

Histoires


Unis pour la vie
Ehh bien cette fois-ci je ne vais pas être doux , ni tendre Ohh ? Cette fois ci je vous emmène dans un royaume imaginaire. Un royaume où se vivait une histoire d'amour très sensible entre deux coeurs purs . Il s'agit du prince héritier Yohann Adelson et de l'orpheline Audrey Chaïma. Yohann fils du roi Curtis Adelson est un prince qui a la main sur le cœur. Destiné à épouser son amie d'enfance, il tombe éperdument amoureux de l'orpheline. Une orpheline qui vivait les pires atrocités de la vie et ce qui était encore plus pire, celle à la base de tout ses atrocités était sa tante . La grande sœur de sa défunte mère. Elle était châtier à la moindre erreur. Sa vie bascula lorsque le prince héritier posa ses yeux sur elle. Un amour fou naîtra entre les deux. Mais une orpheline de bas classe n'avait pas sa place dans le royaume, pire dans la famille royale disait Adele Adelson la mère du prince héritier. Ehh bien si vous avez des mouchoirs, veillez les faire sortir pour accueillir #UNIS_POUR_LA_VIE?? UNE HISTOIRE QUI VOUS FERA SORTIR DE VOS GONS ET VOUS DONNERA DE FORTES SENSATION ?? CETTE FOIS CI JE NE FERAI PAS DE CADEAU ?? CETTE HISTOIRE EST ÉCRIT PAR L'AUTEUR LES HISTOIRES DE CLARK ?


l'amour et réalité
**Dans une maison à louer** *Sarah et Mathieu sont dans le salon, prêts à se dire au revoir.* **Sarah :** Mathieu, tu t'en vas déjà ? **Mathieu :** Oui ma chérie, j'ai des clients qui m'attendent de l'autre côté de la voie. **Sarah :** Ok compris. Mais et l'argent de popote ? **Mathieu :** Ahh oui, j'ai laissé 3000 FCFA sur la table au salon. J'espère que ça suffira. **Sarah :** Mathieu !!!!!!! Et tu n'as même pas honte de dire ça, hein ? Qu'est-ce que 3000 FCFA peut acheter aujourd'hui ? Avec tout ce que disent les vendeuses, tu te donnes le vilain luxe de laisser ces maudits billets. **Mathieu :** Ahh mais c'est tout ce que j'ai, mon amour. S'il te plaît, je vais compléter à mon retour. Prie pour moi seulement. **Sarah :** Je l'espère vraiment pour toi. Pense à notre fils, il a besoin de fournitures pour l'école. *Mathieu embrasse Sarah rapidement.* **Mathieu :** Je te promets que tout ira bien. À tout à l'heure ! *Mathieu sort de la maison et monte dans son taxi. Il démarre et part à la recherche de clients.* --- *Entre-temps, à l'école, le fils de Sarah et Mathieu, David, est dans la cour et discute avec ses amis.* **David :** (soupirant) Je ne comprends pas comment on peut m'exclure, même si je suis le meilleur de ma classe. **Ami 1 :** Mais tu as dit que tes parents n'ont pas payé la contribution pour le trimestre, non ? **David :** Oui, mais cela ne devrait pas impacter mes résultats scolaires ! C'est injuste. *Une enseignante s'approche de David.* **Enseignante :** David, je suis désolée, mais tu ne peux pas rester ici si nous n'avons pas reçu la contribution. **David :** Mais je travaille dur ! Mes notes sont excellentes ! **Enseignante :** Je comprends, mais les règles sont les règles. Parle à tes parents et fait en sorte qu'ils règlent cela. *David baisse la tête et sort de l'école, triste.* --- *De retour à la maison, Sarah se demande où est Mathieu. Elle va jusqu'à la table et remarque les 3000 FCFA. Elle soupire, préoccupée par la situation.* **Sarah :** (murmurant) Que vais-je faire avec si peu ? *Elle décide de sortir pour aller chercher un peu de nourriture. Juste à ce moment-là, David rentre à la maison.* **David :** Maman, on a un problème... je suis renvoyé de l'école. **Sarah :** Quoi ? Mais pourquoi ? **David :** Ils n'ont pas reçu la contribution. Même si j’ai les meilleures notes, ils ne veulent pas me garder. **Sarah :** (s'effondrant sur le canapé) Oh non... mais c’est injuste ! Les autres élèves peuvent-ils payer et toi non ? **David :** Oui, c'est ça... je suis le meilleur, mais ça ne compte pas. *À ce moment, Mathieu rentre à la maison, essoufflé et souriant.* **Mathieu :** Je suis de retour ! J'ai eu une bonne journée. Alors, comment ça va chez vous ? *Sarah et David échangent un regard à peine inquiet.