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Chapitre : 07

Il était très tard dans la nuit quand il se réveilla, encore engourdi par le sommeil. Il se leva lentement et se dirigea vers la salle de bain. L'eau chaude du bain était un réconfort bienvenu, apaisant ses muscles fatigués. Après s'être rincé et s'être habillé de manière décontractée, il descendit pour prendre un repas simple. La nourriture, bien que modeste, était suffisante pour apaiser sa faim. Une fois satisfait, il retourna se coucher, sans se préoccuper de quoi que ce soit d'autre.

***

La grande salle de l'hôtel, décorée avec opulence pour l'occasion, débordait de monde. Les tables, ornées de nappes blanches immaculées et de chandeliers en cristal, étaient envahies par des familles élégantes et des invités qui semblaient avoir surgi de nulle part. L'atmosphère était animée, remplie des rires et des discussions animées des convives. La soirée était en l'honneur d'un riche mécène dont la fortune était aussi célèbre que son nom.

Sophie, dans une robe élégante qui attirait discrètement les regards, glissa quelques mots à l'oreille de son compagnon. Ses lèvres effleurèrent l'oreille de l'homme, murmurant une demande à peine audible au-dessus du brouhaha environnant. L'homme, sans poser de questions, se leva de sa chaise. Il fit un signe de tête vers Sophie, qui l'attendait déjà, et ensemble, ils se dirigèrent vers les toilettes réservées aux hommes de la classe moyenne, loin des regards curieux et des conversations luxueuses de la soirée. Le contraste entre le luxe de la fête et la simplicité des toilettes où ils se rendaient était frappant, mais ils s'y glissèrent avec une discrétion certaine.

À peine eurent-ils franchi la porte des toilettes, que Sophie se précipita vers Jean, l'enlaçant avec une intensité qui surprit l'homme. Jean, bien que pris au dépourvu, tenta de la contenir, ses mains se posant sur ses épaules dans une tentative de maintenir une certaine retenue.

- Sophie, mais nous sommes à l'hôtel, entourés de personnalités influentes. N'oublie pas que ta famille est également ici.

Sophie, les yeux brillants d'une lueur déterminée, murmura sans se départir de son élan :

- Je me fiche de la famille, chéri. J'ai toujours eu un fantasme : être prise ici, dans les toilettes de l'hôtel.

Jean, le visage marqué par l'incrédulité, secoua la tête :

- On repassera prochainement.

Sophie, avec une impatience palpable, se colla davantage à lui :

- Non, je veux ça maintenant. Je te promets que ce ne sera pas long et que je ne crierai pas. Je te demande juste de me faire l'amour. Tu n'as pas besoin d'être violent. À peine quinze minutes, et ensuite nous pourrons retourner à la fête.

Jean, visiblement réticent, répondit d'une voix ferme.

- Prochainement.

Sophie, déçue, fit volte-face pour quitter les lieux. Mais avant qu'elle ne puisse ouvrir la porte, Jean la tira doucement par le bras et, sans un mot de plus, plongea ses lèvres sur les siennes. Le baiser, d'abord hésitant, se transforma rapidement en une étreinte plus ardente. Consciente de ce qui allait suivre, Sophie céda, son corps se relâchant sous la pression de ses désirs.

Aussi vite qu'un éclair, Sophie fit glisser son string le long de ses jambes et le lança au fond de la douche. Elle poussa ensuite Jean, qui s'assit sur le pot, elle s'accroupit, ouvrit déboutonna le pantalon de son mari et fit sortir son bangala.

Sophie, avec une détermination sensuelle, se pencha vers Jean, ses mains tremblantes d'excitation. Elle commença à le caresser doucement avec sa bouche, ses mouvements de va-et-vient créant un rythme lent mais irrésistible. Chaque geste était mesuré, conçu pour maximiser le plaisir de Jean, qui réagit bientôt avec des signes évidents de jouissance croissante.

