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Relation ambiguë

CHAPITRE 3

Voyant qu’elle n'y arrivait pas malgré tous les conseils, une actrice s’était approchée d'elle pour la motiver.

Actrice : tu dois seulement te mettre dans la peau du personnage, imagine que tu trouves un travail de ménagère et un jour ton patron te trouve à la cuisine et demande après sa femme, tu feras comment ? Ce n'est pas compliqué, pour réussir tu dois d'abord avoir confiance en toi et en ce que tu fais, alors ne pense plus à ce que Joyce t'a dit et donne-toi à fond

Réalisateur : Peace tu sais dans la vie il va toujours nous arriver de faire des choses que nous ne nous trouverons pas à la hauteur, mais sache que le plus important ce n’est pas de les réussir, mais d’essayer et faire notre maximum, alors concentre toi juste un peu et prouve à tous ceux qui sont dans cette maison que tu peux le faire

Actrice ; sourit voyons, nous ne te demandons pas de tuer quelqu’un quand même !  Fond toi juste dans la peau du personnage ? Comme je t'ai déjà dit tout à l’heure, dis-toi juste que tu viens de décrocher ton nouveau travail et ton premier jour ton patron te trouve à la cuisine et te demande où se trouve sa femme et toi tu dois répondre simplement, c’est tout, tu peux le faire ?

Peace : oui !

Actrice : c’est bien, c’est ce que je voulais te dire, alors donne toi à fond ma chérie !

Ils avaient repris les répétitions et après le cinquième essai le réalisateur avait crié « c’est parfait maintenant », elle avait réussi, et l’actrice lui avait fait un signe avec le pouce pour lui dire que c’était bien. Puis elle avait dû aller s’échanger afin de mettre une tenue de ménagère comme le tournage devait reprendre.

Quelques minutes après, Joyce est arrivée et a été surprise de remarquer que Peace avait enfilé une tenue de ménagère, ce qui voulait dire qu’elle allait jouer le rôle, elle la regarda des pieds jusqu’à la tête pendant plusieurs minutes.

Joyce : sérieux. ?

Peace : eh oui !  J’ai réussi je vais jouer le rôle de la ménagère !

Joyce : d’a... D’accord !

Peace croyait que son amie allait être contente de savoir qu’elle avait réussi, mais celle-ci affichait plutôt une mine contrariée, mais Peace n’avait pas voulu s’attarder dessus, se disant que c’était l’effet de surprise.

Le tournage avait repris et sa scène s’était passée exactement comme à la dernière répétition, ce qui lui avait plu car au fond elle craignait de commettre une gaffe et de tout gâcher. Une fois fini, elle fut surprise par les félicitations du réalisateur et d'autres acteurs, qui tous l'avaient trouvé bonne actrice.

Réalisateur : Félicitations Peace tu as un véritable talent et je pense que tu dois essayer de développer ce potentiel enfouis en toi

Joyce : n’exagère pas aussi, une scène de maximum trois minutes toi tu vois déjà le talent, c’est comme ça que vous vendez le rêve aux jeunes filles ici dehors, vous êtes un vendeur d’illusion vous leur fait croire des choses qui ne sont pas vraies et par conséquent certains commencent à se prendre la tête

Face aux propos de Joyce il n’avait plus parlé, il ne souhaitait plus continuer cette discussion car le plus important pour lui était qu’il ait tourné sa scène, puis à la fin du tournage elles étaient retournées à la maison et durant tout le trajet Joyce ne lui avait pas adressé la parole, ce qui l’intriguait, elle se demandait ce qu’elle avait bien pu faire de mal pour la contrarier.

Une fois à la maison comme il faisait déjà nuit, Joyce s’était rendu dans la chambre et après avoir pris son bain elle avait fermé la porte de sa chambre à clé, peut-être pour s’en dormir ou alors pour être seule, et Peace avait aussi pris son bain mais reporta les mêmes habits car étant donné que son amie avait fermé sa porte à clé, elle n’osait pas la déranger.

Puis elle se coucha sur son petit matelas au salon, et comme elle n’avait pas encore sommeil elle voulut visionner de ce fait alluma la télévision et voilà que Joyce avait parlé de la chambre.