* **Sarah :** Mathieu... on a un sérieux problème. **David :** (visage baissé) Je me suis fait renvoyer de l'école. **Mathieu :** Quoi ? Pourquoi ? **Sarah :** À cause de la contribution, ils n'ont pas été payés. Et nous n'avons que 3000 FCFA pour tenir la semaine. **Mathieu :** (inquiet) Je suis désolé... je vais tout faire pour régler ça. Je vais travailler encore plus. **David :** Mais tu es déjà épuisé ! **Sarah :** Non, David. On doit trouver une solution ensemble. Peut-être qu'on peut parler aux enseignants, expliquer la situation. **Mathieu :** Oui, Sarah a raison. On doit essayer. On va te défendre. On ne laissera pas ces problèmes nous abattre. **David :** D'accord... merci, je ne veux pas être le seul à porter ça. *La famille se serre les coudes dans l'adversité, espérant que des jours meilleurs arriveront bientôt . C'est ça qu'on appelle une famille. Dit le petit David en souriant. Mathieu se leva ce jour-là avec une lourdeur dans le cœur. Il savait qu'il devait se rendre à l'école de son fils David pour discuter de la contribution scolaire, mais il appréhendait déjà la confrontation. Il repassait dans son esprit tous les sacrifices qu'il avait faits pour offrir à son fils une éducation de qualité. Au fond de lui, il espérait qu'il pourrait trouver un moyen d'arranger les choses, peut-être même de convaincre le directeur de faire preuve de compassion. En arrivant à l'établissement, une boule dans la gorge, il salua le personnel avec un faible sourire. Mais lorsqu'il entra dans le bureau du directeur, l'atmosphère se chargea soudainement d'une gravité palpable. Le directeur, un homme imposant aux lunettes rigides et au regard froid, ne laissa pas de place à la négociation. "Monsieur Mathieu", commença-t-il d’un ton formel, "les règles sont claires. La contribution est due, et nous ne pouvons pas faire d’exception." Mathieu se sentit sombrer dans un abîme de désespoir à chaque mot prononcé par le directeur. Il soupira profondément, cherchant à rassembler ses pensées. "Écoutez, je comprendrais si vous aviez un peu de flexibilité. Je suis dans une situation difficile. J’ai tout donné pour mon fils, mais les temps sont durs", se défendit-il, mais ses mots semblaient se heurter à un mur. "Je suis désolé, mais la politique de l'école est la suivante. Sans le paiement, nous ne pourrons pas permettre à votre fils de poursuivre ses études ici", répondit le directeur, ne laissant entrevoir aucune possibilité de discussion. C'était comme si un poids énorme s'était abattu sur son cœur. À cet instant, Mathieu réalisa qu'il n'était plus cet homme riche et puissant qu'il avait été autrefois, mais un père déboussolé, dont les efforts semblaient vains. Les larmes commencèrent à couler sur ses joues alors qu'il se tenait là, inconsolable. "Je suis un vaut rien. Juste parce que je n'arrive pas à payer la contribution pour mon fils", pensa-t-il, désespéré. Il se remémora les jours où il pouvait offrir tout ce qui était nécessaire et plus encore. Il sortit de l'école en trébuchant, le cœur lourd comme un plomb. Les enfants jouant dans la cour lui rappelaient son fils qui, lui, était en train d'attendre qu'il rentre à la maison. La peine qu'il ressentait était insupportable. Il se rendit compte qu'il avait perdu plus que de l'argent ; il avait perdu son identité, son rôle en tant que père et protecteur. Dans un dernier élan de désespoir, il s'effondra sur le chemin, pleurant à chaudes larmes, inconscient des regards curieux des passants. Pendant ce temps, à quelques rues de là, Sarah, la femme de Mathieu, faisait des courses au marché. Les étals étaient remplis de produits frais et colorés. Elle flânait parmi les différents vendeurs, mais son esprit était embrouillé par les pensées de son mari. Elle savait qu'il traversait des moments difficiles, mais elle espérait qu’il garderait le moral pour le bien de leur fils. Alors qu'elle s'approchait d'une vendeuse qui lui avait souvent vendu des fruits, elle se souvint d'une conversation précédente sur le soutien que certaines familles du quartier apportaient aux plus démunis. Elle se dit qu'il pourrait être utile de se renseigner sur ces initiatives, au cas où cela pourrait aider Mathieu. "Bonjour, madame", commença Sarah avec un sourire, "comment vont les affaires aujourd'hui ?" La vendeuse, une femme âgée avec des mains ridées, lui retourna son sourire. "Oh, Sarah, ça va bien, mais je vois que tu as l'air préoccupée. Quelque chose ne va pas ?" Sarah hésita un moment, puis se laissa aller à la franchise. "C'est Mathieu… il lutte avec la situation financière en ce moment, et je crains que cela n'affecte David. L'école demande une contribution que nous ne pouvons pas payer." La vendeuse l'écouta avec compassion. "Je comprends, ma chère. Beaucoup de familles dans le quartier sont dans le même bateau. Il existe un fonds d'aide pour les étudiants qui ont besoin de soutien. Tu devrais en parler au directeur de l'école, ou encore mieux, contacter les assistantes sociales." Les yeux de Sarah s'illuminèrent d'un nouvel espoir. Cela était peut-être la solution qu'ils cherchaient à trouver. "Merci beaucoup ! Je vais m'informer à ce sujet. J'espère que cela pourra aider Mathieu et David." Tout en continuant ses courses, elle se mit à réfléchir à la manière dont elle pourrait soutenir son mari, à encourager sa force et sa détermination, pour qu'il se relève de cette épreuve. Leurs défis étaient grandioses, mais leur amour pour leur fils était incommensurable. Alors que Sarah rentrait chez elle, elle était ravie à l'idée de faire face à la situation avec Mathieu, de le soutenir et de l'épauler dans cette tempête. Dans son esprit, elle avait déjà commencé à esquisser une sorte de plan pour aborder la situation avec lui. La vie n'était pas facile, mais ils n'étaient pas seuls. Au fond, leur bonheur résidait dans leur capacité à s'entraider, à surmonter les obstacles ensemble et à se rappeler qu'ils étaient une famille, unie par l'amour et la résilience, même face à l'adversité. David : (inquiet) Papa, pourquoi tu es si triste ? Qu’est-ce qui s’est passé avec le directeur ? Mathieu : (en tremblant, les larmes aux yeux) Je... Je n’ai pas réussi à le convaincre. J’avais tellement préparé mes paroles pour le convaincre, mais... David : (l’embrassant doucement) Ce n'est pas grave, papa. Ça arrive à tout le monde de ne pas réussir du premier coup. Il n'est pas DIEU. On trouvera une solution j'en suis convaincu. Mathieu : (soupirant) Mais je voulais tellement qu'il m'accorde un peu de temps pour trouver l'argent. David : (avec assurance) Tu sais, ce n'est pas la fin du monde. Regarde tout ce que tu as accompli jusqu'à maintenant. Tu es fort et intelligent. Ils oublient très vite mais c'est la vie on y peut rien. Mathieu : (essuyant ses larmes) Je... je me sens juste si déçu. David : (souriant) Parfois, la vie ne va pas comme on le souhaite. Mais il y aura d'autres occasions, d'autres opportunités. Tu n'as pas besoin de perdre espoir. Mathieu : (regardant son fils) Tu as raison, mon grand. Mais c'est difficile de voir ça maintenant. Aujourd'hui moi Mathieu l'homme bienveillant je peine à trouver de quoi manger et surtout de quoi supporter ma famille et la scolarisation de mon fils . Désolé fiston mais ton père a connu un échec qui ne dit pas son nom. David : (prenant la main de son père) Écoute, même les plus grands ont des échecs. Ce qui compte, c'est comment on se relève. Tu sais ce qu'on dit : "un échec n'est qu'une opportunité de recommencer de manière plus intelligente". Mathieu : (soupirant mais souriant légèrement) Parfois, je me demande d'où tu tires toute ta sagesse. David : (avec un clin d'œil) Je suis le fils du meilleur père du monde ! Maintenant, viens, on va préparer un bon repas ensemble. Ça va toujours te réconforter un peu. Mathieu : (légèrement souriant) Oui, tu as raison. Une bonne assiette pourrait faire toute la différence. David : (sautillant vers la cuisine) Alors allons-y ! Et qui sait, peut-être qu’un jour, tu seras le directeur de cette école ! Mathieu : (riant) Oh là là, ne mettons pas la charrue avant les bœufs ! Mais j'aime ton enthousiasme. David : (en souriant) C'est ce que l'on fait, n'est-ce pas ? On avance ensemble, main dans la main. Mathieu : (avec gratitude) Oui, partenaire. Merci dêtre là pour moi champion. David : Toujours, papa. Toujours. (Leur dialogue résonne dans la maison, rendant l’atmosphère un peu plus légère et pleine d’espoir.)


