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Chapitre 10

- Je t’écoute

- Mais JJ de quel droit tu me le demandes ? Je t’ai appelé ici plusieurs fois tu n’as pas décroché. J’ai laissé des messages tu n’as pas fait signe. Et tu viens me demander ce que je fais ici ? Laisse-moi.

- hé, mademoiselle fais attention à qui tu parles me cria JJ

- Mais je n’ai pas envie de te répondre

- Ok on verra donc.

- En tout cas laisse moi je suis avec mes camarades

- Allons-y je t’accompagne.

- Je suis déjà accompagné, si tu n’as pas remarqué. La boisson donnait le courage en réalité j’étais contente de le revoir et j’avais envie de sauter à son cou mais je ne pouvais pas. Heureusement nyango a choisi le moment la pour venir me parler.

- Hé, Ange tu connais Alama ? LE chouchou des femmes ?

- Oui je le connais. Il me draguait au village

- Sérieux ? mais il aime les femmes jusqu’à son père est super riche et il se croit tout permis. Pardon vire le. Nous allons bientôt rentrer tu sais que on nous réveille à 5h donc on doit déjà penser à partir il est 3h.

- Ok. Je me sens même pas bien j’ai la tête qui tourne à cent à l’heure. Je ne comprends pas pourquoi il vient me gâcher la soirée.

- Il est un homme et la jalousie va le tuer de te voir avec un autre mignon en plus en boite. Tu es la star ooooh, les hommes te discutent en boite, la villap’s a évoluée, elle a éclaté de rires.

- Laisse-moi.

JJ, me regardait et épiait tous mes gestes. A un moment il est venu me prendre par le bras, m’a amené dans un coin de la salle ou c’était noir et m’a embrassé avec force, Il s’est mi à me caresser partout, envoyant ses mains sous ma jupe, je ne m’y attendais même pas. Mais je ressentais une sensation de plaisir. Il me chuchotait à l’oreille.

- Tu aimes ca ?

Je ne répondais pas, j’allais même dire quoi ?en même temps il tenait ma tenait avec sa main droite et utilisait sa main gauche pour me caresser le sexe. Il a écarté mon slip d’un coté de son pouce et a mi toute sa main sur mon sexe, j’ai eu un plaisir tout au long de mon corps quelque chose de nouveau, jamais ressenti. Il a essayé de m’écarter les jambes et soulever ma jupe, j’étais toute tremblante de plaisir c’était bon ce qu’il faisait de ses mains. Il m’a coincé de son pied gauche pour pas que je m’échappe.

Je n’avais même pas l’intention de fuir je sentais du plaisir, jamais ressentie avant.

Il m’embrassait en m’appuyant les joues pour que j’ouvre bien ma bouche il était sauvage et j’aimais cette sauvagerie, il me brutalisait ou c’est comme ca que on faisait moi je ne sais pas, j’ai instinctivement soulevé mon pied gauche pour mieux lui laisser le champ libre à avoir accès à mon intimité. Il a ouvert sa braguette, de la main gauche et baisser son pantalon vite fais avec son caleçon, puis a collé son membre dur sur ma kiki, il voulait entrer, mais d’un mouvement de dernière minute j’ai eu du recul...

- Il ne faut pas, tu veux que j’attrape les maladies ?MÊME LES VILLAGEOISES CONNAISSAIT LE SIDA PARDON

- Mais je ne suis pas malade.

- Nooooooon, je refuse et puis laisse moi tu es fou ? ou sont tes femmes ?

- Mais tu parles de quoi ?

- Laisse-moi ! Je l’ai violemment poussé.

- Mais…Ange. J’ai vite repoussé j’ai arrangé ma jupe et je me suis enfuie de toute mes jambes. J’ai trouvé les autres filles, Dieu merci nous sommes reparties vite fais il était déjà 3h30minutes. Le gardien nous a ouvert le portail, je n’arrivais même pas à réaliser que j’étais sortie et que j’avais failli faire une chose d’irréparable en pleine boite. Quelle image ? quelle vie. J’avais la tête pleine et j’étais mal j’ai vomi en pleine cours. Les grandes sœurs pouvaient me tuer, car je faisais du bruit.