Joyce : Peace je ne veux pas les bruits au salon s’il te plait car j’ai très mal à la tête ce soir et je souhaite vraiment me reposer car ma journée de demain est longue

Peace : ok, désolée ! 

Après que Joyce ait parlé, au lieu de juste baisser le volume, elle avait préféré éteindre une fois la télévision et malgré le fait de ne pas avoir sommeil, elle s’était efforcée de dormir.

Joyce avait cette manière de lui parler, jamais elle n’haussait le ton, elle parlait toujours calmement, poliment et posément, mais sur un ton très stricte qui laissait toujours croire qu’elle donnait des ordres, elle savait dire « s’il te plait » et « merci » quand c’était nécessaire mais sa manière de parler ou certains mots employés montraient très bien que c’était elle la patronne et Peace la servante.

Les jours qui suivaient Joyce ne sortait plus avec Peace, elle allait au tournage toute seule, et quand elle sortait elle laissait les consignes à son amie pour la cuisine, la lessive, le ménage…

 Jusque-là Peace ne se rendait compte de rien, elle ne voyait pas à quel point son amie l’utilisait, au contraire elle continuait dans sa lancée, celle de tout faire pour lui plaire afin de continuer à bénéficier des faveurs de cette dernière.

Puis un soir, alors qu’elles étaient en train de manger, Peace avait entamé la conversation.

Peace : Joyce, par rapport à mon travail nous allons faire comment ?

Joyce : je ne sais pas car moi-même je suis inquiète, je parle chaque fois à mes connaissances mais ils me disent qu’ils n’ont rien et pour ceux qui ont une proposition ils refusent de te prendre disant que tu n’as pas d’expérience, mais je ne baisse pas les bras tu n’imagines pas à quel point je me bats pour que tu aies quelque chose

Peace : merci beaucoup, mais je voulais te faire une proposition, comme je passe déjà mes journées à la maison, après avoir fini les travaux je peux me balader dans les environs pour chercher le travail, si je peux même trouver un emploi comme ménagère ça serait mieux que rien au moins ça me permettra d’avoir mon propre argent et d’envoyer un peu à ma famille

Joyce : je ne pense pas que ça soit une bonne idée, car j’ai promis à ta mère que je vais tout faire pour t’aider, et ce n’est pas parce que ça traine que tu dois être ménagère, et moi je vais dire quoi à ta mère ? Non, non, ce n’est pas une bonne idée continue à rester ici et je me chargerais de continuer à chercher

Peace : je peux au moins t’aider à chercher ?

Joyce : Peace tu vas chercher où ? Tu connais d’abord qui ? Tu penses qu'on se lève un matin et trouve du travail n'importe où ? En plus tu ne connais pas bien la ville et je ne veux pas que quelque chose t’arrive, n’oublie pas que je suis responsable de toi, ta mère t’a confié à moi et si quelque chose t’arrivait j’en serais probablement tenue pour responsable, alors, ne soit pas si pressé, tu dois aussi savoir que le pays est dure plusieurs personne plus diplômé et expérimenté que toi ne trouve pas le travail alors prend ton mal en patience et tu verras que les choses iront.

Elle savait si bien prendre sa copine, alors qu’au fond elle ne lui cherchait pas de travail, elle préférait la voir dépendante et à sa botte, elle devait être en haut et Peace en bas pour que le respect soit maintenu.

Peace avait son petit téléphone non Android qu’elle était revenu du village avec et la dernière fois qu’elle était sur le plateau de tournage ou elle avait tourné une scène, à la fin elle avait pris le numéro de l’actrice qui l’avait encouragé et lui avait donné le sien, car son comportement l’avait marqué, elle s’appelait Abby.

Plusieurs semaines après, ce soir Peace et Joyce regardait la télévision, quand Abby envoya à Peace un message de salutation et aussitôt elle avait répondu, Abby disait ne plus l’avoir revu depuis ce jour, mais comme raison elle lui avait dit que la recherche du travail l’occupait beaucoup et c’était ça la raison pour laquelle elle ne l’avait plus revu, elles avaient discuté plusieurs minutes avant de se dire au revoir.

