Bibliothèque
Français
Chapitres
Paramètres

Viole

ESCLAVE

CHAPITRE 5

Une fois dans la salle de bain, il m'avait fallu plusieurs minutes pour savoir que l'eau devait sortir de la colonne, en plus de parler des produits, il y en avait plusieurs, je ne savais pas lesquels utiliser, surtout que je ne savais pas bien lire.

Après plusieurs minutes de réflexion, j'ai pris un produit au hasard et c'est avec ce dernier que j'ai pris mon bain, il sentait plutôt bon. La douche était propre et bien aménagée, c'était la première fois que je voyais une douche pareille. Ça donnait vraiment envie d'y rester.

Je ne savais pas que j'avais déjà mis assez de temps à la douche, jusqu'à ce que Simon me demande de me dépêcher et sortir, ce que j'avais fait car je ne voulais surtout pas qu'il se répète.

En sortant de la douche, j'avais une serviette nouée autour de la taille. Simon a attrapé un vêtement et l'a balancé sur moi, après avoir bien regardé, il s'agissait d'une chemise de nuit. Puis il m'avait dit: 

__ Met ça sur toi et attends ici !

Mary: attendre quoi s'il vous plaît !

Même si je me retenais de lui poser des questions, celle-là était sortie toute seule de ma bouche. Heureusement pour moi il m'avait répondu sans faire de problème.

__ Attendre Monsieur DUBOIS, il te veut pour la nuit.

Après cette phrase, il est immédiatement sorti. Et c'est à ce moment que je me suis mise à analyser sa phrase.

Attendre Monsieur DUBOIS, il me veut pour la nuit ! Il voulait faire quoi avec moi la nuit ! Qu'est ce qui devait se passer cette nuit. Je ne faisais pas semblant de ne pas comprendre, je ne comprenais pas réellement.

Plusieurs minutes après, Monsieur DUBOIS était arrivé, il m’avait trouvé assise sur le lit et directement j’avais sursauté et m’étais mise debout.

__ Tu peux rester assise.

Il m’avait dit.

Et j’avais de nouveau pris place sur le lit toujours en me demandant ce qu’il pouvait bien me vouloir.

Après avoir fermé la porte, il s’était mis à se déshabiller sous mon regard, il avait enlevé chaussure, chaussettes, pantalon, chemise, il ne lui restait que le donjon et son caleçon.

Mon cerveau commençait à tourner, certaines pensées l'envahissaient déjà tandis qu'au plus profond de moi je refusais que ça soit ce à quoi je voulais déjà penser.

Après s'être déshabillé, il s'est allongé sur le lit et s'est mis à regarder le plafond sans mot dire tandis que moi je le regardais d'un coin d'œil. 

Nous avons fait environ cinq minutes dans ce silence, tout était si calme que je pouvais suivre ma respiration ainsi que les battements de mon cœur. Puis il a brisé le silence en se relevant tout doucement. J'avais l'impression qu'il se rapprochait de moi et mon cœur s'était mis à battre encore plus fort que d'habitude. Mon impression est devenu une confirmation quand j'ai senti sa main sur mon épaule et il m'a dit:

__ Viens me rejoindre dans le lit.

Mary: Maître je suis bien ici.

J'ai répondus en tremblotant.

__ Tu es au bord du lit, si un vent violent souffle ici tu te retrouvera au sol, le lit est assez grand alors tu peux même te coucher ! En plus tu sens le shampoing pour cheveux, la prochaine fois il faut prendre la bouteille avec la couleur bleu, c'est celui du corps.

Il parlait de me coucher, lui et moi couchée sur le même lit, je voyais celà comme un véritable cauchemar. À partir de l'âge de douze ans, ma mère m'avait formellement interdit de me retrouver avec un homme seule dans une chambre et encore moins dans un lit. Je me suis rapprochée encore plus du bord du lit afin de m'éloigner le plus possible de lui. 

Contre toute attente,  il m'a tiré violemment par le bras et m'a balancé sur le lit avant de monter sur moi.

__ Tu veux jouer à la sainte nitouche avec qui? Ne me dis surtout pas que tu es vierge, on vous connaît dans ces campagnes, votre activité principale c'est le sexe, votre distraction préféré c'est le sexe, certains de vous préfèrent même du sexe à la nourriture, maintenant tu viens jouer à la sainte quand tu es avec moi. 

Mary: je vous assure que je n'ai jamais connu un homme de toute ma vie.

__ Dans ce cas c'est une bonne nouvelle, ça veut dire que tu sera encore plus bonne que ce que je pensais.

Il m'avait tellement torturé pendant cette soirée avant de me relâcher.

 Mes bouts de  seins me faisaient très mal car il les avaient mordu plusieurs fois, et que dire de mon sexe qui chauffait au point où je peinait à me déplacer. 