L'amour de ma vie ?
#L_AMOUR_DE_VIE♥️ Parfois on a juste besoin d'une seule personne dans notre vie pour que nos malheurs disparaissent. La vie est difficile mais lorsqu'on a un bon partenaire, elle semble plus facile. On se croit même invincible grâce au bonheur, à l'assurance et surtout grâce à l'amour que nous procure cet partenaire. Dans un royaume du nom d'Aski vivait une jeune demoiselle du nom de Karen , orpheline de mère , elle fut élevé par son père et sa belle mère. Comme de coutume, tout ce que fesait Karen n'était pas vu d'un bon œil par la belle mère. Karen était très souvent maltraités. Karen représentait ce qu'on pouvait appeler la beauté à l'état naturelle. Jeune demoiselle très belle, ravissante et aimable , elle avait un bon cœur. De l'autre côté du village vivait le prince héritier. Un jeune homme dont l'avenir au trône dépendait de ses fiançailles. Malheureusement notre jeune prince héritier du nom de jehovani AMS n'était pas prêt à demander la main de qui que ce soit . Mais comme le dit on très souvent nous pouvons tout dit mais lorsque Cupidon te touche avec sa flèche que tu le veuilles ou non tu tomberas amoureux. Notre jeune prince gardait toujours sa parole de ne pas vouloir se marier malgré les menaces de son père jusqu'au jour où il rencontra notre orpheline. Il était submergé par la beauté de notre orpheline. Très vite , il tomba amoureux d'elle et un grand amour naquit entre les deux. Ils étaient inséparables et se comprenaient sans avoir besoin de faire grand chose. Un amour qui serait bien vu par le roi ??? N'y aura t'il pas de différence entre les deux classes ?? Le prince sera t'il prêt à faire l'impossible pour le bonheur de sa bien aimée ?? Réussiront-ils à vivre leur amour malgré les envieux ??? Vous le saurez après avoir lu L'amour de ma vie ♥️ Clique sur mon lien après avoir bien


MY LADY FOR LIFE ?
: Grinnnnnnnnnnnnnnnnnn Carl : yooo décroche il y a ta grande mère qui t'appelle. Jehovani ; ohhh non pu****!!!!!! Ehh toi dégage la fête est terminée. : mon chéri mais laisse moi me reposer encore un peu non . Tu m'as fait vivre une nuit magique. Jehovani : tant mieux pour toi car c'était la première fois et la dernière fois. Étonné, la fille de redresse. : comment ça ??? Jehovani : oui tu m'as bien entendu. Je ne couche jamais avec une femme deux fois. Maintenant va t'en. : comment oses tu ?? N'as tu pas de cœur ??? Jehovani : toi tu me fais perdre de l'argent. Le temps c'est de l'argent. C'était une histoire de sexe et je crois qu'on a déjà abouti. Tu as bien pris ton pied et moi j'ai juste vider ma frustration quelques parts. Déjà que c'est un privilège pour toi de te retrouver dans mon lit ne fait pas tout un plat . Soit humble et sort de mon lit Bordel de merdre !!!!!!!! Dis je en haussant le ton . : tu vas le regretter un jour !!! Jehovani : je suis impatient de voir ce jour haha haha. Pour l'instant tu me sers à rien dégage !!!! La jeune demoiselle s'en va en pleure . Carl : crois tu que ce soit une bonne chose ?? Jehovani ; Qu'est ce que j'ai encore fait ?? Carl : ta manière de traiter les femmes n'est vraiment pas du tout bien. Jehovani : haha haha bro elles aiment le luxe et de jolis corps. C'est ce que je leur donne pour pouvoir vider ma frustration en eux haha haha. Carl : sais tu que tu pourrais le regretter un jour ??? Jehovani : moi ??? Haha haha dit leurs d'abord d'arrêter de courir derrière le luxe haha haha. C'est impossible. Tant qu'il y aura des