Abby : passe une bonne nuit Peace et on se voit ce Samedi

Peace: Samedi?

Abby: Oui Samedi!

Peace : et pourquoi samedi ? Il y’a quoi ce jour ?

Abby : la projection du film voyons ! ça sera l’avant-première, Joyce ne t’en a pas parlé ?

Peace : non, je suppose que si elle ne m’en a pas parlé c’est parce que je n’ai pas été convié à cet évènement, Ou bien elle le fera plus tard

Abby : comment ça, étant donné que c’est moi qui… bref on se verra alors une autre fois si samedi tu ne viens pas

Elle n’avait pas fini la première phrase, mais Peace ne s’était pas posé la question de savoir ce que voulait réellement lui dire Abby, pour elle, si elle n’avait pas l’information cela voulait tout simplement dire qu’elle n’était pas concernée.

Elle espérait quand même que Joyce lui parle de l’avant-première même si elle n’était pas invitée, mais elle ne l’avait pas fait, et c’est samedi soir qu’elle lui avait parlé de la projection quand Peace l’aidait déjà à s’apprêter pour partir.

Peace : tu es très belle, tous les regards seront braqués sur toi ce soir

Joyce : merci, j’aurais vraiment aimé que nous y allions ensemble, mais ce n’est pas moi qui décide, ça sera peut-être pour la prochaine fois

Peace : il n’y a pas de soucis, amuse-toi bien

Joyce : ok !

Elle était partie laissant Peace seul à la maison, et celle-ci avait passé la soirée à regarder la télévision tout en échangeant par message avec Abby

Abby : donc tu n’es vraiment pas venu ? Car je viens de voir Joyce sans toi !

Peace : non je ne suis pas venu, je t’ai dit que je n’avais pas de billet d’invitation

Abby : Humm ! Ok, mais un jour tu me donneras la vraie raison alors je préfère ne pas insister

Elle ne comprenait pas à quoi Abby voulait faire allusion depuis, mais ne préférait pas aussi insister.

 Après la projection qui avait été un succès, Joyce était rentré avec un homme à la maison et les deux avaient traversés Peace qui faisait semblant de dormir avant de se rendre dans la chambre, et quelques minutes après ce sont des cris qui se faisait entendre de la chambre ce qui avait empêché Peace de dormir cette nuit.

Le lendemain, comme c’était un dimanche, Peace n’allait pas se préparer, car la nourriture de la veille n’était pas encore finie, et la maison aussi était propre vu qu’elle avait fait le ménage à fond samedi, alors elle voulait profiter de sa journée pour récupérer son sommeil de la nuit.

Vers onze heures, Joyce et son ami s’étaient enfin réveillés, les deux avaient pris leurs bains avant de s’habiller pour sortie, le monsieur était déjà dehors quand Peace est sorti de la cuisine donc elle n’avait pas eu le temps de bien le voir, et quand Joyce sortait à son tour de la maison les deux s’étaient croisé et elle lui dit :

Joyce : s’il te plait Peace, reste à changer le drap sur mon lit et tu laves une fois ce que tu vas retirer…

Elle ne lui avait pas laissé le temps de répondre qu’elle était déjà dehors en train de partir, après son départ Peace s’était sentie gênée par ce que lui demandait de faire son amie, tout en sachant ce qui s’était passé dans cette chambre la nuit dernière.

Ne voulant pas se mettre à se faire des idées qui pourraient l'induire en erreur, elle trempa le drap en question avec le détergent et pendant que quelques saletés sortaient elle dressait le lit, puis avait terminé en lavant le drap en question.

Durant toute la journée elle n’était pas tranquille, à y réfléchir la tournure des choses ne m’arrangeait pas, ce n'est pas ainsi qu'elle s'imaginait les choses avant son départ pour la ville, elle cogitait longuement sur sa vie quand elle eut une idée, celle de demandé de l’aide à Abby, alors elle lui fit un message.

#MESSAGERIE

Peace : Bonjour Miss, j’espère que la soirée s'est bien passée !

