Une bonne suceuse
LE MARI DE MA SŒUR ME BAI-SE
#Épisode_5
Suite aux présentations, nous nous sommes relâchés les mains. Il était maintenant temps de partir. Manu récupère ma valise et l'installe dans la malle arrière de la voiture. Je monte dans la voiture et m'installe sur le siège arrière. Le mari de ma sœur me rejoint, il prend place sur le côté conducteur. On attend plus que ma sœur pour partir.
Manu : Vicky, tu ne dis pas au-revoir à maman ? Me demande t-elle en câlinant ma mère.
Ma mère : Laisse-la ma chérie, dit-elle. Elle me boude parce que tout ça c'est à cause de moi mais c'est pour son bien c'est ce qu'elle ne sait pas. Elle me remerciera plus tard lorsqu'elle aura son bac avec brio.
Manu : Tu as raison, dit-elle souriante. Sacré Vicky, bon je te laisse, prend soin de toi.
Ma mère : Prend soin de toi aussi ma chérie et merci pour tout !
Je les regarde se faire la bise et ma grande sœur nous rejoint dans la voiture. Ma mère me fait un au-revoir de la main. Je ne la calcule pas. Le mari de ma sœur démarre et nous partons. Je jette des coups d'œil à travers la vitre de la voiture et regarde mon quartier, les larmes aux yeux.
J'ai passé les meilleurs moments de mon enfance dans ce quartier, on m'a déviergé dans ce quartier et j'ai goûté les plus délicieuses bites dans ce même quartier. La voiture avance au fur et à mesure et on a déjà quitté le quartier. J'espère qu'il y des chauds mecs dans le quartier où on m'amène.
Le trajet a duré environ deux heures puis nous sommes arrivés à destination. Waouh, la maison du mari de ma sœur est tout simplement magnifique. Donc elle vivait dans tout ce luxe là quoi! J'y crois pas. Mais c'est le paradis ici. En plus ils ont des gardiens, des chauffeurs et tout...
Manu : Bienvenue chez moi Vicky, c'est ici que je vis avec mon mari et notre fils. Me dit-elle en ouvrant la portière.
Moi : Waouh, Dis-je émerveillée.
J'ouvre aussi la portière et ressort de la voiture. Je contemple la maison, stupéfaite. Une jeune femme est venue chercher ma valise pour l'amener à l'intérieur, je suppose que c'est la domestique.
Éric : Bienvenue chez nous Victoria, me lance t-il, surtout mets toi à l'aise et n'hésite pas à faire comme chez toi.
Moi : Merci, encore une fois, merci d'avoir accepté que je vienne habiter chez vous, je ne vous décevrai pas, je vous le promets.
Manu : Viens, allons-y me dit-elle en me tendant la main.
Je mets ma main dans la sienne et nous entrons. Ma stupéfaction fut encore plus grande lorsque j'ai vu l'intérieur de la maison. Waouh, donc les gens vivent vraiment le paradis sur terre quoi. Ma sœur m'a fait visiter une partie de la maison et je suis simplement restée bouche bée. Elle m'a ensuite amené dans ma chambre.
Manu : Voilà, me dit-elle, c'est ici que tu vas dormir. Voici ta chambre.
Moi : Tu es sûre que tu n'as pas confondu cette chambre avec la chambre de ton mari et toi? Dis-je, les mains à la bouche, c'est magnifique Manu. Merci, merci beaucoup.
Manu : De rien ma belle, je t'aime.
Elle me fait un câlin, je la câline aussi.
Moi : Je t'aime aussi Manu.
Manu : Bon je te laisse défaire ta valise et te familiariser avec ta chambre, dit-elle en se dirigeant vers la sortie. À plus...
Elle sort et ferme la porte derrière elle. Je parcours la chambre du regard, c'est m-a-g-n-i-f-i-q-u-e. Je vais vraiment vivre ici ?
Je saute sur le lit qui rebondit, j'eclate de rire, je suis toute joyeuse. Et dire que je tirais la tronche pour ne pas venir. Franchement, qu'est ce qui me prenait ? Une belle maison avec un beau mec, que rêvez de mieux ? Lol, je sais que c'est le chocolat de ma sœur mais n'empêche qu'il me plaît grave. J'ai déjà fantasmé plus de cinq fois sur lui.
******Le soir
Toute la journée, je suis restée dans ma chambre et je ne voulais même pas en ressortir. Si ce n'était pas que ma sœur a envoyé la domestique pour me dire que le dîner est prêt, je n'allais même pas en ressortir. Il y a tout dans cette chambre pour ne pas s'ennuyer, la télévision, l'abonnement etc....
Je suis descendue et j'ai vu tout le monde à table. Ma sœur, son mari et leur fils. En parlant de leur fils, c'est la première fois que je le vois. Il est mignon comme son père. Dommage qu'il ne soit encore qu'un enfant, vous voyez ce que je veux dire non ? Ptdr!
