Chapitre 6
Chapitre 6
Fabiola
Le nuit est vite arrivée, après la réunion, je suis allée dans mon orphelinat, rendre visite aux enfants , c'est toujours un plaisir pour moi d'aller, les voir s'amuser, s'émerveiller des cadeaux que je leur apporte est toujours réconfortant .
Je me demande comment des personnes peuvent porter une grossesse pendant neuf mois pour ensuite abandonner l'enfant à la naissance.
Avec les enfants nous avons joué, chanté , après deux heures à jouer, je suis rentrée à la maison épuisée .
j'ai pris une douche, j'ai mangé un peu, puis je me suis permis un repos bien mérité .
À mon réveil, je suis allée dans mon bureau, Jorgi m'annonce qu'il a installé les nouveaux arrivants dans leur chambre . J'ai décidé d'aller vérifier les installations, c'est juste un prétexte pour aller voir mon Bel inconnu.
J'arrive au pas de sa porte, je toque, et attends, il vient m'ouvrir.
Il porte un débardeur qui ne cache rien de ses magnifiques muscles. j'avale ma salive. Il est magnifique .
- Alors, tu es bien installé ?
- Bonsoir boss, oui je suis bien installé .
Il s'écarte de la porte pour me laisser entrer .
Je connais cette maison comme ma poche , car je connais toutes les constructions de cette forteresse .
- Je t'offre un verre ?
- Oui donne-moi une bonne bouteille.
Il passe à côté de moi et frôle, j'ai des sur tout le corps. Jamais aucun homme ne m'a fait autant d'effets.
Il ouvre son frigo et sort une bouteille bien glacée . Je m'installe dans son petit salon , pour discuter , si on peut appeler ça comme ça.
- J'ai envie de toi.
je lui sors cette phrase sans comprendre pourquoi c'est sorti, moi qui pensais qu'il ferait le premier pas, puisqu'il ne le fais pas, je le ferai à sa place.
Il s'arrête et me regarde,
- Où veux-tu qu'on le fasse ? Chez toi ou chez moi ?
- Pourquoi pas maintenant ? Ici, tout de suite.
- Oui pourquoi pas ?
On se jette dans les bras l'un de l'autre, on s'embrasse avec passion, il boit mes lèvres comme un chameau .
Nos vêtements se retrouve par terre en un claquement de doigts. il me soulève et mes jambes s'enroulent automatiquement autour de ses hanches
Il me colle violemment contre le mur, mes doigts entre en contact avec ses cheveux pour approfondir plus le baisé.
Je gémis sous son doigté magique.
Ses lèvres se posent sur ma poitrine, il les sucent avidement, j'appuie sur sa tête pour qu'il plus accès à mes seins .
Dans notre précipitation, on ne fait plus attention, ses doigts vont chercher mon sexe, il joue à les torturer délicieusement
je fond sous ses caresses, quant-il voit que je suis bien humide, prête pour le prendre, il se redresse et l'empalle brusquement, je pousse un cri de plaisir et de douleurs, il est tellement immense.
Mais, j'adore cette fougue, il commence à bouger, lentement puis progressivement, prend de la vitesse, ses coups de reins sont puissants et précis
Je suis aux anges, ses doigts empoigne mon postérieure, sur lequel il prend appuie pour s'enfoncer plus profondément en moi .
- Merde, je n'ai pas mis de préservatif , on doit arrêter.
Il essaie de de retirer , mais je l'en empêche .
- Non, ne le fais pas, je suis cline et je prends des contraceptifs, S'il te plaît continu, ne s'arrête pas.
Il continue à cogner sans répit.
Fabiola
- Non, ne le fais pas, je suis cline et je prends des contraceptifs, S'il te plaît continu, ne s'arrête pas.
Il continue à cogner sans répit.
je plane complètement, rien n'existe à part cette sensation de plénitude , qui me consume entièrement.
On s'embrasse, nos dents s'entrechoquent provocant une blessure sur mes lèvres, je sens le goût du sang dans ma bouche, qui ne nous empêche pas de continuer, sa bouche sur la mienne, son corps dans le mien, nous sommes confondus l'un dans l'autre.
Quand cette vague de puissance me submerge , ravageant tout sur son passage, me laissant éblouis, vide, éreintée, il me donne un dernier coup de reins avant de s'immobiliser dans grognement, me remplissant de ses Jets de sperme . Il se détache doucement de moi, se retirant de ma moiteur, faisant couler son sperme le long de mes cuisses.
- Je vais prendre une douche rapide.
Je me rends rapidement dans sa douche
me rincer, je ressors pour m'habiller rapidement .
- Tu est merveilleux, on peut remettre ça de temps en temps ?
- C'est ce que tu veux ?
