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Chapitre 7 : La technique de l'illusion

Quand il ouvrit les yeux , il trouvait ses amis concentrés à fixer quelque-chose. Quand il posa son regard sur cette chose , il vit une sorte d'oiseau gigantesque devant lui. Ce n'était pas réel , non ! Quand Zack lui avait dit de se concentrer et d'imaginer , il imagina l'oiseau qui était venue vers Nath , la fille dont il avait fait la connaissance. Et voilà qu'un oiseau semblable se tenait devant lui .

Zack : Ne t'inquiètes pas ! Ce n'est qu'une petite partie de ta force. Tu en découvriras plus. Dit il

Karen : Mais comment ais je pu faire cela ? Demande t il toujours sous le choc.

Zack : C'est la technique de l'illusion. Tu peux faire apparaître toutes choses en l'imaginant. Ce n'est pas réel , mais c'est efficace en des circonstances. Prenons l'exemple de l'oiseau qui se tient devant toi . Tu peux le commander , l'ordonner , et aussi le monter pour qu'elle te fasse envoler. Explique t il

Karen n'en revenait pas .

Karen : Donc je peux faire tout cela , après la technique de l'arrêt de temps ? Demande t il toujours curieux

Zack : Oui , et tu peux encore faire plus que ça ...

Il bloque son subconscient et se concentre alors sur ses amis , étonnés devant l'illusion.

Antonio : Comment as tu arriver à faire cela ? Tu m'étonnes toujours toi .

Wayne : Je me le demande .. Il n'arrêtera pas de m'étonner lui.

Karen : Comme vous pouvez le constater , c'est maintenant que je l'apprend aussi. Explique t il

Lena : Waouh ! C'est génial !

Karen : Je crois que nous devons rentrer . Je dois préparer mes bagages pour demain. Allez , monter sur l'oiseau.

L'encre noire enveloppait la clarté du soleil. Ses parents seront inquièts. Ses amis étaient content de pouvoir monter sur l'oiseau d'illusion. Quand tous furent prêt , il demanda s'il pouvait décollée et la réponse en chœur fut oui ! Alors il décolla.. Il déposa chacun chacun chez lui , sans oublier de les signaler d'être là le lendemain matin avant son départ. Il voulait avoir un souvenir gravé dans sa mémoire.

Il arriva chez lui et après que l'oiseau l'a fait descendre, il ferma les yeux et imagina encore que l'oiseau avait disparue . Quand il ouvrit les yeux , l'oiseau n'était plus là. Il était content d'avoir pu réussi. Il entra dans sa chambre et fit ses bagages et s'allongea après sur le lit . Il ferma les paupières , attendant le lendemain matin , ce lendemain qui définira la suite de sa vie futur ...

Le soleil s'infiltrait à travers les arbres qui sont devant sa maison. Ces filtres illuminent alors sa chambre qui baignait aussitôt dans une clarté réconfortante , apaisante. La silhouette du soleil se posa sur lui. Il ouvrit les yeux lentement et doucement les yeux. Quand il rencontre la lumière du soleil , il ne s'est pas empêché de les refermer un court instant , puis en les rouvrant , il pouvait déjà affronter le soleil aveuglant.

Le souffle lent , le cœur lourd , Karen n'a pu trouver le sommeil . Le goût de sa bouche était morose , preuve qu'il n'est pas content de vouloir partir , mais alors , a t il le choix devant la proposition incontestable de son papa ? Non , il n'est toujours qu'un gamin au yeux de son père et il ne le laissera jamais prendre une quelconque décision. Le fait de penser qu'il ne reverrait jamais ses géniteurs le rend nerveux. À cette pensée effroyable , il ne put vouloir se résigner , mais impossible ! Il en avait même les larmes aux yeux en y pensant.

Son départ qui aura lieu ce matin ne lui plaisait guère. Il n'a aucune envie de quitter cette belle campagne pour une ville où il n'a jamais mis pied. Il entendait souvent de la bouche des visiteurs que les meurtres qui multiplient chaque jour, alors que lui pensais que la ville était un endroit plus calme et beau. Ce n'était pas la peur de vivre en ville qui le faisait paniquer , au contraire ! Il avait juste peur de délaisser ses bons parents ici , et ne plus jamais les revoir en faisant allusion aux meurtres dont il est au courant. Et s'il mourrait lui aussi comme un vulgaire poulet ? Comment seraient ses parents ? Vont ils tenir le coup ? Ils n'avaient pas de réponses à ces questions qui lui tordaient l'esprit. Finalement , il pensa qu'être optimiste l'aiderait . Alors , il cessa de penser , ensuite voir si rien ne manquait dans son sac à dos dans lequel il avait mis ses vêtements. Tout paraît être en bon état et rien ne manquait . Parfait !

