Chapitre 7
Allongée sur le côté, elle souleva la jambe gauche, je me plaçai derrière elle et tenais sa jambe pour l'empêcher d'avoir mal. Le sexe grandement ouvert, j'étais en elle, je bougeais mes reins pour la pénétrer profondément. Je contrôlais l'angle et la vitesse de pénétration. Des coups forts et rudes se suivirent, je lui embrassais le dos, le seul côté qui m'était donné à cause de cette position.
Ma deuxième main caressait ses cheveux mouillés par l'eau. Elle ferma les yeux et mis le drap dans sa bouche, elle le serra avec ses dents et savouraient le bazooka qui bombardait ses entrailles.
_ Hmm, gémissait-elle. C'était comme une première fois, le liquide qui sortait de son sexe jouait le rôle de lubrifiant et je glissais en elle d'une manière facile et profonde. Le plaisir me montait jusqu'à la tête, c'était comme ci la.mort n'existait plus pour moi, j'étais à l'extase. Quelques fois je me retirais complètement, pour la pénétrer a nouveau. Je prenais quelques secondes pour insérer mes doigts en elle, puis je recommençai le même mouvement de rein. Ce désir brulant qui me prenait était réciproque, quand mon sexe se perdit complètement en elle, elle poussait un cris étouffé et ecarquillait ses yeux, je le retirais lentement, je redonnais le même coup pour m'enfoncer en elle encore une fois puis les coups de reins se faisaient fréquents. Les sueurs coulaient de nos fronts, le désir réciproque nous berçait, et nos sexes l'un dans l'autre nous donnaient l'impression d'être les seuls dans le monde. Sa jambe fatiguée devenait de plus en plus lourde alors je la posai pour la prendre dans une autre position.
_ Non attends. Me dit-elle. Je m'arrêtai pour la fixer et elle se releva.
_ Allonge-toi.
_ J'aime quand une femme me donne des ordres aux lits, ça m'excite, et… Ma phrase se termina par un petit cris étouffé
_ Oh mon Dieu. Mon sexe était déjà dans sa bouche. Sa langue tournant sur la verge me fis serrer les dents.
Je n'étais plus moi-même.
_ Bonjour Henri. J'étais dans le petit couloir en me dirigeant vers mon bureau quand j'entendis la voix de madame Yvonne derrière moi. Je me retournai aussitôt avec un sourire et répondis :
_ Bonjour madame. Soyez la bienvenue. Je m'approchai d'elle pour prendre son sac à main juste par respect mais elle est refusa.
_ Merci. Allons, j'allais dans ton bureau justement.
Déjà ce matin ? Dis-je dans ma tête. Qu'est-ce qu'elle va me raconter encore cette fois ? J'avais anxieux et impatient. On marchait et le bureau me paraissait de plus en plus long. Enfin on y est.
_ Pourquoi hier tu as refusé de répondre à mes appels? Je t'ai appelé plusieurs fois. Me demanda-t-elle.
_ Désolé madame. J'avais laissé mon téléphone à la maison, et c'est ce matin que j'ai remarqué vos appels. Je suis vraiment désolé. Elle me fixa et je détournai mon regard.
_ D'accord, ce n'est pas grave. Elle se retourna.
_ S'il vous plait madame, qu'est-ce que vous vouliez me dire? Si elle m'appelait, c'était sûrement pour une bonne raison et elle ne me l'a pas dit.
_ Une autre fois peut-être. Je n'étais pas satisfait de sa réponse mais c'était ma patronne, elle se retira et me laissa résoudre l'énigme de son appel seul.
Elle était partie juste quelques minutes après et on frappa de nouveau à mon bureau.
_ Quoi? Encore elle? Dis-je avec une petite peur mais c'était Lucien, le chef marqueting
_ Qu'est-ce qu'elle te voulait la patronne ? Me demanda-t-il après avoir pris soin de fermer le bureau.
_ Comment ça qu'est-ce qu'elle me voulait ? J'étais surpris par sa question.
_ Hier, elle m'a appelé plusieurs fois et quand j'ai fini par décrocher, elle m'a demandé si tu n'avais pas d'autres numéros disponibles parce que tu étais injoignable. Donc c'était vraiment sérieux ? Songeai-je.
_ Et elle ne t'a pas dit pourquoi?
_ Apparemment, elle avait un problème informatique chez elle et tu es le seul informaticien doué qu'elle connaissait.
Là il avait raison. J'étais doué et j'en étais fier.
_ Ah je vois. Hier j'avais laissé par mégarde mon téléphone à la maison.
_ D'accord. Bon, je te laisse. J'ai pas mal de fichiers à remplir. A toute à l'heure.
...