profiteuse, il y aura toujours un homme pour les "******* haha haha. Elles ont ce qu'elles méritent bro . Laisse tomber . Carl : je te comprends mais tu ne devrais pas en profiter. Jehovani : carl le saint haha haha. Tu n'as rien compris. Cette fille que tu vois à un gars . Mais juste parce qu'elle avait envie de sortir pour manger dans un restaurant cinq étoiles, elle vient de se faire bai*** par moi . Qu'est ce qui te prouve que ta copine est fidèle ??? Tu vois déjà le comportement de cette meuf ??? Même si je ne le fais pas, il y aura toujours des gens comme moi qui le feront haha haha. Carl : en tout cas sache que tu risques de le regretter. Jehovani : peut être dans l'avenir mais pas maintenant. Elles nous voient comme le banque et nous les voyons comme nos ****** . Frère fait toi plaisir et arrête de croire que t'a une meuf . Carl : je te dis que j'ai confiance en ma meuf . Jehovani : c'est bien. Attache toi bien à cette fille et après reviens pleurer comme un idiot. Carl : toi tu n'as pas confiance en quelqu'un je suppose. Jehovani : j'ai confiance en toi et ma grande mère le reste , il n'y a que mon bolide qui me rend dingue . Carl : en parlant de grand mère, elle appelle. Qu'est ce qu'on fait ??? Jehovani : je lui dis la vérité. Allô Mami Marthe ; JEHOVANI AMS JE VEUX TE VOIR DANS MON BUREAU DANS 30 MINUTES OU SA VA BARDER !!!!!!! Jehovani : ok compris. Elle raccroche. Carl : crois tu qu'elle se doute de quelque chose ??? Jehovani : je ne crois pas. J'en suis convaincu bro . De toutes les façons je m'y attendais déjà. Il faut que je prenne une douche et on s'en va . Je m'en vais à la douche . Carl : toujours aussi têtu. Après avoir fini de prendre ma douche je mets mes accesoires pour frapper encore plus fort. Je sors mon bolide. Jehovani : Carl sort on va me tuer si jamais je suis en retard. Carl : un instant Jehovani : bro sort tu n'es pas une fille non ?? Comment un garçon peut il faire autant de temps pour s'apprêter unh ??? Carl : la ferme !!! Jehovani : enfin !!! Allez grimpe. On se met en route. De l'autre côté Dans la maison des AMS Thérèsa : madame à quoi pensez vous ?? Marthe : à tout et à rien du tout . Thérèsa : il est beau ici unh Marthe : mon petit fils a toujours été beau et charmant. Son problème, c'est les femmes !!!! Il est devenu accro aux femmes. En plus d'être arrogant et prétentieux il aime trop les femmes. Thérèsa : je suis sûr qu'il va changer un jour. Marthe : pourquoi pas maintenant ?? Tu sais Marthe je me fais vieille et j'ai besoin de lui pour assurer la relève. Mais force à croire que lui tout ce qu'il veut s'est passé de bon temps avec tout ce qui bouge et porte des jupes . Thérèsa : haha haha madame vous exagérez . Marthe : pas du tout. La belle preuve il a encore organisé une fête chez moi . Thérèsa : mais moi je ne vois pas de votre cassé unh . Marthe : je parle de l'autre Maison. Thérèsa : ahh d'accord je comprends. Mais il va se ressaisir je vous le promets. Marthe : jusqu'à quand vais-je supporter ses bêtises ??? Thérèsa : en parlant du lourd. Jehovani : comment va la plus belle Mami du monde ??? Marthe : très mal . Jehovani : hein pourquoi ça ?? Marthe : tu étais où ?? Jehovani : ehh bien j'étais........ Carl ; il était avec moi Marthe Jehovani : voilà il dit la vérité. J'étais avec lui . Marthe : je sais que tu mens . Jehovani : ahh mais non mami . Marthe : tu as laissé tes hommes de main ici et tu t'es enfuit. Tu le fais lorsque tu n'as pas envie qu'ils sachent ce que tu fais. Je suis vieille mais pas bête jehovani. Et toi Carl je vais te punir. Jehovani : non ne lui fais rien. Oui j'étais ailleurs. Marthe : toujours entrain de faire des fêtes qui n'ont pas de sens. Jehovani : oui je sais ce que tu penses mais moi j'ai besoin de me détendre après avoir taffé. Marthe : alors pourquoi ne pas prendre une femme au lieu de parcourir les femmes ??? Jehovani : je ne suis pas prêt à m'engager grande mère. Marthe : alors sache que je te déshériterai . Jehovani : Quoi ??? Pourquoi ??? Marthe : oui tu m'as bien entendu. J'ai trop supporté tes bêtises. Soit tu te maries soit je te déshérite . Jehovani : tu me menaces unh . Marthe : pas du tout mon chéri, je t'aide à faire le bon choix. Jehovani : j'ai plusieurs entreprises dans plusieurs pays. J'ai des hôtels et restaurants partout ici en Italie et en dehors du pays parce que je bosse très dure. Alors même si tu ne me donnes pas ta richesse, je serai toujours dans de très bonnes position. Je m'en vais. Carl : ehh mais jehovani ta grande mère jouait juste avec toi pourquoi t'énerves tu ??? Il le suit lui aussi. Thérèsa : ehh bien ça n'a pas marché Marthe ; au contraire, c'est ça qu'il fallait. Thérèsa : de Quoi parlez vous ???? Marthe : L'irriter, c'est de ça il a besoin pour se ressaisir. Sache que je ne bluff jamais. Je vais l'inciter jusqu'à ce qu'il se trouve une femme. Thérèsa : Que comptez vous faire ??? Marthe : il parle d'un entreprise que je lui ai offert. Thérèsa : certe , vous lui avez offert l'entreprise mais c'est lui qui l'a fait prospérer jusqu'à l'échelle mondiale. Marthe : et je vais aussi créer un bug pour pouvoir l'inciter à accepter ma proposition. Thérèsa : Que comptez vous faire ??? Marthe passe un appel. De l'autre côté Jehovani : comment peut elle dire une telle chose ??? Je l'ai fait prospérer !!!! Je suis le PDG du groupe AMS. Je suis le prince de cet groupe. Emma : excusez moi monsieur Jehovani ne répondait pas. La jeune demoiselle incita encore. Excusez moi monsieur. Jehovani : Quoi ???? Qu'est ce que tu veux toi ??? Emma : euhhhh rien d'important. Est ce ici la maison de madame Marthe AMS ??? Jehovani : oui et toi qui es tu ?? Emma : mon nom est Emma Diaz Je suis dessinatrice. J'ai été invité par Madame Marthe AMS. Êtes vous son majordome ?? Jehovani : pardon !!!! Emma : je demandais si vous étiez son majordome........ Au même moment sa joue retentit : sphlasssssssssshhhhhhhhhhhhhh Emma : mais vous m'avez giflé ???? Dit elle complètement par terre Jehovani : oui et je n'hésiterai pas à le faire encore sale microbe des égouts. Elle osé me comparer à un majordome !!!!!! Imbécile !!!! La jeune femme se relève le plus vite possible dans l'intention de répondre à son tour par une gifle mais jehovani l'a bloque dans son élan. La jeune fille perdit l'équilibre et tient la chemise de jehovani pour ne pas tomber mais malheureusement, les deux se retrouvent parterre . L'un sur l'autre. Emma : poussez de là j'arrive plus à respirer avec votre poids !!!!!! Jehovani : tant mieux car je ne vais pas bouger . La jeune fille leva encore là main mais se fait encore bloquer par jehovani. Tu dois vraiment être bête pour croire que tu pourras me toucher . Emma : mais t'es qui au juste ??? Marthe : un petit sourire pour la caméra haha haha. Jehovani : grand mère ??? Marthe les prend en photo. Marthe : Carl , thérèsa je vous présente Monsieur et Madame AMS. Ps : ça commence très très chaud ????? Je sens qu'on va bien s'amuser