Une femme fontaine
LE MARI DE MA SŒUR ME BAI-SE
#Épisode_6
_Rhô, rhô, rhô, fit-elle étouffée par ma bite.
Je prends du plaisir dans la bouche de cette fille et le meilleur dans tout ça, elle a une gorge profonde. Oh mon Dieu. Je colle mes deux mains sur ses joues respectives pour tenir son visage et je cogne plus rapidement.
Moi : Ah...ah....oh Vicky, oh ouiiiiii.....
Je lève la tête pour regarder le plafond, j'ouvre la bouche et respire la bouche ouverte, tellement le plaisir me submerge.
Moi : Aaaaahhh......oh mon Dieu.....aahhh....
Je gémis de soulagement, c'est comme une délivrance pour moi. J'avais oublié ce que ça faisait de se faire tailler une pipe, une bonne pipe comme Vicky vient de le faire.
C'est vrai que sa bouche n'a pas pu engloutir toute ma bite dans son entièreté mais elle s'est débrouillée comme une experte. J'enlève ma bite de sa bouche et elle reprend profondément son souffle, mon sperme dégouline de partout.
J'ai jouis cependant ma bite est encore toute tendue, elle a tellement faim et il en faut plus pour la faire coucher. Vicky prend ma bite dans ses mains, ses deux mains parce qu'elle ne peut pas garder ma bite dans une main. Elle commence à la masser dans un mouvement de vas et viens, mon sperme fuite et atteri sur son visage.
Elle ouvre grand la bouche pour recevoir le sperme et continue de masser ma bite, cette fois le sperme a atteri dans sa bouche et sur son visage. Elle baisse la tête sous mon pénis et essaie de sucer la partie qui n'a pas pu pénétrer sa bouche.
Vicky : J'adore ta bite beau-frère, dit-elle en passant sa langue autour. Ma grande sœur a vraiment de la chance d'avoir une bite comme celle-là.
Moi : Malheureusement, elle ne sait pas profiter de cette chance, ta sœur est ennuyeuse au lit, elle n'innove pas, elle ne fait rien et ne veut pas non plus qu'on essaie les nouvelles positions. Dis-je dans un soupire de plaisir que me procure ce qu'elle est entrain de faire.
Vicky : Ah bon, dommage pour elle alors parce que moi je vais en profiter au maximum de cette merveille.
Elle a dit cela dans un éclat de rire puis elle s'est relevée du sol. Je l'ai porté et fait asseoir sur l'îlot central de la cuisine.
Je commence à l'embrasser, on s'embrasse salement, on se mange carrément les lèvres. J'attrape son sein que je presse fort, elle gémit.
Vicky : Anhhh....annnhhhh...
Moi : Ça fait mal ? Dis-je en la regardant dans les yeux.
Vicky : Oui... hum..... ça... anhhhhh, dit-elle en gémissant.
J'attrape son second sein dans mon autre main et presse les deux, je pince ses tétons, elle couine. Je pince plus fort toujours en la regardant dans les yeux.
Vicky : Humm...hummm....hum...
Je l'embrasse pour étouffer ses cris. J'adore ses lèvres, je les suce. Elle couine dans ma bouche. Je la fais coucher sur l'îlot et écarte ses jambes. Sa chatte bombée dans le slip me fait un effet de ouf.
Sans plus tarder, je lui retire son string et là, wow. Sa chatte est comme j'aime, bien épilée et en forme. Ses lèvres vaginales et son clitoris sont bien roses. Je tiens ses pieds et écarte d'avantage pour bien voir à l'intérieur de sa chatte.
Son trou semble moyen, ni trop large ni trop serré. Tout ça me met l'eau à la bouche. Je n'attends pas une seconde de plus, je mets ma tête entre ses jambes et commence à frotter ma langue contre son clitoris, je frotte avec insistance, elle gémit.
Vicky : Annnnnhhhh....anh...anh...oui bébé vas-y....
