Chapitre 5
Je fais monter ma main vers sa poitrine en pressant fortement ses seins au moment où je la lèche sauvagement. Elle ne cesse de gémir en se tordant dans tous les sens sur le lit.
Oh putain, quel délice. Sa chatte est si sucré. J'adore. Je continue de la lécher délicieusement puis je commence à la doigter très rapidement. Mon doigt se retrouve imbibé de sang. Je la doigte à la vitesse de la lumière. Elle gémit comme une folle.
Toujours en la doigtant, je colle ma langue contre son clitoris et commence à le frotter avec insistance. À cet instant, elle pleure carrément de plaisir.
Déborah : (éssouflée) Yeah, oui...oui..
Elle appuie plus fort sur ma nuque. Je la doigte en suçant son clitoris pendant environ quelques minutes avant de relever ma tête pour atterir au niveau de sa bouche. Je l'embrasse délicatement avant de me coucher sur le lit.
Je me couche, sur le dos et ma bite regardant le plafond. Elle comprend immédiatement ce que je veux et se redresse sur ses genoux. Elle se penche ensuite vers ma bite et l'engloutit goulûment dans sa bouche.
Elle s'est mise à me sucer comme jamais. Oh merde, elle risque de me tuer cette fille. Oh putain. Je lève mes yeux vers le plafond en grognant de plaisir au moment où elle me taille la pipe.
Quand je baisse la tête pour regarder ce qu'elle fait, je vois sa tête qui va et vient rapidement sur ma bite. Bon Dieu. Où a t-elle appris à sucer comme ça ?
Je perds complètement mes moyens.
Moi : (grognant d'une voix rauque) Oh merde...oh oui...ahhhh...
Elle augmente la vitesse et cette fois, j'ai l'impression de mourir, tellement le plaisir me submerge. Après un moment, je jouis enfin puis elle arrête. Elle a reçu une bonne partie du sperme dans la bouche et l'a avalé. Une fois cela fait, elle a ensuite commencé à passer lentement sa langue autour de ma bite.
Déborah : (léchant le bout de mon pénis) Tu as aimé ?
Moi : (dans tous mes états) Oh merde... quelle pipe ! Oh...qui te l'a appris Déboh...
Déborah : Je suis peut-être vierge mais ça ne veut pas dire que je ne connais rien en sexe. Ravie que ma petite fellation t'ait plut.
Moi : J'ai adoré mais si maintenant, on passait aux choses sérieuses.
Je me redresse et l'embrasse copieusement tout en la penchant vers l'arrière pour qu'elle puisse se coucher. Une fois à ses aises, j'ai grandement écarté ses jambes puis me suis placé entre elles.
Nos lèvres collés l'un contre l'autre, on s'embrasse pendant que je fais un effort pour essayer de maintenir ma bite à l'entrée de sa chatte puisque ça ne tient pas. Ça glisse constamment. Elle a mouillé de dingue, de plus son trou du vagin est trop restreint.
Peu de temps après et après plusieurs tentatives, j'ai finalement réussi à maintenir ma bite à l'entrée de son vagin avant de commencer avec de petits coups de reins pour forcer l'entrée.
Je l'ai à peine pénétré de ma bite mais je pouvais l'entendre déjà gémir de pleurs, se plaignant de la douleur.
Déborah : Anh.. j'ai mal..assssshhhh...
Je fais l'effort d'ignorer ses cris et pleurs et me concentre sur mon objectif. À chaque coup de reins, je peux sentir, sa chatte s'ouvrir et s'élargir. Je continue dans cette lancée et cette fois, en augmentant les coups de reins qui se font plus rapides et plus forts.
Je la pillone un long moment puis d'un coup, j'ai senti ma bite pénétrer sa chatte en profondeur. J'ai enfin réussi. Je ne lâche rien et continue de la pilloner plus sauvagement.
Elle hurle en me griffant le dos mais je la pillone de plus en plus fort. Je finis par plaquer ses mains contre le lit pour mieux être libre de mes mouvements.
Je la baise en la fixant dans les yeux. Je peux voir son regard jonché de larmes, me suppliant d'arrêter. Mais je ne le fais pas.