- Tu as d’abord bu pourquoi ? arrête de vomir tu vas nous faire attraper tsuiiip.

La grande sœur a ouvert les toilettes, elles avaient le double des clés des douches c’est par la qu’on passait pour avoir accès au dortoir. On n’a enlevé nos chaussures et on n’est entré avec calme au dortoir. Malheureusement pour moi, je ne voyais pas bien, j’ai donc cogné mon pied avec force sur le rebord d’un lit, ce qui m’a fait hurler de douleur toute suite la surveillante s’est réveillé. Elle a débarqué avec rage. Toutes les filles ont sauté sur les lits y’en avait qui se retrouvaient même deux par lit.

Elle a allumée

- Qu’es ce que c’est ? Qui a crié ?

Personne n’a réagit elle est entré, a essayé de regarder partout, puis a éteint et est sorti. Tout le monde a eu chaud. On allait me tuer.

Le réveil n’a pas été facile, mais le dimanche on dormait jusqu’à 8h. J’ai pu récupérer un peu.

La fin du 1er trimestre approchait, mes résultats étaient mauvais, on n’avait pris gout de sortir chaque samedi. Mon amoureux ne me parlait plus depuis la dernière scène de la boite.

Jean-Jacques essayait de venir me voir à l’internat un dimanche de visite, il m’a invité chez lui après la sortie pour qu’on parle de nous. Il m’a juré qu’il m’aime de tout son cœur. Je ne suis pas resté indifférente, à tout cela. J’avais l’intention de saisir ma chance avec lui. Il m’a rassuré et j’étais sous le charme.

La fin du 1er trimestre, était mauvaise on n’a toutes échoué. J’allais dire quoi à ma mère ?

Je m’en foutais même. Moi j’avais appris la vie, et je voulais vivre ma vie. L’école même fatiguait déjà.

La sortie du jour la je suis allée chez Jean-Jacques. Il est venu me chercher. Nous sommes allés chez lui. Waouh !!! La maison était immense et belle. Dans une très grande cour avec des arbres partout, les manguiers, casa manguiers, les avocatiers bref c’était un vrai petit paradis.

La maison en soi avait des carreaux partout c ‘était magnifique, y’avait même les dépendances et une grandes cuisine derrière avec une cuisine externe pour le bois. J’étais émerveillé par tout ca et impressionné je comprends toute la vantardise de ses sœurs. Heureusement qu’elles n’étaient pas la. Parait qu’elles étaient toutes internes comme moi. Dieu merci je ne voulais pas gérer leur toise ment et puis je n’allais pas me laisser faire.

Il m’a fait visiter la maison, c’était paradisiaque. Y’avait une porcherie, un poulailler et plus en bas toute une maison avec une cours pour Jean-Jacques. Donc on n’allait pas être dérangé par les parents. J’étais enfin prête de ce qui allait m’arriver. Ma tante savait qu’on allait en congés le lundi donc elle m’attendait chez elle lundi. Nous étions vendredi et Jean-Jacques voulait que je passe le weekend- avec lui. J’étais ravie. On n’allait gérer l’échec après. Teerenstra la était même dur jusqu’à.

Nous sommes allés dans notre appartement et j’ai constaté la propreté du gars. Il était tellement propre tout était rangé à la perfection. Y’avait une cuisine aussi chez lui un salon, et une autre chambre.

- Je vais te balader dans Bertoua tu veux bien ?me dit jj

- Bien, sur.

- OK apprêtes toi. J’étais un peu intimidé de me déshabiller devant lui il est donc sorti, et la je me suis changé puisque j’avais la tenue sur moi.

- Je suis prête.

Nous sommes d’abord allés chez un de ses amis. Ainsi la tournée débuta.

Nous sommes rentrés vers minuit, j’étais épuisé.

- Je vais te laisser dormir dans la chambre, je vais dans l’autre chambre, Ekié saoul de mon état le gars voulait me laisser seule ?quelles ironie !!!

- Mais non, vient me prendre dans tes bras…

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