Chapitre 5

Rose restait perplexe face à tout ce qui venait de se passer. Elle monta dans sa chambre, prit une douche et ce coucha. Mais elle n'a pas vraiment sommeil, elle ne pouvait pas s'empêcher de penser Frédéric qui était juste à quelques chambres d'elle. Sûrement prise par le désir ou l'envie de faire une nouvelle expérience, elle se leva, prit un pijama qu'elle porte sur une courte robe de nuit et se dirigea vers la chambre de Frédéric.

Frédéric n'était pas encore endormie lorsque Rose tapa à sa porte. Il venait de sortir de la douche et avait juste une serviette nouée a la taille. Il ouvre la porte et fut étonnée de voir Rose en face de lui. Elle entra sans rien dit. Frédéric vint devant elle et lui demanda étonnée ce qu'elle voulait. Pour toute réponse, elle défait son pijama et le laissa tomber au sol. Elle dit d'une petite voix "faites moi l'amour".

Frédéric s'approcha d'elle, fit passer sa main autour de sa taille penchant son visage vers le sien et lui demanda : " vous êtes sur que c'est ce que vous voulez". Elle hocha la tête et il écrasa ses lèvres contre les siennes. Elle frémit de tout son corps s'abandonna complètement à lui. Il l'attire vers lui et l'embrasse comme si lui buvait ses lèvres. Elle se laissait allez dans le tourbillon de plaisir qui parcourait sont corps. D'un grand geste il soulève les jambes qui se tourne frénétiquement à sa taille et il se dirigea vers le lit où il la posa délicatement laissant tomber sa serviette. Il parcourait son corps de ses doigts et de ses lèvres. Il lui enlève sa robe et laisse découvrir sa belle poitrine. Rose n'en espérait par mieux elle laissait de petits cris de gémissements.

Cette nuit fut la plus belle sa vie jusqu'à la, mais celle où elle perdit toute innocence.

Soudain la sonnerie de son téléphone la réveilla de son sommeil, il s'avère que ce n'était qu'un rêve. Elle grogna puis décrocha, c'était Alice sa colocatrice.

- Allô ! Dit elle d'une voix mi-endormie.

- Rose tout va bien ? Ça fait deux nuits que tu n'as pas dormi a la maison, je m'étais inquièté, ce n'est pas de tes habitudes et ton numéro ne passait pas...

- Je suis vraiment désolée Alice, je ne voulais pas t'inquièter je vais bien. Le téléphone était éteint.

- Alors tu es où ?

- Quelques parts en campagne... Chez euh... Un ami...

- Tu t'es enfin trouvé un petit ami, j'espère que tu me le présentera...

- Euh d'accord... (Dit-elle ne voulant pas prolonger le sujet).

- Je voulais te prévenir, j'ai reçu le mail pour mes stages à l'Institut de mode a Paris. Je dois partir aujourd'hui, j'ai du réservé un billet d'avion et l'hôtel urgemment, j'ai appelé mon père qui est entrain de m'aider à trouver un appartement là-bas.

- Oh, je suis vraiment contente pour toi, tu le mérites...

- Merci beaucoup ma chérie, mais ceci étant je vais devoir libérer ma chambre, je sais que ce n'est pas vraiment facile pour toi ces derniers temps, mais j'espère que tu trouveras rapidement une autre colocataire.

- (inspire profondément) je l'espère aussi...

- T'inquiètes les choses vont s'arranger, je t'appelle plus tard bye.

Elle raccroche avec lourdeur, elle était bien contente pour son amie mais comment allait elle gérer seule le loyer sachant qu'elle n'a plus de travail. Et avec ce qui s'est passé avec son dernier emploi c'était vraiment plus difficile de trouver un autre emploi dans le domaine.

Rose regarda l'heure sur son téléphone, il était quelques minutes avant 7h. Elle se leva fit sa toilette et descendit en bas. Elle se dirigea vers la cuisine où elle vit Merveille s'atteler avec les employés.

- Bonjour dit-elle en les saluant.

- Bonjour Rose répondit Merveille, vous avez bien dormi ?

- Oui très bien.

- Le petit déjeuner est prêt Rose, vous pouvez rejoindre le maître a la salle à manger.

