Chapitre 5 : Veux-tu être ma fiancée ?
PDV de Victor
Je vois que mes efforts ne sont pas vains. Mais elle a un peu peur. Mais pourquoi ? Je prend ses mains que je caresse, je mets un genoux à terre avant de faire sortir une petite boîte en velours rouge. Le rouge est sa couleur préférée. J'ouvre la boîte et le joyaux scintille à la lumière. Je la vois écarquiller les yeux comme une soucoupe et la bouche ouverte.
-Chérie, ferme la bouche, tu baves.
Par réflexe, je la vois essuyer le coin de la bouche. Ce qui me fait sourire. Et c'est là qu'elle remarque que je paie sa tête.
-Tu es fou.
-Je connais mon cœur. Emmeraude Worou, je ne sais quoi dire. Des fois, tu penses que je ne t'aime pas assez. Mais c'est faux.Tu es la femme avec qui je veux passer le reste de ma vie. Emmeraude, donne-moi une chance de te démontrer à quel point je t'aime, stp, sois ma fiancée.
Elle commence à pleurer. J'essuie ses larmes et la prend dans mes bras. Elle se détache de moi.
-Victor, c'est une surprise réussie. Je ne m'attendais pas du tout. Merci, je veux passer le reste de ma vie avec toi, alors j'accepte d'être ta fiancée.
PDV de Emmeraude
J'ai les larmes aux yeux. Enfin mon rêve est devenu réalité. Devenir la fiancée de cet homme devant moi. Il m'a mis la bague au doigt. Oh mon Dieu. C'est magnifique. C'est en Emmeraude verte comme mon nom et une grosse pierre en diamant au milieu. Incroyable.
-C'est un peu trop, non ? Un jour, je serai kidnappée à cause de ce bijoux.
-Tu mérites plus, ma belle.
Je m'approche de lui et je commence à l'embrasser. Il répond à mon baiser. Je le vois à la recherche de ma langue. On s'embrasse langoureusement jusqu'à bout de souffle. Il me soulève en mode princesse avant de me déposer délicatement sur le lit. Il me débarrasse de mon haut puis mon pantalon en tailleur. Il recommence à m'embrasser, dépose des baisers sur mon cou, mon ventre et vient mordre mon lobe. Un léger gémissement s'échappe de ma bouche. Je lui laisse enlever ses vêtements. Je le vois sourire. Il caresse mes cuisses puis se débarrasse de mes lingeries. Il joue avec un de mes seins. Je suis très trempée et je n'arrive plus à me retenir. Je le vois enlever sa culotte blanche et son enjin sort comme un ressort. Je ne me lasse jamais de cet homme.
Et oui, ce n'est pas notre première fois. Et il n'est pas mon premier homme non plus. J'ai vécu à l'étranger après tout. Ce n'est pas pour autant que vous allez pensez que je suis frivole ou dépravée. Ma première relation n'a pas marché, c'est tout, ça arrive non. Bon, revenons à nos moutons.
Après ces multiples caresses, je me tordais de désir. Sans plus attendre, il entra en moi avec tendresse et fougue. Le seul bruit qu'on attendait étaient nos gémissements. Il me donna des coups de reins brutals. Il continuait à accélérer le mouvement jusqu'à ce qu'on atteignent nos apogées.
Le matin, je me réveille en remémorant les événements d'hier. Je revois mon doigt. Ah la bague y est et ce n'est pas un rêve. Victor se met à rire derrière moi.
-Ce n'est pas un rêve, Emmeraude. Tu es maintenant ma tendre fiancée.
-Oui, je sais.
En parlant, mon téléphone se met à vibrer. C'est ma meilleure amie, Marissa. Elle vit aux Etats-Unis depuis cinq ans.
-Oui, ma belle.
-Ma chère Emmeraude, viens me chercher à l'aéroport dans trente minutes.
-De quoi tu parles, Marissa ? Pourquoi ne pas prévenir d'avance ?
-Parce que je suis ta meilleure amie. Et tu es ma seule famille à part mon frère.
-Et en parlant de lui, n'est-il pas rentré avec toi ?
-Non, il est occupé. Bon, je t'attends.
Puis elle raccroche. Je soupire un moment avant de regarder Victor.
-C'est Marissa, tu la connais. Toujours dans les nuages. Je dois la récupérer à l'aéroport. Tu m'accompagnes ?
-Oui, allons prendre une douche. Où vas-t'elle vivre ?
-A ton avis, içi.
A peu près quarante-cinq minutes plus tard nous arrivons. Je la cherche un moment et la remarque avec ses valises roses bonbons. Cette fille vraiment. Toujours à se faire remarquer. Je m'approche d'elle et Victor récupère ses valises. Dès qu'elle me voit elle commence à crier. Oh mon Dieu, comme j'ai honte. Elle me couvre de bisous avant de nous suivre. Elle continue de crier. Victor ne cesse de rire.
-Oh, Marissa, heureux de te revoir. Toujours de bonne humeur ?
-Victor, Victor. Je suis rentrée chez moi et là, mon cœur est content. Mais je pense que ma meilleure amie ne l'est pas. Je secoue la tête avant de la pousser dans la voiture. Puis je lui dis.
-Boucle ta ceinture, stp, ma folle. Je veux que tu vis encore longtemps.
-Hahaha, Emmeraude. Que Dieu m'en préserve. Amen. Je vivrais un bon moment et si je meurs, je te hanterai toute ta vie.
Je m'assoie a côté de Victor puis il nous conduit à la maison quand la folle s'agite dèrrière.