- Oui, j'adore nos parties de jambes en l'air, je n'ai pas envie de m'en passer.
- Très bien, mais sache que j'ai une petite amie, et elle pourrait me rendre visite de temps en temps, alors je ne voudrais pas qu'il ait de malentendu.
- Très bien, puisque tu viens de me le dire, j'apprécie .
- Et toi as-tu un copain ?
- Non, pour le moment, je n'ai que des coups d'un soir.
- Je veux que tu fasses attention à tes coups d'un soir, car on se s'est pas protégés.
- Ne t'inquiète pas je me protège toujours.
- Mais pas cette fois.
- Je dois y aller, nous avons une réunion demain matin à 10 h pour vous présenter à toute l'équipe, soyez à l'heure.
- D'accord boss
Je l'embrasse tendrement et je sors.
Je me rends dans les appartements de Jorgi pour le trouver s'envoyant en l'air avec ma servante, ils sont dans son salon, elle a quatre pattes et lui derrière elle me faisait voir son postérieur et ses testicules qui se baladent d'avant en arrière, quel beau spectacle, je ne fais pas de bruit pour ne pas les alerter de ma présence, et je profite du spectacle
pour dire la vérité, je suis un peu voyeuriste. Quand je vois ses testicules se contracter, là je sais qu'il Va éjaculer.
Je le vois s'enfoncer plus en elle, elle qui gémit, lui qui grogne de manière bestiale.
Il se retire et se tourne pour aller dans sa chambre, quant-il me voit , il se fige et me dit :
- Tu vas arrêter de me regarder baiser, tu n'as rien d'autre à faire ?
- Tu savais que je suis rentrée ?
- Tu as oublié à qui tu as affaire ? Dès l'instant où tu es entrée, je t'ai sentie, mais, je voulais te faire plaisir, car je sais que tu aimes me voir baiser.
- Merci pour le spectacle.
Je vois ma servante se précipiter vers la sortie.
- Hé, qui t'a dit que tu pouvais disposer ?
- Heu personne, madame.
- enlève tes mains sur ta poitrine, tu n'avais pas honte tout à l'heure.
Elle se tient là toute nue devant moi, et je
vois ses grosses seins devant elle, elle est très gênée , ça m'apprendra à ouvrir ses cuisses devant tout le monde.
- Depuis combien de temps tu couche avec lui ?
Elle lui jette un regard suppliant, lui demandant de lui venir en aide.
Lui, il fait comme si de rien n'était et part dans SA chambre .
- Je t'ai posé une question. Répond moi
- Depuis deux mois, madame.
- Depuis deux mois, et tu continues à lui ouvrir tes cuisses ? Malgré que tu sais qu'il couche avec tout ce qui bouge.
Tu n'as pas de fierté ? Où tu ne sais pas te faire respecter ? ou sa bite te fait trop
de bien pour que tu ravale ta fierté.
Apprends à dire non parfois.
- J'ai compris madame, mais je suis amoureuse de lui.
- C'est quoi l'amour dis-moi ? Tu dis que tu es amoureuse de lui ? Et c'est la raison pour laquelle tu le laisses baiser tout le monde, puis quand il n'y a plus personne il jette son dévolu sur toi, tu veux être son vide couilles ? C'est ça ?
- Non madame, je.. je vais faire un effort pour le repousser.
- Je l'espère pour toi, une femme doit se faire respecter, tu as le pouvoir entre tes cuisses apprend à t'en servir .
- D'accord madame .
- Sors d'ici.
- Merci pour les conseils madame.
- Jorgi, dépêche toi de te laver nous avons à parler.
- Bon Dieu, Fabiola, peux-tu me laisser chier en paix ? ou veux-tu venir nettoyer mon derrière.
- Que tu peux être grossier parfois . je m'en vais c'est tout ce que tu as trouvé pour me chasser de ta chambre ?
Tu es vraiment pathétique . Et arrête de baiser ma servante, elle n'est pas là pour tes couilles, espèce de salaupar .
- Je ne m'en offusque pas, parce que je sais que tu m'aimes . Sache que je t'aime aussi petite sœur.
- Vas te faire foutre. Je suis dans ma chambre, si tu as fini, trouve moi là-bas.
- D'accord Boss , mais je n'ai pas encore fini de chier.
- eh bien, si tu pouvais avoir la diarrhée pour le plus finir de chier, ce sera une bonne nouvelle pour moi.
Je finis par me rendre dans ma chambre,
je mets en marche mon jarcousie, et plonge là dedans avec un bon verre de whisky . Quelle délice. Je dois penser à la livraison de marchandises que je dois effectuer en Italie, je viens d'avoir un nouveau partenaire " Lucifer" ce type à ce qu'il paraît est le diable en personne.
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