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Chapitre 4

4

CHRISTIANA NGOY

j'étais sortie de l'hôpital mal en point. je me débrouillerai comme je peux pour me sortir de cette situation. j'avais très mal au bras et a la tête mais je devais partir.

- MERDE REGARDÉ LÀ OÙ VOUS METTEZ LES PIEDS BON SANG.

Moi : je suis désolé, je suis désolé !

j'arrêtais pas de trébucher, je faisais le mieux que je pouvais pour me dégager de la route.

de l'autre côté l'homme en question était James et sa sœur...ils sont venues à l'hôpital pour voir leurs belles sœurs qui a été admise ce matin.

Mia : du calme mon cœur, elle a l'air malade.

James : qu'elle reste chez elle putainnn... j'ai un fils de trois ans et c'est pas en prison que je vais l'élever.

Mia soupir : t'inquiètes pas, tu as bien fait de t' écarté et la sauver.

Chris ne tenait plus, sa tête chauffait. elle s'est assise au coin de la rue en pleurant chaudement.

James : qu'est-ce que tu fais ? d'où tu pars comme ça ?

Philippe : tu l'as pas vu ?

Mia : voir qui ?

Philippe : Chris !

James : qu'elle Chris ? comment elle va Annabelle ?

Philippe regardait partout, il comprenait pas pourquoi elle avait fait ça... d'abord elle a demandé son aide et maintenant elle est partie.

elle a expliqué le problème a ses neuves

Mia : on vient de la voir juste là, ont failli la percuté.

Philippe : mon Dieu, James vas-y aide moi à trouver cette fille. elle va mal et si je ne fais rien elle risque de mourir.

James : merde, a croire qu'elle veux que je l'aide cette folle. elle veux pas rester tranquille cette petite.

Mia : s'il te plait, vas-y !

James : bon c'est juste pour toi mon amour... juste pour toi.

ils ont traversé la route à la recherche de son patient. son téléphone a sonné, il a regarder et n'a pas voulu décroché.

Philippe : c'est sont mari, j'aurai des graves problèmes s'il apprend ce qui se passe.

James : son mari ?

Philippe : oui!

James comprenais rien, la servante avait donc menti se dit-il.

James : mais pourquoi ? pourquoi elle m'avait menti ?

Philippe : c'est mieux qu'on se sépare, va de l'avant et j'irai voir de l'autre côté.

il a hoché la tête, James regardait partout. cette femme était devenu un mystère pour lui, comment ça fait qu'elle soit toujours en danger et c'est toujours lui qui veut l'aider ?

James décrochant : alors ? tu l'as vu ?

Philippe : non, je pense qu'elle est partie...je ne veux vraiment pas avoir de problème avec cet homme. elle voulait mon aide mais qu'est ce qu'elle me fait comme ça ?

James : tu n'as pas besoin d'avoir peur de qui que ce soit, on s'en fout qu'elle soit parti c'est pas ta faute ok?

il a racrocher en tournant vers l'autre ruelle. et la, il l'a voit assise par terre en train de pleurer.

James : te voir seulement comme ça me donne envie de te giflé, prie que Philippe n'ai pas de problème par ta faute sinon je veux t'enterrée vivante.

Chris : je suis désolé !

James : la ferme ! ferme ta gueule putainnn...si tu veux mourir vas-y chez ton mari au lieu d'embêter les autres.

elle baissant la tête, en dehors de son père tout le monde pensent qu'elle ne vaut rien et veux toujours faire du mal aux autres.

Chris : vous pouvez me laisser tranquille, je ne vous ai rien demandé.

James : ah mademoiselle a encore la grande gueule, super si j'aide encore quelqu'un dans cette vie, ce que c'est mes frères.

James s'est retourné, il partait déjà lorsqu'il a entendu quelque chose tomber par terre.

James : merde dit-il en s'approchant d'elle.... tu es vraiment une folle.

il l'a porterent jusqu'à l'hôpital...il a appelé Philippe qui est arrivé en courant.

James : d'où tu l'as encore trouver celle là ? c'est une vraie imbéciles en plus c'est une ingrate.

Philippe : c'est une longue histoire, je t'expliquerai plus tard pour l'instant Merci... beaucoup.

il n'a rien dit, il est parti voir ses frères dans l'autre chambre.

Mia : alors !

James : on l'a retrouvé, elle est avec Philippe.

Mia : Dieu merci, j'ai de la peine pour cette petite.

Rayan : de quoi vous parlez !

Mia leur raconte ce qui s'était passé, comme toujours c'est moi que mes frères emmerde.

Abel : vous pensez la même chose que moi j'espère ?

Kenny : ouais !

Rayan : oui oui

James : eh ce quoi? de quoi vous parlez ?

Zeyneb : il faut mettre en place, un vrai plan !

Emma : j'ai déjà des idées, n'oubliez pas que c'est moi la coach de la famille.

nous rions ensemble, je ne sais pas de quoi ils parlent mais ils sont tous fous...tout le monde le sait.

