Chapitre 2
Il était 17h et le téléphone fixe qui était sur mon bureau donnait des bips, c'était ma patronne. L'heure des courses avait sonné. Même si la fatigue de la journée avait laissé des empruntes sur mon visage, j'essayai de me faire beau. J'arrageai mon col, et me debarbouillai. On ne sait jamais.
Elle m'attendait déjà dans sa jolie BMW noire. Une voiture dont je rêvais tellement. Elle était au volant et j'étais juste à côté d'elle. La ceinture de sécurité passait au milieu de ses seins qui n'étaient pas très cachés. Elle avait remis du rouge à lèvre et son parfum. Mes idées n'étaient plus surplace. Le regard fixé tout droit devant elle, je la contemplais, les deux mains tournants le volant qu'elle tenait légèrement.
_ Et votre femme, elle va bien ? Avança-t-elle pour détendre l'atmosphère qui avait l'air un peu tendu. Je l'étais vraiment.
_ Pardon? Bredouillai-je.
_ Vous pensez à quoi? Je parlais de votre femme.
J'étais tellement focalisé sur ses seins que j'avais du mal à écouter ce qu'elle me disait.
_ Elle va bien madame.
_ J'en suis ravi. On dirait que vous êtes tendu. Remarqua-t-elle. J'étais sûr de cacher mes émotions, comment l'aurait-elle su ?
_ Non madame. Repliquai-je avec un sourire forcé.
On venait de faire prêt de 30 minutes de courses et je me posais des questions.
_ On est arrivé.
C'était une grande maison magnifiquement décorée. Elle klaxona et un homme vint ouvrir. Ça doit sûrement être un gardien. Quand elle m'avait parlé de course, j'ai plutôt pensé à un grand magasin rempli d'accessoires mais ce n'était rien de tel.
_ Bienvenu chez moi. Me dit-elle quand on rentra au salon.
_ Wao, c'est jolie chez vous.
Il y avait des photos d'elle partout contre le mur mais aucune de sa famille. Le salon était immense, et meublé par des objets de luxe
_ Soyez à l'aise. Faites comme chez vous je reviens. J'avais envie de lui poser des questions à propos de la course qu'on devrait faire mais j'avais peur.
Elle me donna un jus de fruit qu'elle retira de son réfrigérateur.
_ Je vais prendre une douche et je vous rejoins. Ajouta-t-elle. Je l'observai s'éloigner déhanchant ses grosses fesses.
Je contemplais le palais dans lequel je me trouvais, c'est le grand luxe, je n'arrive pas à croire qu'elle vive seule dans cette grande maison. Au même moment, j'avais aussi hâte d'être à la maison. Christine me manquait, je ne cessais de regarder dans ma montre. Les minutes filaient, elle durait au toilettes et j'étais de plus en plus stressé.
Encore quelques minutes et je l'entendis descendre les marches. Elle était mouillée avec une petite serviette nouée autour de la poitrine. Je voyais ses jambes nues qui brillaient et je jalousais cette serviette qui recouvrait tout mais au même moment, mon cœur battait. J'étais tendu.
J'essayais de détourner mon regard mais c'était une tâche difficile. J'étais stressé. J'aurai voulu lui dire d'aller se recouvrir mais je ne pouvais pas donner d'ordre à ma patronne.
_ Henri, lança-t-elle. Montez j'ai quelque chose à vous montrer. La voir dans cet état me dérangeait et mes idées se mélangèrent. Je me précipitai pour lui emboîter le pas. J'observai ses deux masses charnues frappées l'une contre l'autre. Elles vibraient. Je les imaginais sans les serviettes. C'était une dure expérience à laquelle j'étais soumis. Elle avança lentement devant moi et je retenais ma respiration de temps à autre. C'était un reflex quand j'avais peur. On pénétra sa chambre à couché qui était presque isolé, ornée par un grand lit, une télévision plus un fauteuil avec une autre chambre à l'intérieur. Je m'installai sur le fauteuil suivant son ordre. Je commençais déjà par transpirer et mon cœur battait la chamade.
_ J'espère que cela ne vous dérange pas si je me change ici? Elle doit sûrement être folle pour me poser cette question. Bien sûr que cela me dérangeait. Elle serait complètement nue devant moi. Mais ce n'était pas une question, elle avait déjà retiré la serviette qui recouvrait sa nudité. Elle me faisait dos et je vis ses fesses nues, lisses et attirantes. «Oh» soufflai-je silencieusement.
_ Si si. Dis-je de ma voix tremblante. Mais elle l'avait déjà fait. Je fis mine de cacher mon regard, même j'ai déjà tout vu.
_ Ah désolée. Je suis vraiment désolée. Elle remonta la petite serviette qui ne cachait rien de grand et se retourna.
Je levai mon regard et je la fixai timidement en me posant des questions. «A quel jeu joue-t-elle cette femme?»
Elle s'avança vers moi tenant le nœud de la serviette dans sa main.
_ Tu sais, j'ai toujours rêvé faire ça un jour. Dit-elle d'une voix plutôt calme et tendre.
_ Quoi madame ?
Ma phrase n'était pas terminée. Elle laissa tomber la serviette et je recouvris encore mon regard. J'étais sûr de rêver.
Elle était totalement nue. Je pouvais voir la rondeur de sa hanche et de ses seins, la beauté de ses jambes, et son magnifique entrejambe parsemé de poils et une petite fente qui descendait jusqu'aux zones pénétrantes.
_ Ne faites pas le timide. Fit-elle d'une voix désinvolte.
_ Ce n'est pas le cas madame mais vous êtes ma patronne et vous savez que je n'ai pas le droit de voir la nudité de ma patronne. En plus j'ai une femme.
Je n'avais pas le droit mais en vrai je l'ai déjà vu.
_ Alors dites moi de me recouvrir et je le ferai. C'était une question dichotomique très simple pourtant difficile à répondre. Si je lui disais de se recouvrir, je n'aurai peut-être plus jamais la chance de goutter à son fruit défendu et peut-être je risque mon poste mais si je ne disais rien, j'aurai une histoire sexuelle avec ma patronne et ce serait peut-être la dernière fois. J'étais confus. Et si c'était un piège ?
_ Je savais que tu n'aurais pas le courage de le dire parce que je te plais. Elle sourit et s'approcha de moi en mettant son index sur mes lèvres.
Elle s'installa toute nue sur moi et pouvait ainsi sentir mon érection à travers mon pantalon. Les idées vides, je tremblais mais j'avais l'envie. Elle prit mes lèvres mais m'embrassa. Jusque la, j'avais peur.
_ Ma femme.
_ Oubliez la, pour l'instant. Me conseilla-t-elle. Alors pris d'envie, je répondis à son baiser. Je saisis ses lèvres avec feu et sensation, j'introduisis ma langue dans sa bouche pour la caresser. Nos langues tournèrent tendrement. Je sentais la fraîcheur de ses lèvres et la saveur de son rouge à lèvre. Ses fesses tournaient sur mon érection et je posai mes mains sur ses pare-chocs et les caressais.
Elle descendit sa main et me deboutonna.
...