Depuis son réveil , il n'est pas sortir. Ce qui est le contraire de ses habitudes. Il avait l'habitude de se lever en premier. Mais aujourd'hui , il était le dernier à vouloir et a ne pas vouloir se lever. Sa mère constatant son absence fit un sauf dans sa chambre , le trouvait couché les yeux rivés sur le plafond. Elle a lu en lui comme un livre ouvert. Elle sait pertinemment d'or et déjà que son fils ne voudrait jamais allé à l'extérieur de la campagne.

-- Tu ne viens pas manger ,mon fils ? Demanda la mère qui ouvrit la porte et se tenait devant elle inquiète.

Seul le souffle bruyant de son fils qui ne fit aucun mouvement et le vent brutal du matin qui se frappait contre la vitre lui répondirent. Son fils allait de mal en point et elle en était incapable de l'aider en quoi que ce soit. Elle s'avançait calmement , regardant avec douleur son fils. Elle s'assit près de lui , lui caresse tour doucement ses cheveux bruns .

-- Tu sais Karen , si je pouvais t'aider , je le ferai volontier. Tu sais que ton père ne me laisse absolument pas le choix. Dit elle en baissant la tête

Karen : Je te comprends parfaitement maman. Mais je ne peux supporter l'idée de voir tout le monde contre moi. J'admets que tu dois obéissance à papa , moi je suis ignoré et je me sens parfois tout seul.

-- Mon pauvre chéri , si tu sais vraiment ce que j'endure en voyant ta peine. Je ne saurai quoi faire pour t'épargner cette supplice incontestable. Mais sache une chose , je serai toujours près de toi , quoi qu'il se passe. Finit elle , en lui caressant de plus bel les cheveux.

Karen : J'ai compris maman.

-- Alors ça te dis de venir prendre le petit déjeuner avec nous ? S'il te plaît ne dis pas non . Implorait sa mère.

Karen : D'accord maman.

Karen ne voulait pas faire de la peine à sa mère qu'elle en possède déjà. Il voulait lui faire plaisir , et aussi passer une dernière fois un moment en famille. Il était au courant que sa mère n'y était pour rien dans ce problème soulevé par son père. Il s'était senti très ignoré par tous qu'il essayait de faire de son mieux pour haïr tout le monde. Il savait au fond de lui que quand il s'en irait , il n'aurait probablement pas le temps de revoir sa famille. Ainsi décida t il de passer du temps en famille après ce que sa mère lui a dit, même s'il éprouve une haine indescriptible envers son cher père.

Il se levait de son lit et prit la direction de la salle à manger , où se trouvait d'or et déjà toute la famille. Il s'assit ensuite sur une chaise qui était devant son père. Muni d'une fourchette qu'il enfonçait dans son plat , il baissa considérablement la tête , manquant de regarder son père dans les yeux. Celui ci n'a pas une humeur morose , bien au contraire , il était joyeux et cela se lisait bien sûr sur visage. Personne ne parlait dans la salle à manger. On penserait à un deuil sans aucun doute , ou a un enterrement. Vous savez pertinemment tout comme moi que n'est vraiment pas la fête pendant les enterrements.

Quel père de famille voudrais que la la peur reigne au sein de son foyer ? Le père était conscient du fait que la nouvelle annoncée à son fils était la véritable cause de ce silence cimetière. Personne n'était enchantée par cette nouvelle bouleversante , voir choquante. Cependant ,il allait manquer à tout le monde. Intérieurement , son fils allât terriblement lui manquer , même s'il essayait de démontrer le contraire. En fait , il devrait être fort pour le bien de sa famille. Ainsi décida t il de trouver un moyen de faire amuser la galerie.

-- Aujourd'hui , je me suis fait mordre par un criquet . Dit le père histoire de détendre l'atmosphère glacial qui régnait autour de la table.

Il releva la tête la tête suite à l'anecdote de son père qui lui fis pouffer de rire , et se ressaisir après qu'il s'en est rendu compte . Tout le monde en ri de bon cœur.

-- Fiston , j'ai à te parler à la fin du repas. Lui dit le père , le regardant droit dans les yeux.

Karen se figea sur place. Néanmoins , il hocha la tête en guise d'approbation

A suivre.......

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