Annabelle : arrêté ok? vous mettez mal à l'aise mon chéri sniff sniff

James : pleure pas mon cœur, tu es là meilleure de la famille. pas comme les autres là

Abel : c'est pas pour ton mari que tu pleure mais pour cet individu, cet homme sans cœur que tu verses des larme ?

James : ne soit pas jaloux ok? c'est pas pour rien je suis le plus beau de la famille.

Zeyneb : mensonge, honey est plus beau que vous tous !

- madame, monsieur...s'il vous plait un peu de silence je vous prie. c'est un hôpital ici, s'il vous plait.

est ce que mes frères écoutent même ? Annabelle avait un peu mal mais la voilà toute souriante et dans les bras de son mari entrain de rire. même son lit est occupée par nous.

Annabelle : j'ai hâte de rentrer à la maison, je suis fatiguée de rester dans cette chambre.

Emma : on comprend mon cœur, si tu veux on peut rester avec toi hein ?

Abel : et non, rentrer avec vos maris...je vais bien m'occuper d'elle.

James : espèces de jaloux !

Abel : on a parle lorsque tu vas te trouver une femme, imbéciles !

nous sommes rentrés à la maison, de toute la nuit j'ai pas arrêté de penser à cette fille.

je n'arrivais pas à trouver le sommeil alors je suis sortie, j'ai pris ma voiture et c'est a l'hôpital que je suis arrivé. c'est idiot ce que je fais mais je devais la voir. savoir pourquoi.

James : pourquoi ? merde.

je faisais en sorte que personne remarque ma présence surtout pas Philippe sinon je serai foutu.

Abel : Jéjé ?

je sursaute mais reste comme ça sans me retourner.

ma vie est complètement gâcher.

Abel : je sais que c'est toi, retourne toi... qu'est-ce que tu fais ici ? et en plein nuit ?

pourquoi seigneur ! pourquoi ça n'arrive qu'à moi?

Moi me retournant : salut !

Abel croisant les bras : qu'est-ce que tu fais ici ?

Moi : je suis venu te voir, j'ai un truc important a te dire.

Abel : pourquoi je ne te crois ?

Moi : bon d'accord, d'accord...je suis venu voir cette fille.

Abel : pourquoi ?

Moi : pourquoi comment ?

Abel : t'es bête ou tu le fais exprès ? je vais jamais te laisser partir sans explication tu le sais bien.

Moi me passant la main sur le visage : je sais !

Abel : j'écoute!

je regardais partout, un endroit pour fuire lorsque j'ai vu Philippe s'approcher alors j'ai commencé à courir.

Abel : IMBÉCILES !

je ne savais pas dans quel chambre elle était donc je me suis mise à ouvrir toute les portes.

Moi: je suis désolé madame, excuses moi.

comment elle s'appelait déjà ? j'ai oublié... peu importe au moins je connais son visage.

- excusé moi monsieur, vous cherchez la femme que vous avez amener ce matin ?

Moi : ouais, je peu la voir ?

- bien-sûr, suivez moi.

je suis soulagée, au moins comme ça je serai plus obligé d'ouvrir toute les chambres.

- c'est ici

Moi : merci !

elle m'a souri et elle est partie...je suis restée quelque seconde à me demander si j'étais obligé d'être ici.

Moi : oh.... excusé moi monsieur. je reviendrai plus tard.

- j'avais donné l'ordre de pas entré dans cette chambre.

la peste, elle se faisait sauté dessus sur un lit d'hôpital... à croire qu'elle s'en fout de son état.

- sortez d'ici, tout de suite !

il me regarde comme si j'allais me barrer de cette endroit juste pour lui faire plaisir.

La Folle : partez, s'il vous plait partez!

j'ai eu un décharge sur mon cœur, sa voix était très dure et briser en même temps.

La Folle : s'il vous plait.

Moi : vous savez que c'est interdit de faire ce que vous faites monsieur, votre femme est dans un salle état et vous êtes là a profité d'elle.

- qui es-tu pour te mêler de mes affaires ?

La Folle : s'il te plait, laisse le tranquille... laisse le partir.

Moi : la ferme toi, j'ai pas besoin de ton aide ok? je peu me défendre tout seul... c'est pas ce vieux père qui va me faire peur.

- pardon ? c'est moi que vous traitez de vieux père ? VOUS SAVEZ QUI JE SUIS ? ATTEND VOIR CE QUE JE VAIS TE FAIRE

MOI : ESSAYÉ UN PEU POUR VOIR, SI C'EST PAS A LA MORGUE QUE TU VEUX PAS TE RETROUVER. TU N'AS PAS HONTE ? SÉRIEUSEMENT ?

- DONC C'EST AVEC CE PETIT VOYOU QUE TU ME TROMPE?

La Folle : s'il te plait Papa, laisse le tranquille je t'en prie...il...il n'a rien à voir avec moi.

Moi : quoi?

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