La chambre est silencieuse. On perçoit juste ses gémissements et le bruit que fait ma bite à chaque fois qu'elle va et vient dans sa chatte.
Quelques minutes plus tard, son vagin s'élargit encore plus et cette fois, elle arrive à dévorer toute ma bite dans son entièreté. Je peux sentir mes testicules se cogner contre ses fesses.
Déborah : (gémissant de plaisir) Oh...ohhhhh....ouiiiiiiiii
Ces cris me signalent qu'elle n'a plus mal et que tout ce qu'elle ressent maintenant c'est du plaisir.
Donc, j'accélère encore plus en la baisant de toutes mes forces.
Déborah : Oui bébé, vas-y Jordan, oh que c'est bon...humm
Moi : (grognant) T'es bonne Débo, oh merde...fuck..
Je m'accapare de ses lèvres et l'embrasse tout en la pillonant. Elle me caresse la tête à l'aide de ses mains et reponds salement à mes baisers.
Déborah : (voix étouffée) Hum...humm.. vas-y chéri...plus vite..
À peine elle a dit cela, que j'ai multiplié la puissance et la vitesse des coups de reins par cent.
Moi : Oh ça vient...oh merde..
Déborah : (criant) Baise-moi chéri, je t'aime...yeah !
J'achève en poussant un grand cri qui me fait m'écrouler sur elle. J'ai déversé tout le sperme que peut contenir mon corps dans sa chatte.
Elle a jouit au même moment que moi. Je l'ai sû parce que j'ai senti un liquide gluant me mouiller le bassin et aussi de par son dernier cri.
Je roule d'elle et atterit lourdement sur le lit. Je respire bruyamment. Je suis à sèche.
*****Déborah KONAN
Oh mon Dieu. Oh mon Dieu. Oh mon Dieu, c'était quoi ça? J'ai toujours du mal à reprendre mon souffle. Tout mon corps vibre et mon cœur bât la chamade. Putain c'était mortel.
Donc c'est ce qu'on ressent quand on baise ça ? C'est ce que ça fait ? Bordel, comment j'ai fait pour me priver de ce plaisir depuis des années ? Mince. Je suis encore sous le choc.
Je baisse les yeux vers mon entrejambe qui est toujours écarté vu que je n'ai pas encore eu la force de refermer la jambe. Je peux voir le sang sur le lit et dans ma chatte. J'ai aussi du sang sur les cuisses et le ventre.
Je suis officiellement déviergée. Quel soulagement. J'ai enfin réaliser l'une des principales raisons de ma venue dans cette maison et je ne compte pas m'arrêter là surtout avec ce que je viens de savourer à l'instant.
J'ignore à quel moment mais un sourire s'est violemment emparé de moi et je me suis mise à rire à gorge déployée.
Jordan m'a aussi suivi dans cette lancée et on s'est mis à rire tous les deux.
*****Le soir
J'ai donné un coup de main à Jordan pour laver la couverture tâchetée de sang et ranger sa chambre et la piscine avant que ma tante ne revienne.
J'ai pris une douche pour enlever le sang et le sperme qui était sur moi. Le sang a cessé de couler mais je ressens des douleurs dans mon vagin. Je viens quand même de me faire fraîchement déviergée et naturellement, j'ai un peu mal à marcher et à m'asseoir. Je boîte en marchant.
Actuellement, je me trouve dans le salon en compagnie de Jordan à visualiser la télévision. Même si pour dire vrai, on ne regarde pas la télévision en tant que tel.
On est plutôt occupé à s'embrasser et se caresser. Il me masse agréablement la chatte pendant que je masse sa bite dans ma main.
Tout à coup, on sursaute après avoir entendu la voix de ma tante. Elle est rentrée. Jordan m'a délaissé dans le salon pour aller la saluer. Je me lève et les rejoins également. À mon tour, je la salue.
Ma tante : (me regardant bizarrement) Euh Débo, tu es sûre que ça va ?
Moi : Oui pourquoi ma tante ?
Ma tante : Je t'ai observé quand tu marchais tout à l'heure pour venir à ma rencontre et tu boitais. Qu'est ce qu'il y a? Tu t'es fait mal à la jambe ? Tu es tombée ?
_À_suivre