Après plusieurs minutes de cette stimulation orale, Sophie se redressa légèrement. Elle souleva sa robe avec une élégance précipitée, révélant ses jambes et la courbe de ses hanches. Sans attendre, elle s'assit sur les cuisses de Jean, les deux corps se rejoignant avec une sensualité palpable. Elle guida doucement son sexe vers le sien, l'enfonçant lentement en elle. Le contact initial était délicat, chaque mouvement de va-et-vient effectué avec une lenteur presque méditative.

Jean, absorbé par la sensation, caressa doucement le dos de Sophie, ses mains glissant avec tendresse le long de sa colonne vertébrale. Sophie continua à se mouvoir avec douceur, ses mouvements réglés et mesurés. Elle se pencha légèrement en avant, mordillant les lèvres de Jean avec une avidité contenue, qui était bien accueillie par les baisers réactifs de son partenaire.

Soudain, le rythme changea. Sophie accéléra, intensifiant ses mouvements, ses allers-retours devenant de plus en plus rapides et passionnés. Les gémissements des deux partenaires augmentèrent en volume, leurs respirations se mêlant dans une symphonie de plaisir partagé. Leur union se fit plus ardente, chaque mouvement rendant leur désir mutuel plus palpable.

Après environ dix minutes de cette étreinte effervescente, les deux atteignirent leur apogée. La satisfaction illumina le visages de Sophie, son fantasme réalisé dans cet espace clos. Légèrement essoufflée, elle se redressa avec un sourire satisfait. Elle rinça son visage avec de l'eau fraîche, remettant son string avec une précision rapide. Une fois prête, elle se redressa avec grâce.

Jean, qui avait attendu patiemment à l'extérieur des toilettes, accueillit Sophie avec un sourire complice. Ensemble, ils quittèrent les toilettes et retournèrent à la fête, leur esprit encore vibrants de leur récente expérience. Le contraste entre leur moment intime et la scène animée de la soirée était marquant, mais pour eux, la soirée continuait avec une nouvelle complicité.

La soirée continua sur son rythme effervescent, chaque instant amplifiant l'atmosphère de fête. Lorsque les derniers invités se mirent à partir, le père de Sophie se dirigea vers le jeune couple avec une démarche assurée.

- Jean, appela-t-il d'une voix grave.

- Oui, monsieur, répondit Jean, ses yeux cherchant une réponse adéquate.

- J'espère que vous passez une bonne soirée ?

- Oui, papa, tout va bien, confirma Sophie, un sourire contrôlé sur les lèvres.

- Chérie, est-ce que tout va bien pour toi ?

- Oui, papa, répondit Sophie, un éclat d'excitation dans ses yeux. Je me sens bien heureuse.

Après quelques échanges polies, le père de Sophie les laissa. Le couple se dirigea vers le riche hôte pour le saluer avant de quitter la fête. Le trajet de retour vers la maison fut marqué par une tension palpable. Sophie, incapable de contenir ses désirs, caressait fiévreusement les cuisses de Jean. Perplexe et troublé, ce dernier se tourna vers elle.

- Peux-tu attendre un peu ? demanda-t-il, la voix empreinte d'une légère panique.

- J'ai envie de toi maintenant, chérie. Fais-le moi ici, tout de suite, même en circulation.

- Et qui va conduire la voiture ? demanda Jean, le regard inquiet.

- Toi, bien sûr, ou bien laisse-moi simplement m'asseoir sur toi pour qu'on puisse faire ce qu'on a à faire.

- Pas en circulation, insista Jean, la voix tremblante.

À l'approche d'un feu rouge, Jean ralentit et s'arrêta. Sophie, profitant de l'occasion, défit le pantalon de son mari avec une détermination fébrile. Sa main se referma sur le sexe de Jean, le prenant en main avec une intensité qui le fit frémir.

- Mais Sophie .

- Laisse-moi faire seulement.

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