chapitre 5
Plus la jeune femme racontait sa vie,plus Mohamed s'en voulait et regrettait de l'avoir traité comme il l'avait fait.Quand il l'a regardait il voyait une femme qui était à bout de sa vie et fatigué de lutter,jamais il n'avait imaginée qu'une si belle femme n'était pas scolarisée surtout qu'elle avait une intelligence débordante.
Et cet homme qui lui avait servir de mari dans le passé était vraiment un lâche il avait pour lui une femme et deux petites filles mais les avait rejeté ,il lui fera payer tout.
- Je vous jure que c'était pour la sécurité de mes enfants que j'ai voulu prendre ses bijoux sinon Franc allait les tuer ,il était capable de tout car il est un monstre ,un brigand sa coeur.
Mohammed se contentait juste de regarder la jeune américaine qui essayait de le convaincre de son innocence et il se rendit compte qu'elle aimait beaucoup ses enfants.
- Tout ce que je veux est que mes filles ne vivent pas ce que j'ai vécu raison pour laquelle je faisait tout pour qu'elles aient une vie meilleure,je voudrais qu'elles aillent à l'école,qu'elle ne manque de rien qu'elle....
Prise d'un sentiment inconnu il se rapprochait d'elle et l'a forçait à le regarder dans les yeux.
- Je vous promets de vous ramener vos enfants saines et sauves,faites moi confiance déclare t'il avec force et conviction en l'a coupant la parole.
Elle hochait de la tête pour lui dire oui.
- Calmez vous , mangez un peu ,et dormez ,je vous promets que demain vous verrez vos enfants.
- Merci beaucoup votre altesse ,je n'aurais pas dû fait éffraction dans votre bureau seulement je n'avais pas le choix,je ne connaissais personne et je ne savais vers qui me tourner.
Si vous voulez je pourrais faire le ménage pour....
- Assez Crit t'il fermement .
La jeune femme hoqueta face à son Crit ,il en avait assez croyait t'elle qu'elle ne méritait pas d'être heureuse ?se demandait t'il intérieurement.
- Vous en aviez assez dit si vous vouliez revoir vos filles reprenez des forces ,vous ne vouliez quand même pas qu'elles viennent vous voir dans cet état ?
Elle remuait la tête pour dire non et satisfaire le cheikh se releva de toute sa hauteur et l'incitait à manger ce qu'elle fit avec des mouvements lents.
Elle était vraiment une femme battante qui avait beaucoup souffert dans sa vie,la vie n'avait pas été tendre avec elle tout comme lui de son côté.
Sans ajouter un mort il sortit de la pièce d'un pas précipiter.
Une fois dans son bureau il vit Hassan qui l'attendait déjà alors il lui dit :
-Hassan prépare le jet privé ,nous allons nous rendre aux Etats Unis , j'irai régler le compte de ce minable de Franc et récupérer les enfants.
- Entendu votre majesté.
- Toutes les valises sont prêt?
- Oui monsieur.
Franc Jetta un dernier coup d'œil à l'appartement avant de mettre le feu ,avec ses filles dedans ,il s'en foutait carrément de leur vie.
- Patron ce ne serait pas mieux que vous les laissiez dans un orphelinat ?
Il Jetta un coup d'œil à son employé en riant .
- Non je les veux mortes répondit t'il le regard monstrueux.
Eh oui elles peuvent crevé il allait se rendre au Canada pour vivre une nouvelle vie et pour aggrandir encore plus son business de vol et autres car en ce moment cette pétasse de Carla l'aurait déjà vendu et le cheikh sera déjà probablement à ses trousses alors vaudrait mieux qu'il disparaisse.
- En route nous n'avions plus rien à faire ici.
Sur ce il s'installait avec ses hommes dans une voiture direction l'aéroport.
À peine avait t'il démarré que la voiture du cheikh venait de garée devant l'appartement qui brûlait.
Dès que Mohammed vit le feu il descendit précipitamment de la voiture et était choqué par ce qu'il voyait.
- Hassan que voudrais dire tout cela?
- Votre Altesse je crois qu'il s'est enfuie maintenant la question est de savoir si il avait amené les enfants ou pas?
Mohammed commençait par regarder un peu partout à la recherche d'un indice mais rien , l'appartement était dans un lieu un peu éloigné alors personne n'avait remarqué l'incendie.
- Hassan appel nos hommes,qu'ils me cherche ce fumier il ne serait pas loin,qu'on me le cherche dans les aéroports , n'importe où mais qu'on me le trouve.
Son conseiller se déplaçait pour effectuer l'appel et lui même ne faisait que tourné en rond,il ne pouvait pas l'échappé,en plus il voulait tenir sa promesse ,il ne pouvait pas rentrer sans les enfants.
Quelques minutes après il entendit des cris venant de l'appartement on dirait que les personnes étaient derrière la porte entrain de frapper cette dernière.
Son sang fit un tout quand il se rendit compte qu'il s'agissait des enfants ,Allah comment ce chien avait t'il osé mettre le feu à la maison ses propres enfants à l'intérieur ?
Sans plus attendre il se dirigeait vers la porte malgré les appels de son conseiller il défonçait la porte et vit deux petites filles toutes en pleure qui le fixait les yeux rouges.
Le feu commençait par s'étendre un peu partout et la fumée commençait par se propagé un peu partout ce qui entraînait la toux chez les enfants.
Mohammed s'accroupit écartait les bras et incitait les enfants à ce réfugier dans ses bras.
Elles se regardaient une seconde un peu comme pour se concerter avant de courir ensemble dans ses bras.
Automatiquement il ressentir un sentiment de puissance et de paix,ses petites étaient des âmes innocente,il les couvrir de sa veste et sortit de la maison à temps avant que tout ne s'effondre.
Une fois au dehors il fit descendre les enfants qui le prit encore une fois dans ses bras,plus il les regardait plus il vit qu'elles ressemblaient énormément à leur mère seulement à 5 ans elles étaient très belles et possédaient des cheveux très longs.
- Merci beaucoup monsieur,vous nous aviez sauver la vie dit une d'entre elle.
Pendant ce temps l'autre se contentait de toucher son visage avec ses petites mains.
- Tu est blessé?lui demandait l'autre.
Mohammed ne savait plus quoi faire ,il était vraiment perdu entre ses deux merveilles ,alors il se contentait juste de leur caressé la joue .
- Vous vous appeler comment ?
- Moi je m'appelle Mariella et elle Marielle dit une d'entre elle souriante .
- Et toi notre sauveur ?tu t'appelles comment ?
- Je suis le cheikh Mohammed.
Elles ouvrent toutes les deux la bouche stupéfaite et en riant .
- Oh donc nous sommes tes princesses demanda Marielle.
Mohamed les gratifiait d'un sourire pour la première fois de toute sa vie.
- Je vous amène voir votre maman.
Immédiatement leur visage commençaient par brillés,et elles commençaient par sautiller malgré leur fatigue.
- C'est vrai ?
Il hochait de la tête pour leur dire oui et elles tombaient dans ses bras toutes heureuse.Il les serrait très fort tout en se promettant de retrouver Franc où qu'il soit...