J'avance vers la table et y prend place. Je m'apprête à manger quand :
Manu : Attend ! (elle m'arrête)
Moi : Il y a un problème ?
Manu : C'est quoi cet habillement ?
Je me regarde. J'ai porté un crop-top qui dévoile mon nombril et un shorty jeans. C'est ce que je porte d'habitude.
Moi : Il a quoi mon habillement ? Demandai-je en baissant les yeux pour regarder mon habillement.
Manu : C'est trop petit, va te changer. Tu ne peux pas rester comme ça dans cette maison.
Moi : C'est comme ça que je m'habille. J'ai que des petits vêtements.
Manu : Et où est la robe que tu as porté pour venir ?
Moi : Quoi? Cette robe de vieille toute démodée ? C'est la robe de maman, c'est elle qui m'a forcé à porter ça.
Manu : Alors va la reporter !
Moi : Quoi ! Dis-je dépassée.
Elle me demande de me changer là ? Pourquoi ?
Moi : Pourquoi est-ce que je dois me changer ? Je n'ai plus le droit de porter ce que je veux ? Dis-je en me levant en colère.
Manu : Tu as le.....
Éric : Ça suffit, interrompt-il ma sœur l'empêchant de continuer à parler. Vous vous calmez c'est d'accord ? Manu laisse-la porter ce qu'elle veut bon sang, qu'est ce qui te gêne dans ce qu'elle a porté ?
Manu : Je rêve ou tu es entrain de la défendre Éric ? Lui demande t-elle dans un rire nerveux. Elle croise les bras et secoue la tête.
Éric : Je ne défends personne, je veux juste que tout ce raffût cesse. Laisse-la dans cette tenue pour ce soir, demain tu pourras l'amener acheter d'autres vêtements plus décent.
Ma sœur se lève de table et commence à gravir les escaliers. Son mari la suit.
Éric : Bébé, reviens, attend s'il te plaît, dit-il derrière elle.
Ils s'en vont.
Moi : Bon mon ange, il ne reste que nous, Dis-je à leur fils qui mange déjà tranquillement son repas.
Ah parfois, j'aimerais avoir l'innocence d'un enfant.
Moi : Comment tu t'appelles ? L'interrogeai-je en me rasseyant.
_Junior, dit-il timidement.
Moi : Ok enchantée Junior, moi c'est tatie Vicky.
Junior : D'accord tatie Vicky.
Je lui souris.
******Éric Golden.
Moi : Attend bébé ! Dis-je en marchant derrière ma femme.
Elle entre dans notre chambre et referme bruyamment la porte. J'entre à mon tour. Je la vois tapotant les pieds au sol et les bras croisés.
Moi : Qu'est ce qui t'arrive Emmanuella ?
Manu : C'était quoi ça ? Demande t-elle furieuse. C'était quoi ça ? Tu t'opposes aux ordres que je donne à ma sœur maintenant ? Tu trouves son habillement convenable ? Tu trouves ça convenable que je la laisse habillé comme ça devant mon mari et mon enfant de six ans ? Répond, tu trouves ça normal ?
Moi : Je n'ai jamais dit que son habillement était normal mon amour, Dis-je en me rapprochant d'elle dans le calme. J'évitais juste une dispute dans ma maison. Comme elle l'a dit, elle n'a que des vêtements de ce genre alors à quoi bon se changer ? Demain tu vas l'amener faire du shopping et elle va choisir de nouveaux vêtements.
Manu : Laisse-moi, dit-elle en me repoussant. Dis plutôt que tu aimes ça, avoue.
J'eclate de rire.
Moi : Tu es jalouse de ta sœur ? Tu crois que son habillement me fait un quelconque effet ?
Manu : Oui n'est-elle pas une femme? En plus elle est mille fois plus belle et sexy que moi, dit-elle en tirant la tronche.
Moi : Mais enfin Manu, elle n'est qu'une enfant, comment tu peux imaginer une seconde que je puisse la voir autrement comme une petite sœur ? Regarde-moi, Dis-je en l'amenant à me regarder dans les yeux. C'est toi seule que j'aime ok? Il n'y a que toi qui me fait de l'effet ok? Même étant habillée dans une tenue de grand-mère, tu es la seule qui me fait ban-der.
Manu : Donc tu veux dire que je m'habille comme les grands mères c'est ça ?
Moi : Non, Dis-je en pouffant de rire. Toi vraiment !
Je tiens son visage entre mes mains et l'embrasse de force, elle refuse de répondre à mes baisers au début mais se laisse finalement tenté.
Moi : Je t'aime mon amour.
Manu : Je t'aime aussi.
Moi : Allons dîner maintenant et surtout plus d'histoire d'accord ?
Manu : D'accord.