Je la suce comme un sachet de chocolat dans la main d'un petit enfant. Je souffle, j'aspire et je suce, j'adore bouffer sa chatte, ce qui m'étonne, parce que d'habitude, je n'aime pas trop sucer Emmanuella mais avec Vicky je le fais sans problème.
Le minou de Vicky est tout ce que j'aime au fait, bien épilé, bien serrée, bien rose et bien dodue. C'est de la bonne viande tout simplement et je peux passer toute ma vie à manger ça.
J'écarte davantage ses pieds et les tient fermement pour qu'elle ne bouge pas, je lui bouffe le petit minou, elle se dandine et se tord dans tous les sens.
Vicky : Hum...anh...anh....annnnnhhhh.....
Elle a insisté sur le "anh" de la fin parce que je sucais plus fort et rapidement. Elle gémit puis après un moment, elle a joui. Je me suis fait le plaisir de lécher le liquide qu'elle a libéré.
Moi : Tu es délicieuse, Dis-je en pressant un de ses seins.
Elle sourit coquinement. Je monte ensuite sur l'îlot et me positionne entre ses jambes, il est temps de passer aux choses sérieuses. Je glisse deux doigts dans son trou pour mesurer sa largeur. Je dois admettre qu'elle est très serrée pour ma bite et je crains qu'elle ne puisse pas la prendre.
Pour débuter, je glisse le bout de mon pénis dans son trou. Ce n'est que le bout unh mais elle a crié, je l'ai embrassé pour la détendre. Ça marche parce que je la sens plus relâchée.
Je commence ensuite à faire des vas et viens lents en la fixant dans les yeux. Je plaque ses mains sur l'îlot et les tiens fermement couché par le poignet. Au fur et à mesure, mes vas et viens se font plus brusque et plus rapide. Je sens son trou s'élargir et s'adapter à la grosseur de ma bite.
Vicky : Maman....ayiiii....anh... anh....anh....
Je suce ses seins et la pilonne plus fort, ses jambes bien écartées et ses mains plaqués contre l'îlot. Elle est toute à moi et je me fais le plaisir de lui labourer le minou.
Moi : Anh...anh....anh, criai-je en cognant plus fort.
Elle a suffisamment mouillée et je sens ma bite glisser naturellement dans son trou. Elle émet un cri lorsque ma bite pénètre sa chatte dans son entièreté. Je garde ce rythme et la pilonne.
À chaque coup de rein que je lui donne, son trou prend la totalité de ma bite, il ne reste plus que les testicules à l'entrée, je vais et viens.
_TOUP, TOUP, TOUP, sonne le bruit de chaque vas et viens. Je la bai-se sauvagement.
Vicky : Annnhhhh.....anhhhhh.....mamaaaannn.....
Elle crie et agite ses pieds en l'air.... elle pleure de plaisir. Je ne me soucie pas de ses cris, je continue de la pilonner sauvagement, elle crie tellement qu'elle risque de réveiller Emmanuella mais moi je m'en fiche.
Tout ce qui compte à l'instant c'est la chatte bien dodue de Vicky que je suis entrain de laminer. Je m'en contrefiche du reste.
Vicky : Anh...anh... ouiiiii....anh...anh....
Je diminue le rythme, j'y vais plus lentement. Je relâche ses mains et écarte ses jambes, je regarde mon pénis bien positionnée dans son minou. Cette fille a une belle chatte.
Je la tire vers moi par la taille. Je la tiens fermement par la taille et l'amène à faire des vas et viens sur ma bite. Je la secoue sur ma bite et l'amène à y aller plus rapidement. Je regarde ses fesses s'écraser contre mon bassin et sa chatte engloutir mon pénis.
Je joins deux de mes doigts ensemble et m'en sers pour masser son cli-toris. Je masse tout doucement, elle couine.
Vicky : Hum...hum....hum ...
Après un moment, je reviens à la charge. Je ressens encore l'envie de la pilonner. J'écarte ses jambes et maintiens ses pieds en l'air, je ramène ses mains que je colle à ses pieds et je garde ses mains ainsi que ses pieds fermement en l'air.