Elle n'avait pas particulièrement envie de le voir, surtout pas avec le rêve qu'elle avait fait cette nuit mais elle n'avait pas vraiment le choix.

.....

Frédéric était à la salle à manger, il portait un jogging qui mettait en valeur sa taille et ses muscles. Il s'était de bonne heure pour courir et réfléchir à comment procéder pour régler les problèmes au sein du groupe Packer. Cette fille était son arme secrète, elle ne savait pas encore. Il lui a fait passer des tests en anonyma qu'elle réussi avec brio. Il savait qu'elle avait une intelligence au dessus de la moyenne, elle est belle. Il ne lui reste qu'à travailler son caractère et sa présentation pour faire d'elle une femme fatale et indomptable. Il avait besoin d'une personne neutre, qui n'avait aucun problème avec la justice, une personne qu'on ne voit pas venir, loyal et honnête et elle répondait à tous ses critères. Le fait qu'elle soit une femme brisée la rendait encore plus intéressante. Il a joué de ses relations pour faire envoyé Alice la colocataire de Rose à Paris. Il savait qu'elle aurait des difficultés à payer le loyer, et sa serait plus facile pour lui de la convaincre de rester habité avec lui.

Il sourit à sa vue, elle s'approcha de lui, s'assoit juste en face de lui. Cette manière que Rose a de s'asseoir en face de lui sans crainte de son regard lui plaisait beaucoup. C'est une femme de caractère, et elle ne se laissera pas si facilement intimidé.

- Bonjour Rose, j'espère que vous avez bien dormi.

- Oui très bien et vous ?

- J'ai bien dormi aussi...

Rose ne pouvait pas s'empêcher de revoir l'image de son rêve de cette nuit lui revenir à l'esprit. Elle essayait tant bien que mal de cacher son trouble.

- Tout va bien ? Lui demande Frédéric d'un air soupçonneux.

- Oui ça va, dites moi hier vous avez dit que vous vouliez me rencontrer avant de me voir dans la boîte de nuit...

- Oui, c'est exact.

- D'accord, pour quelle raison ?

- J'ai un travail à vous proposer.

Le visage de Rose s'illumine, c'est la meilleure chose qu'elle aurait entendu depuis quelques jours. C'est un parfait timing pour pour elle surtout avec le départ de Alice pour Paris.

- Ah bon, lequel?

- J'aime beaucoup votre façon d'écrire même si il y a encore beaucoup de travail à faire, j'aimerais vous proposer d'écrire un livre sur moi, sur ma famille et le groupe Packer.

- Waouh, je ne suis pas très sûr d'être à la hauteur...

- Pourquoi ?

- Écouter, vous Frédéric Packer Junior, l'un des plus grands noms de se pays, et votre famille fait partie des plus anciennes de la ville, sans parler du groupe Packer et compagnies... Je crois bien que ça me dépasse.

- Vous savez rose, plusieurs personnes on déjà écrit délibérément sur ma famille, et plusieurs grands noms de l'écriture et de l'univers médiathèque me contactent presque tout les jours pour une exclusivité. Aujourd'hui j'ai envie de faire les choses à ma manière, et c'est a vous que je veux donner cette opportunité.

- Pourquoi moi?

- Parceque je veux ai choisi, vous pensez différemment et j'aime votre vision des choses.

- C'est vraiment un plaisir de voir que vous avez vraiment confiance en moi, mais je crains que les gens ne me prenne pas au sérieux.

- C'est une chose qu'on peut changer.

- Comment ?

- Est ce que vous êtes disposé à apprendre et à changer ?

- Oui, je pense.

- D'accord, pour avoir une idée de comment je fonctionne et pour que je vous aide à mieux vous faire respecter, je vous propose de rester vivre ici. On aura plus de temps et on pourra décider des termes de notre contrat plus facilement.

- Quoi! Vous voulez que j'habite avec vous ?

- Oui ça vous dérange ?

- En fait j'ai un appartement, et une vie...

- Je ne vous demande pas d'abandonner votre vie pour moi, c'est juste un détail qui pourrait vous aider à avancer dans le projet que je vous propose, ça serait bien plus facile pour vous d'écrire sur moi si vous vivez et voyez de vous même ceux à consiste la vie du Président du groupe Packer et compagnies.