Il m'avait copieusement violée, quand je criais de douleur, il gémissait de plaisir, et me disait à quelle point je suis bonne, j'avais fermé les yeux afin que ça passe plus vite. Jusqu'à ce qu'il arrête cet acte ignoble,  je m'étais sentie extrêmement torturée.

__ T'es vachement bonne toi, en plus c'est avec le préservatif, j'imagine un peu sans, mais bon nous allons aller pas à pas. Sache que je t'interdit d'avoir une relation sexuelle avec une autre personne que moi, parce qu'on vous connais. 

Je ne lui avais pas répondu, j'étais en train de me rhabiller et je voulais juste disparaître de là.

De retour à l'écurie, tout le monde était déjà endormi, heureusement sinon ils auraient sûrement cherché à savoir pourquoi je boitais. Simon m'avait ouvert la porte car il la fermait chaque soir après avoir fait l'appel pour s'assurer que personne ne s'était échappée. 

Je voulais disparaître cette nuit, je voulais me réveiller de ce cauchemar, ou dormir et ne plus jamais me réveiller, je voulais mourir, ce n'est pas cette vie que j'avais prévu pour moi. 

Les jours suivants étaient si difficiles, il m'arrivais plusieurs fois dans les champs de pleurer en travaillant, mais personne ne s'en préoccupait car le plus important était que je travaille.

Vivre ainsi sans avenir, condamné à être une esclave et en plus assouvir les désirs sexuels de ce monstre je ne voulais pas, alors j'avais décidé de trouver un moyen rapide de me tuer les prochains jours.

Plusieurs jours après, je n'avais toujours rien trouvé, et ça faisait déjà deux semaines que je n'avais pas revu Monsieur DUBOIS, ce qui m'arrangeais car moins je le voyais et mieux je le portais. Mais visiblement mon repos n'allait pas être de longue durée.

J'étais de corvée ce jour, après avoir fini toutes les tâches, je suis retournée à l'écurie et c'est  où j'ai appris que Simon m'avait cherché. Directement mon cœur s'était mis à battre plus fort, car Simon qui me cherchait particulièrement dans la nuit ça ne présageait rien de bon du tout, j'espérais que ça ne soit pas Monsieur DUBOIS qui l'ai envoyé car je ne m'étais pas encore remis du traumatisme de la dernière fois.

J'étais contente qu'il ne m'ai pas trouvé, mais ce que j'ignorais était qu'il comptait revenir. 

Je faisais des pas vers mon box quand je l'ai suivi crier  mon nom.

__ Mary!

Je me suis retournée et ma mine a directement changé.

Mary: oui Monsieur !

__ Suis moi!

Non! Pas encore ! Je ne voulais pas le suivre mais je n'avais pas le choix. Je l'ai suivie. Plus nous avancions vers le château et plus mon cœur se mettait à battre plus fort. Je ne voulais pas que la scène de la dernière fois se répète.

Malheureusement nous nous sommes dirigés vers cette même chambre que la dernière fois et Simon m'avait demandé de nouveau de prendre un bain, ce que j'avais fait en pleurant car je savais déjà ce qui m'attendait.

Après avoir fini, il est sorti et m'a laissé dans la chambre. J'étais très loin de m'imaginer ce qui l'attendait cette fois-ci.

J'étais encore dans mes pensées quand Monsieur DUBOIS est entré dans la chambre. Il s'est assis sur le lit et s'est mis à me donner des ordres et  je m'étais tout de suite exécuté.  Au début, tout ce qu'il m'avait demandé de faire, je l'ai fait.

Assis au bord du lit, après avoir enlevé sa chaussure comme il me l'a demandé, j'ai enlevé son pantalon, puis son caleçon, il ne lui restait plus que sa chemise qu'il n'avait pas voulu que j'enlève et j'ignorais pourquoi mais j'allais finir par le savoir.

C'était la première fois que je voyais le sexe d'un homme étant donné que la dernière fois j'avais fermé les yeux.

Puis il m'a tiré vers lui et a retiré violemment la chemise de nuit qui était sur moi.

__ C'est ainsi que je te préfère, complètement nue.

Par réflexe, j'avais caché certaines parties de mon corps avec mes bras, mais il m'avait demandé de baisser les bras, ce que j'avais immédiatement fait.

__ Ce soir, je suis fatiguée mais il a quand même envie de s'amuser un peu.

Il avait parlé en regardant son sexe qui était déjà en érection. Tandis que je n'avais pas encore compris la profondeur de ses propos,  il avait continué en disant :

__ Vas-y ! Amuse-toi avec lui…

Téléchargez l'application maintenant pour recevoir la récompense
Scannez le code QR pour télécharger l'application Hinovel.