Abby : oui elle s'est très bien passée, l'avant-première du film était un grand succès, les sponsors ainsi que le producteur étaient très contents, ils envisagent d'ailleurs lancer un nouveau projet bientôt

Peace : d’accord je suis contente pour toi, dit je suis à la recherche du travail tu n'as rien à me proposer là ? Ça fait déjà plusieurs mois que je ne fais rien, Joyce qui m'avait promis m’aider ne s’en sort pas aussi

Abby : Depuis plusieurs mois tu dis ? Mais il y’a moins d'un mois la maison de production recrutait des personnes non expérimentées pour faire des tâches basiques, si Joyce avait voulu tu aurais pu être parmi les personnes embauchées

Peace : peut-être qu'elle a essayé et ça n'a pas abouti !

Abby : Non !  Sinon elle aurait au moins déposé ton curriculum vitæ et aurait parlé à tout le monde de ta recherche d’emploi au cas où un de nous pouvait t'aider, bref laisse tomber tu étais où hier ? Maintenant dis-moi la vérité !

Peace : hier ?  À la maison ! Tu sais que je vis avec Joyce, donc après son départ nous nous sommes écrit toi et moi avant que je me laisse emporter par le sommeil

Abby : je veux savoir pourquoi tu n'es pas venu à l’avant-première !

Peace : parce que je n’avais pas acheté le billet, en plus je suis tombé sur la publicité hier à la télévision, et c’est où j’ai compris pourquoi Joyce ne m'a pas emmené avec elle, car les billets étaient chers

Abby : mais qu’est-ce que tu racontes ? Je t'appelle c’est mieux !

#AU TÉLÉPHONE

 Abby : tu n’avais pas besoin de t'acheter un billet, tous les acteurs avaient des invitations spéciales, c’est le public qui devait acheter leur billet, c’est d’ailleurs moi qui aie donné ton billet à Joyce car en donnant le sien ils avaient oublié le tien, puis je l'ai récupéré je comptais t’appeler pour te le donner mais comme entre temps Joyce et moi nous nous sommes vus c’est à elle que j'ai remis.

Peace : waouh là je ne sais plus trop quoi dire !

Abby : je dois te laisser, si je trouve quelque chose pour toi je te ferais signe !

Peace : d’accord !

Peace n’avait pas cru Abby au sujet de l’invitation et ne comptait pas demander à son amie pour en savoir plus.

Plusieurs semaines après, Peace restait toujours à la maison et s’occupait de toutes les tâches ménagères quand Joyce vaquait à ses occupations.

Un vendredi, c’était le jour du casting d'un autre projet de la même maison de production du film de la dernière fois, mais cette fois-ci il s’agissait de produire une série qui devait s'intituler « La nouvelle épouse », dans cette série il devait avoir trois personnes principales, le mari, la première femme et la nouvelle épouse, et Joyce visait le rôle de la première femme.

Ce jour en allant au casting, elle oublia son portefeuille à la maison et dû appeler Peace pour qu’elle le lui rapporte.

A son arrivée Joyce était déjà passée et discutait avec d’autres acteurs, elle lui remit son portefeuille et au moment de partir elle tomba nez à nez avec le réalisateur de la dernière fois il s'appelait Camille KOBE.

KOBE Camille : ma ménagère préférée ! (Rire)

Peace : Bonjour monsieur Camille KOBE !

C’était un homme de la quarantaine, très mature, de teint noir et petit de taille.

KOBE Camille : laisse monsieur et appelle-moi tout simplement Camille, j'espère que tu te portes mieux, apparemment oui ! car tu as l'air en forme !

Peace : me porter mieux ?

Camille : oui ! Joyce m'a dit que tu étais malade raison pour laquelle tu n’étais pas à l'avant-première du film dernièrement

Elle jeta un regard sur Joyce qui baissa aussitôt la tête. Elle se rappelait alors de sa conversation avec Abby, et lui donnait raison cette fois-ci. Mais elle n'avait pas voulu faire de ça un problème.