Nous sommes descendus rejoindre les autres pour terminer le repas. Il n'y a plus eu d'histoire entre Manu et sa sœur mais on pouvait sentir de la tension entre elles. Le dîner a enfin pris fin et chacun de nous a regagné la chambre.
Manu est allée dans la chambre de notre fils pour s'assurer qu''il est déjà couché. J'en profite pour prendre une douche vite fait parce que ce soir, j'ai vraiment envie de baiser.
À mon retour de la salle de bain, je trouve Manu couchée dans le lit, elle est déjà revenue à ce que je vois. Je me glisse tout nu, l'eau sur le corps, dans le lit. Je me mets entre ses jambes. Je l'embrasse.
Moi : Mon amour, j'ai envie de toi.
Je prends ma bite que je frotte contre sa chatte poilue qui est recouvert par le slip qu'elle porte. Je veux lui ôter le slip mais elle m'arrête.
Manu : Pas ce soir, s'il te plaît Éric. Je suis fatiguée, s'il te plaît.
Moi : J'ai tellement envie Manu, s'il te plaît, juste un coup, un petit peu.
Manu : Pas ce soir s'il te plaît.
Elle se retourne vers l'autre côté du lit et couvre son corps avec la couverture. Une main sous la joue, elle ferme les yeux m'abandonnant dans un état pitoyable, j'ai grave ban-dé. Comment on peut avoir une femme et ne pas bai-ser? Elle me fait le coup à chaque fois et tout ça commence franchement à m'énerver.
J'enfile mon bermuda et ressors de la chambre en colère. Je vais dans la cuisine, je ne sais pas comment calmer mon envie. Mon pénis ne cesse de s'allonger.
J'ouvre le réfrigérateur pour me prendre à boire et au même moment, Victoria débarque dans la cuisine. Ses seins sont à l'air libre, elle est juste en slip.
Vicky : Désolée, je pensais que tout le monde dormait déjà c'est pourquoi, je suis sortie comme ça de la chambre. Dit-elle en regardant mon entrejambe, elle a remarqué ma bite toute tendue.
Moi : Euh...euh... t'en fais pas, Dis-je sans quitter sa poitrine des yeux.
Elle a de beaux seins avec des tétons bien rouges et bien ressortis comme je les aime et sa chatte semble bien dodue dans le slip. Je bande davantage à la vue de ce beau corps.
Vicky : Je suis venue me chercher à boire, dit-elle en se rapprochant du réfrigérateur.
Elle se met devant moi et jette des coups d'œil dans le réfrigérateur à la recherche de quoi boire. Un mètre de distance nous sépare à peine. Je craque lorsque je vois qu'elle est en string. Elle a un beau derrière en plus.
Vicky : Je ne trouve pas le jus que je cherche, dommage !
Elle parle en se courbant pour regarder en bas. Ses fesses frôlent ma bite.
Vicky : Ce n'est pas là. Je vais y aller alors, dit-elle en se redressant.
Moi : Tu cherches quel jus de fruit? Je peux peut-être t'aider.
Sans le savoir, je fais tomber ma bouteille d'eau que je tenais en main, elle s'abaisse pour la ramasser. J'observe sa chatte qui est débordée dans le string. Quelle torture !
Vicky : Tenez, voici.
Elle me remet la bouteille que je prend sauf qu'à ce moment nous étions déjà collés l'un à l'autre. Je laisse tomber la bouteille et me jette sur ses lèvres. On s'embrasse sauvagement. Je presse ses seins dans mes mains.
Vicky : Hum... gémit-elle doucement. Hum ....
Elle glisse sa main dans mon bermuda et joue avec ma bite. Je grogne.
Je masse sa chatte dans le slip. Je mets mes doigts entre ses lèvres vaginales qui débordent dans le string. Quelle grosse chatte pour une fille de 19ans.
Vicky : Anh...anh...anh.... gémis-t-elle sous le supplice de mes doigts. Anhhhhh.....
Je continue de masser sa grosse chatte tout en suçant sa bouche comme un animal sauvage. Elle se détache de mes lèvres et s'accroupit devant mon entrejambe. Elle fait tomber mon bermuda. Le vent caresse mon pénis. Elle l'engloutit dans sa bouche. Pas dans son entièreté quand même parce que j'ai une grosse bite moi.
Elle me suce comme une experte, cette petite est incroyable. Ça fait longtemps que je me suis fait encore sucer parce que Emmanuella refuse de le faire. Quel bonheur!
Moi : Ah....ah....oh....oui...oui....grognai-je..oui... Vicky....
Elle me suce et s'attaque à mes couilles, elle les suce aussi. Oh oui, que c'est bon....je garde sa tête pour prendre appui et commence à faire des vas et viens dans sa bouche. Je sens ma bite cogner au fond de sa gorge.
Moi : Oh....oh....oh....oh.....oh oui....criai-je en cognant plus rapidement.
#À_suivre