Chapitre 12 : Elle est trops arogante
La salle du banquet était grandiose. Il y avait des lustres accrochés partout, une décoration exquise. Le champagne coulait à flot. Plusieurs personnalités étaient présent. Des femmes élégantes y sont également, certaines sont la pour exiber leur bijoux, beauté voir le pouvoir, et d'autres juste pour mettre le grappin sur des hommes. C'est ainsi fonctionne la société.
Macaréna entre en balaillant la salle du regard à la recherche d'Elliot puisqu'elle ne connait personne. Dès qu'elle a fait son entrée tous les regards sont tournés vers elles. Les hommes étaient ébahis d'une telle beauté et les femmes la jalousaient. Cela ne lui faisait ni chaud ni froid.Elle marcha élégament la tête haute en cherchant son patron. Elle n'avait pas peur ni honte de la foule puisqu'elle était habituée à ces regards et ce n'est pas la première fois qu'elle assistait à un tel diner. Un seveur vient vers elle avec le plateau de la coupe de champagne, elle l'arrêta de la main puis marcha vers celui qu'elle cherchait.
Quand Elliot se tourna vers elle celui ci était émervellé le sourir au coin de la bouche. Il lui gratifia d'une bise en soutenant da taille. Macaréna s'arrêta sur le coup en le regardant intensement, un frison parcouru sa colonne vertébrale. Puis reprend son souffle.
Elliot la présenta à certains de ces associés,quelques hommes du monde des affaires. Ceux ci étaient tous enchanté de la rencontrer.
-Tu es magnifique, Macaréna.
-Merci j'ai fait de mon mieux.
-J'en suis ravis. Nous sommes ici pour rencontrer nos associés sur le projet au quel nous travaillons. Tiens les voilà qui arrivent.
Ils décident de rejoindre ceux ci. Ils discutèrent un bon moment avant de porter un toast. Quand soudain une femme attira le regard de Macaréna. Celle-ci s'acroha au bras d'Elliot comme un sang sue. Puis dévisagea Macaréna en prenant Elliot dans ces bras.
-Elliot comment tu vas?pourquoi ne m'as tu pas invité pour être ta cavalière mais plustôt une arriviste ?
-Change de comportement Elène. Je suis içi pour affaire et Macaréna est notre directrice en marketing, elle s'occupe de ce projet et c'est normal si elle est à mes côté alors respecte là, stp.
-Ok, comme tu voudras. Bonsoir, je suis Ellène da silva, la copine d'Elliot.
-Arrête-moi ça, nous sommes des amis d'enfance, ne l'oublie pas.
-C'est bon, détends-toi, Elliot.
Ellène tend la main à Macaréna mais celle-ci l'ignore puis s'en va en les laissant tous les deux. Ellëne était verte de rage puis piétine le sol avec colère car personne ne la jamais ignorer. Elle que tout le monde flatte afin d'avoir les faveurs d'Elliot. Elle, la fille de Benjamin da Silva, l'un des meilleurs hommes d'affaires de ce pays.
-Elliot, ton employée est trops arogante alors qu'elle n'est rien. Juste une femme, belle, je l'avoue mais sans caractère et sans rang social et qui sait elle veut être dans ton lit un jour pour être promue.
-ça suffit, je ne suis pas sûr de ce que tu avance mais reste loin d'elle. Elle n'est pas du genre à se laisser faire.
-Whaoo, elle te plait, n'est-ce pas ?
-A toi d'en juger.
Macaréna de son côté va resté sur le balcon afin de prendre l'air. Elle ne sait pas ce qui lui arrive. Pourquoi elle se sent ainsi. Pourquoi ce sentiment étrange quand elle a vu Ellène prendre Elliot dans ces bras. Pourquoi ? Elle secoue vigouresement la tête, ferme les yeux. Au moment de les ouvrir elle fait face à une personne, Elliot. Celui lui sourit en montrant toutes ces dents blanches. Macaréna tique en mettant la main sur la poitrine. Elle s'énerve puis élève la voie. Ils ont la chance qu'il n'y avait personne aux alentours.
-ça ne va pas ? Tu veux me faire mourir de peur ou quoi, Elliot?
-ça me plait que tu m'appelle par mon nom. Et je ne voulais pas te faire peur, excuse-moi.
-Ok, mais nous sommes en dehors de l'entreprise donc vous n'êtes plus mon supérieur.
-Tu as raison Macaréna. Tu es tellement magnifique. Des yeux sont hypnotisants, voilà en battant ainsi tes cils, je me noies en toi. Ta bouche ainsi ouvert me tente. J'ai des idées folles pas possible.
A peine finit-il de parler qu'il s'empare de la bouche de celle-ci. C'était une sensation incroyable. Comme Macaréna avait la bouche un peu ouverte, Elliot plonge sa langue comme si il était invité à la recherche de quelque chose. Leur deux langues s'entremèlent. Ils approfondient leur baiser. Tout deux fermaient les yeux pour profiter de ce moment unique. C'est Macaréna qui se détache en premier. Elle a la bouche gonflé et les yeux grandement ouvert comme si elle avait commis une bêtise. En voulant s'enfuir, Elliot l'arrête et presse encore une fois ses lèvres sur les siennes. Elle lui assomme une gifle.
-Tu es malade, Elliot, de quel droit, dis-moi, quel droit as-tu pour m'enbrasser ?
-Je sais que je n'en ais aucun. Mais Macaréna, cela ne t'a pas déplue non plus, je l'ais senti.
-Tu es fou. Ne dis plus un mot, Elliot, sinon je ne répondrai plus de moi.
-Tu peux me gifler une fois si tu le désire encore mais tu sais ce que tu ressens pour moi. Alors pourquoi tu veux fuir ?
-Tu ne sais pas de quoi tu parles. Je ne ressens rien pour toi. La relation que nous patageons est juste employeur et employée. Donc arrête, stp.
Elle s'en va en courant. Elliot a essayé de la retenir en vain. En plus elle a oublié sa pochette qui comportait sa pièce d'identié son portable, la cléf de voiture et sa carte de crédit. Il est enervé contre lui-même et se demande comment va-t-elle rentrer chez elle. Il sort prend sa voiture à la poursuite mais ne la trouve nul part. Macaréna quand à elle, est rentrée dans un restaurant tout prêt, empreinté un portable pour appeler Sebas. Celui-ci est venu la chercher une vingtaine de minutes après. La connaissant qu'elle ne va rien lui dire, alors il n'a rien demandé non plus.
