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Chapitre 1 Une vraie histoire de cœur

Bonjour, je m'appelle Henri Mickey des amis m'appelle Mick , j'ai 28 ans.

Je ne suis quand même pas assez riche mais sur certains coups, je peux dire que la vie m'a beaucoup sourit. À quelques mois après ma formation professionnelle, j'avais obtenu un boulot. Informaticien dans une grande entreprise de la ville, je recevais un salaire souriant qui contribuait largement au bien être de ma famille et moi. Père d'un petit garçon, Georges, il est le fruit de mon union avec Christine. Une femme que j'aime beaucoup. Elle a apporté la lumière dans ma vie et m'a fait croire en l'amour. Avec elle, je peux dire que j'ai trouvé le bonheur, la paix. J'ai eu des aventures, mais c'était celle qui était la plus sérieuse et la plus durable. Une vraie histoire de cœur. Et chaque jour, je rentrais du service avec l'espoir de me blottir contre elle, sentir son parfum, la prendre dans mes bras et dormir avec elle.

Ah, je ne vous ai pas encore parlé de ma patronne. Madame Yvonne C'était une femme dangereusement sexy. Elle frôlait la quarantaine mais elle avait toujours l'allure d'une adolescente. Une forme arrogante avec des obus fantastique, et des accessoires de qualités, elle était d'une gentille inquiétante. Quelques fois, elle me déposait chez moi après le service et me passait des coup de files le week-end. Elle était belle et sexy. Cela m'arrivait d'envier son mari quelques fois mais juste en idée.

Cependant, on peut beau être chanceux, il suffit d'une petite erreur pour que notre bonne étoile nous laisse tomber. On commet tous des erreurs mais savoir se corriger et rester déterminer est le plus important.

Mais quand on prend goût du péché, il ne reste que les conséquences pour nous éveiller. On verra les pires conséquences subvenir dans notre vie . Parce que chaque acte à des conséquences.

Des fois, il est difficile de dire non mais il faut toujours essayer.

L'homme qui met son doigt dans la gueule du chien, doit s'attendre à être mordu. Et moi je l'ai quand-même osé.

Lundi, une journée que je déteste tellement dans la semaine et sûrement je n'étais pas le seul. Il sonnait 6h 45 minutes et mon réveil résonnait. Il faisait un bruit tellement fort qu'il peut réveiller dans un rayon de 10 km. La fatigue du dimanche me retenait au lit mais je percevais aussi le cris de tous les travaux qui m'attendaient au service. La vie d'un homme. J'aurai souhaiter être une femme et laisser toutes mes charges sur mon mari.

Somnolant, je me levai du lit et me rendit à la douche de pas lourds.

Après quelques minutes, j'étais prêt. Chemise blanche piquée dans un Jean pantalon bleu sur une chaussure noire. Je descendis au salon et Christine était assise sur le canapé, Georges dans ses bras prenait ses tétons dans sa bouche et dégustait. Un petit bout de moi qui me ragaillardait à chaque fois que je suis triste.

L'air pensif, j'étais hypnotisé devant l'écran de mon ordinateur quand madame Yvonne rentra. Son parfum envahit mon bureau et elle me dévisageait.

_ Bonjour madame. Bredouillai-je en essayant d'éteindre la musique qui me détendait.

_ Bonjour Mick. Comment tu vas? Me demanda-t-elle avec un grand sourire.

_ Je vais bien madame. Merci

_ Super. Après tu passes me voir au bureau. J'ai un truc urgent à te montrer.

_ D'accord madame. L'air innocent, j'étais le bon petit employé. Elle ferma la porte et depuis l'intérieur de mon bureau, je pouvais entendre le bruit de ses talons qui frappaient contre la sol cimenté.

_ Une sacrée femme. Soufflai-je. J'essayais de l'imaginer au foyer. Elle doit être très autoritaire. Parfois, j'avais peur du regard qu'elle nous jetait quand il y'a du boulot. C'était une femme téméraire, elle avait monté à elle seule l'entreprise et la maintient toujours en bon état. Son slogan c'est «Que l'échec ne vous fasse pas croire que vous n'avez pas les potentialités nécessaires pour y arriver. Apprenez plutôt de vos échecs et avancer plus intelligemment».

Je me précipitai juste quelques minutes après elle pour la rejoindre parce que j'étais impatient d'écouter ce qu'elle avait à me dire.

Elle était assise derrière sa table, les verres sur le nez, et laissa les premiers boutons de sa chemise ouverts. Ce qui laissait une vue parfaite sur la hauteur de ses seins. Je n'ai pas pu m'empêcher de jeter des coups d'œil pendant qu'elle me parlait. Elle avait une beauté sans pareille et le don de me mettre hors de moi. Je me ressaisis et essaya de rester concentrer sur ce qu'elle me disait. Mon rôle était de travailler pas de fantasmer sur les jolis seins de ma patronne.

_ A la fin, tu m'accompagneras faire quelques courses. Je te deposerai chez toi après.

J'imaginais déjà tout un long trajet avec elle. La soirée promet d'être longue.

...

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