Je m'accroupis et me penche sur elle de sorte à ce que ma bite soit bien mis dans sa chatte. Je commence les vas et viens.
Comme je suis accroupi, ça m'est plus facile et plus confortable de la pilonner d'autant plus que je retiens ses mains et ses pieds. Elle ne peut plus donc faire le moindre mouvement, elle n'a d'autre choix que de subir.
Je la pilonne sans pitié, elle gémit à en perdre le souffle, je grogne de plaisir. Merde, elle est bonne !
Vicky : Hum maman....oui.... anh...anh...anh....
[TAP, TAP, TAP], je cogne rapidement dans son trou, mon pénis disparaît dans la profondeur de son minou puis ressort, ça disparaît puis ressort. Oh merde!
Je prends mon pied. Des parties de jambes en l'air, j'en ai eu dans ma vie et je peux vous dire que c'est la meilleure de toute ma vie, les innombrables fois où j'ai couché avec ma femme ne sont rien comparé à ça. Je me sens vivre entre les cuisses de Vicky.
Moi : Aahhhhhh! Oh ouiiii....oh mon Dieu....
Je crie lorsque je jouis en elle, j'ai jouis à double reprises, je vibre, je me couche sur elle et l'embrasse, ma bite dans sa chatte. Elle ferme les yeux, elle semble fatiguée, je sens son souffle faible. Je ne peux compter le nombre de fois qu'elle a jouit.
Je remplis son trou de ma foutre toute chaude.
Vicky : Hummm, gémit-elle après avoir senti mon sperme chaud remplir sa chatte.
Mon pénis est assèche, je le prend dans ma main et le secoue pour vider tout mon sperme jusqu'à la dernière goutte dans sa chatte. Je me relève ensuite et retire mon pénis de son minou. À peine, j'ai retiré ma bite de son vagin que je vois un liquide gicler, un peu comme de l'urine sauf que ce n'est pas de l'urine.
Moi : Tu es une femme fontaine? Lui demandai-je aux anges. Waouh, et pourquoi tu ne me l'as pas dit.
Vicky : J'ignorais aussi que j'en étais une, dit-elle visiblement surprise. On dirait que c'est toi qui m'a fait débloqué ce niveau, termine t-elle en riant.
Chacun de nous a une obsession pour quelque chose dans cette vie et mon obsession à moi c'est les femmes fontaines, j'ai toujours rêvé de faire gicler une femme mais malheureusement, Emmanuella n'est pas une femme fontaine et je suis tellement heureux que Vicky en soit une.
Je l'embrasse et suce ses seins.
Moi : J'ai adoré, t'es la meilleure.
Je suce ses lèvres et l'embrasse dans le cou.
Vicky : On remettra ça quand ? Dit-elle souriante.
Moi : Quand tu voudras!
Elle ne dit rien, elle sourit juste et descend de l'îlot. Je descends également. Il faut admettre que cet îlot est quand même très solide après ce qui vient de se passer, lol.
Elle porte son string et se met en face de moi. Elle m'embrasse, je presse ses fesses.
Vicky : Bonne nuit, dors bien, dit-elle en caressant mes lèvres de ses doigts.
Moi : Merci, dors bien également. Je t'adore.
Elle sourit coquinement et se dirige vers la sortie. Je l'interpelle.
Moi : Au fait, n'oublie pas de prendre des pilules parce que je crains que tu tombes enceinte après ce qui vient de se passer. Dis-je en ramassant mon bermuda du sol, je le porte.
Vicky : Ne t'inquiète pas pour ça, j'ai toutes sortes de pilules avec moi et je vais en prendre. Bonne nuit mon amour.
Elle me souffle un bisou sur le bout de son doigt et s'en va. Je reste debout et l'observe s'éloigner. Mes yeux sont rivés sur ses belles paires de fesses qui se dandinent. Je souris en repensant à tout ce qui vient de se produire.
#À_suivre