler ainsi avec cette voix me fais redoubler de pleur.

Je voulais lui répondre quand je sans qu'on m'arrache le téléphone des mains c'était le propriétaire ''Mensur''.

Lui: non tata !

Amita:...

Lui: calmez vous tata elle va bien elle a juste eu un petit accident !

Juste un petit accident mon oeil oui !

Amita:....

Lui: non ce n'est pas si grave que ça !

Amita:....

Lui: non elle est tomber des escaliers !

Amita:....

Lui: ce n'est pas la peine que vous veniez chui là je prendrai soin d'elle !

Amita:...

Lui: d'accord je vous tiendrai au courant !

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