Peace : par la grâce de Dieu tout va bien pour le moment

Camille : je suis ravie, c'est bien que je sois tombé sur toi, tu sais tu as un grand potentiel et c’est la raison pour laquelle je souhaite que tu fasses le casting pour être là nouvelle épouse

Peace : moi ? 

Camille : oui ! Je suis sûre que tu joueras ce rôle à merveille

Puis Joyce s'approcha encore de plus près, elle ne voulait pas que cette discussion continue, surtout qu'elle allait dans un sens qui ne m’arrangeait pas.

Joyce : Peace tu avais déjà fini ce que tu avais à faire ?

Peace : non, Camille merci pour l'offre mais je ne peux pas accepter, aujourd’hui je suis un peu occupée, d’ailleurs je dois rentrer !

Peace avait dû interrompre ses travaux pour aller donner le portefeuille de Joyce, laissant ainsi la maison en désordre, en plus elle n’avait pas encore fait la cuisine, raison pour laquelle elle se précipitait pour rentrer.

Camille : ce n'est pas grave le casting c’est deux jours alors tu peux venir demain

Peace : ok je verrais demain, au revoir !

Camille : à demain ! Et viens avant quinze heures !

Après son départ, Joyce était en colère suite à la proposition de Camille.

Joyce : pourquoi tu continues de lui mentir qu’elle a du talent ?

Camille : parce qu’elle a du talent !

Joyce : quel talent même, elle a joué un seul rôle dans sa vie, ménagère et ce pendant moins de trois minutes, en plus elle n'a fait aucune formation, mais toi tu veux déjà qu’elle ait le rôle principal dans une série ? Tu ne vois pas que tu y vas fort ?

Camille : j'ai juste demandé qu’elle tente sa chance comme tout le monde car on ne sait jamais

Joyce : c’est ça ! Moi je te vois venir car même ta manière de parler dit tout.

Camille : ce métier je le fais depuis plusieurs années, près de vingt ans alors si je dis qu'elle a du talent, crois-moi c’est qu’elle en a, en plus tu devrais être contente que ton amie et toi travaillez ensemble, au cas où ça arrive

Joyce : et j'espère bien que ça n’arrivera jamais !

Sa phrase terminée, elle retourna discuter avec d’autres acteurs.

Le soir une fois à la maison, ça se voyait que Joyce n’était pas contente alors elle avait passé la soirée à se plaindre du métier d’actrice, relever tous les inconvénients dans le but de décourager son amie, car elle n'osait pas lui dire de vive voix ce qu'elle pensait.

Puis le lendemain elle eut une idée, sortir avec Peace comme elle le faisait au début, si elle l’occupait celle-ci manquerait de temps pour aller faire le casting.

Ce samedi, elles étaient sorties ensemble, Joyce devait se rendre dans une entreprise qui comptait organiser un défilé et l’avait sollicité comme mannequin, elle avait des répétitions à faire, il faut souligner que les deux amies avaient presque la même taille, Peace dépassait un peu Joyce mais toutes les deux étaient très fine de taille, seulement Peace était brune et Joyce noir.

Il y’avait trop de choses à faire ce jour, présentation des vêtements, essayage, défilé, en plus le temps passait très vite, et quand Peace s’était rendu compte il était déjà quatorze heures, alors elle s’approcha de son amie pour lui parler.

Peace : Joyce je voulais aller au casting, il est déjà quatorze heures, si je veux arriver avant quinze heures je dois déjà me mettre en route.

Joyce : ok ! Attends-je finis le dernier passage, et là tu pourras partir !

Et Peace qui se disait que ça devait être un passage rapide, mais ça avait encore mis trop de temps, échange des tenues, passage, retouche, tout allait très lentement si bien que quinze heures n'a pas tardé à sonner.

A se demander comment elle faisait quand Peace n’était pas là, ou alors où se trouvait la nécessité qu'elle soit là, tout ce qu'elle voulait au fond c’était que même ce casting elle ne le fasse pas, à quinze heure vingt minutes, tout en sachant qu’il se faisait déjà tard, elle était allée prendre son sac chez Peace avant de lui lâcher :

Joyce : tu peux partir maintenant … !

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