chapitre 3
Quand elle se réveille 30 minutes plus tard, elle sent une délicieuse odeur de crêpes et de gaufres.
- Bonjour. Me dit-elle.
- Bonjour. Tu as bien dormi ma belle ?
- Oui, merveilleusement bien grâce à toi, merci.
Je m'approche d'elle, la prends dans mes bras avant de l'embrasser.
- Et ton bras, ça va ? Me demande-t-elle.
- Bien, je ne sens plus rien.
- Je vais te changer ton pansement, et j'irais chez moi pour me changer.
Lita part à la salle de bain chercher la trousse de secours, et je réfléchis à ce que l'on pourrait faire ce week-end.
En enlevant le bandage qu'elle m'a fait hier, nous restons tous les deux sur le cul. Il n'y a plus rien, aucune trace. C'est comme si rien d'hier n'était arrivé... Vraiment bizarre.
Je décide de changer de sujet avec Litany, et je lui propose d'aller faire une activité sportive pour nous mettre en appétit et profiter du beau soleil. Elle me rejoint une heure après.
Un peu plus tard...
Quand elle me retrouve après être passée chez elle, je la trouve encore plus belle, elle s'est vêtue d'un simple débardeur et d'un petit short, attention les yeux.
Au programme, un petit footing tranquille suivi d'une après-midi spa, histoire de bien se détendre avant de reprendre le boulot lundi matin.
Lundi...
Le week-end étant passé à une vitesse folle, nous voilà lundi matin. Nous avons vraiment passé un super week-end sensuel, doux et sans prise de tête. Je me suis rapproché de Litany, pour mon plus grand plaisir.
Lundi matin, de retour à la vie réelle.
Arrivé au boulot, je salue mes collègues de travail et rejoins mes deux compères et amis.
- Alors, ce week-end s'est bien passé mon pote ? Me demande Pyt, avec un grand sourire aux lèvres.
- Très bien, je dois dire. Et vous ?
- Au top de chez top pour moi, je suis tombé sur une petite minette après avoir raccompagné Billy, un pur canon.
- Non mais sérieux.
- Arrête-le ! Depuis ce matin, il n'arrête pas avec cette fille, elle lui a retourné le cerveau ! Il me saoule, et mes oreilles n'en peuvent plus ! Ajoute Billy.
Sur le coup je suis mort de rire, et mon fou rire est réciproque car sa part en rire collectif.
- Allez, fini de rire. Y a du travail. Nous dit Éric, le patron de l'agence pour qui nous travaillons.
- Oui chef. Nous répondons tous en cœur.
Je regarde donc pour quelle publicité je dois faire des photos, et file en cabine pour me changer.
La publicité proposée aujourd'hui est pour des maillots de bain et de la crème solaire normale. Vue la météo, me direz-vous, ce qui me plaît assez ?
Quand je sors de la cabine, une charmante employée me passe de l'huile sur le corps, pour faire ressortir mes muscles. Et c'est parti à 1 h 30 de shooting.
- Une petite pause déjeuner et on s'y remet. Nous dit Billy.
- Avec grand plaisir. Je meurs de faim.
- Tu as toujours faim. Me dit Pyt, ce qui n'est pas faux.