Chapitre : 02

Mon père m'a dit d'enlever les vêtements qu'il voulait me montrer quelque chose et que cette chose est vraiment intéressante. J'avais hâte de connaître cette chose qu'il voulait me montrer. J'ai enlevé tous mes vêtements, et je me suis couchée. Mon père a enlevé son pantalon et il s'est approché de moi.

___ Ferme tes yeux.

J'ai fermé les yeux avec mes deux mains, je n'avais rien vu venir. Comme par magie, j'ai senti quelque chose au bas ventre. Quelque chose dont j'ignorais complètement la taille, la chose me faisait tellement mal jusqu'au point ou je n'arrivais pas à supporter la douleur.

___ Aïe ! Aïe ! Aïe ! Exclamais-je, Papa j'ai mal. S'il te plaît.

___ Ferme les yeux.

Malgré la douleur et mes cries mon père ne m'a écouté. Il faisait ce qu'il voulait avec mon bât ventre, j'ai enlevé mes deux mains qui étaient sur mon visage pour regarder mon père.

Il était dans une position imaginable, je ne sais pas comment vous l'expliquer. J'étais encore une petite fille, me rappeler de ces trucs me donne l'envie de tuer mon père.

Mon père me regardait tout en faisant son truc. Il était sur moi. Il me souleva et continua ses mouvements de va-et-vient, je ne ressentais rien que la douleur. Soudain, une idée me traversa l'esprit.

J'ai commencé par cier, malgré ces interdictions, je lui ai pas regardé. Mes cries étaient tellement forte jusqu'au point ou mon père m'a giflé dans le but de me calmer pour qu'il puisse continuer son travail mais j'ai encore continué avec mes cries. Soudain, j'ai senti un liquide dans mon fort intérieur, le truc était tellement chaud jusqu'au point ou je ne m'arrêtais pas de me demander si mon père m'a mis quelque chose qu'il avait chauffé dans mon bât ventre.

___ Si jamais tu dis quelque chose à ta mère ou à qui que ce soit, je vais te frapper.

Il prit ses vêtements et sortit. Assise sur le lit, je tremblais comme une folle, je n'avais aucune option, j'avais trop peur de mon père. Et ces quelques phrases qu'il venait de me lancer à la figure m'amenait à me méfier plus de lui. Je me suis levée tout doucement, mon drap était déjà inondé du sang. J'avais aucune idée de comment ce sang s'est retrouvé sur mon lit. Pour moi, je pensais que c'était parce-que mon père avait mis quelques choses de léger dans mon bât ventre qu'il y avait assez du sang mais je me trompais. La vraie réalité était que je vienne d'être déviergée par mon propre père.

J'ai passé toute le reste de la soirée à pleurer comme une chienne qui venait de perdre sa mère. Je ne savais plus quoi faire ? À chaque fois que j'essayais de marcher, je n'arrivais pas parce-que j'avais trop mal au bât ventre. J'ai fait tout doucement et j'ai enlevé le drap, même ma robe que j'avais mis ce jour la était inondée du sang.

J'ai tout enlevé et je suis sortie. Arriver au salon, mon père était déjà la, il jouait déjà à l'inoncent, il me regarda tout comme ci j'étais une étrangère à ces yeux ou j'étais pas sa fille.

___ Où vas-tu avec ces trucs ?

___ Papa je vais le mettre dans mes vêtements qui sont dans le couloir.

___ Va les mettre dans le pressing, je vais m'occuper de ça avant que ta mère ne rentre à la maison. Et si jamais tu dis quelque chose à ta mère sur ce que nous venons de faire, tu es une fille morte.

J'ai déposé les trucs par terre et je suis allée dans ma chambre. J'étais trop tromatisée, je pleurais comme une folle. J'avais une seule envie " me suicider" pour laisser tout derrière moi.

Je pleurais toujours lorsque mon père qui m'apportait les trucs, s'est arrêté à l'entrer de ma porte et il s'est mis à me regarder. Je ne reconnaisais plus mon père, il a changé complètement, lui qui était calme et gentil avec moi était devenu un monstre. Il s'est approché de moi et il s'est assis à mes côtés.

___ Est-ce que je t'ai frappé ?

___ Non.

___ Je t'ai fait quelque chose ?

___ Non

___ Pourquoi tu pleures ?

___ J'ai mal au bras ventre.

___ Ça ira beaucoup mieux. Ton vagin n'a jamais reçu un tel coup c'est pourquoi.

Un vagin, c'était pour la toute première fois que j'ai entendu ce nom. Donc l'endroit par où mon père m'a pénétré s'appelle le vagin.

À suivre