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Chapitre 2

Il lui dit qu'elle n'était pas punie mais qu'il s'agissait d'un "exercice" d'obéissance qu'ils ne pouvaient pas tous accomplir, il tapota légèrement la main de la jeune fille, lui sourit gentiment en la remerciant de sa sollicitude et s'en alla poursuivre ses tâches....

Quelques nuits plus tard, ma curiosité m'a conduit à la plus "hilarante" des surprises...

Ce soir-là, alors que je sortais à nouveau avant la garde de nuit, j'ai de nouveau entendu ces gémissements....

J'ai été surprise oui, surtout parce que je venais de croiser Sœur Sun en sortant de la salle à manger où j'étais allée chercher un verre d'eau parce que j'avais très soif.

J'ai été surprise d'entendre que quelqu'un d'autre était puni... même si, selon Sœur Soledad, ce n'était pas une punition, ces gémissements et ces gémissements y ressemblaient pour moi....

En tant que curieuse perdue que je suis et sachant l'endroit exact d'où ils venaient .... Je me suis approché en regardant partout pour m'assurer que l'endroit était seul et qu'aucun rôdeur ne viendrait me surprendre dans un acte aussi audacieux que celui d'épier derrière les portes.... J'étais alors certain d'être le prochain à être puni.

C'est l'une des choses les plus "bizarres" qui me soient jamais arrivées, pour ainsi dire... La scène que j'ai vue ressemblait plus à quelque chose sorti d'un des livres wattpad que j'avais l'habitude de lire avec mes amis en se faufilant en classe quand j'étais encore "libre".

Eh bien, quand je me suis approchée suffisamment pour poser ma joue contre la porte comme l'autre fois pour mieux entendre et savoir de qui il s'agissait cette fois..... A ma grande surprise, la porte cette fois était ouverte et si j'avais mis mes mains pour peser dessus et m'approcher comme ce jour-là, je me serais sûrement retrouvée face au sol et j'aurais été découverte..... Dieu merci, je ne l'ai pas fait. Cependant, lorsque j'ai touché la porte avec mon visage, elle s'est ouverte suffisamment pour me permettre de voir tout le panorama intérieur sans être trop visible et d'observer en détail tout ce qui s'y passait :

Devant mon regard étonné et stupéfait se trouvait la mère supérieure presque nue, vêtue seulement d'un corset en cuir qui couvrait ses hanches jusqu'au bas de ses seins..... Qui, soit dit en passant, sont étonnamment fermes. Elle était debout contre un mur et ses mains étaient retenues par des sortes de menottes en cuir noir... comme si cela ne suffisait pas, sur ses gros tétons sombres se trouvaient deux petites pinces attachées à une petite chaîne.... Devant elle se trouvait le père Léonard, torse nu et vêtu d'un pyjama noir qui mettait en valeur son dos défini et visiblement travaillé qui ressemblait plus à un sportif ou à un mannequin qu'à un prêtre..... Il tira la petite chaîne avec des pinces après lui avoir murmuré quelque chose et elle ne répondit pas et lui frappa doucement l'entrejambe avec une sorte de fouet avec de nombreux rubans de cuir foncé, elle gémit un peu plus fort et il mit son doigt entre ses lèvres en secouant la tête tandis que d'une table il prit quelque chose comme une sorte de bâillon avec une petite boule noire et le lui mit l'empêchant de faire beaucoup de bruits ou de parler.... Il a ensuite soulevé l'une de ses jambes et l'a pénétrée avec un gode d'une longueur et d'une épaisseur considérables, ce qui l'a fait se cambrer ... Il a fait cela pendant quelques minutes et lorsqu'elle a commencé à bouger ses hanches à la recherche de plus de plaisir, il l'a encore empêchée de le faire et lui a donné une fessée retentissante. Il a baissé sa jambe et lui a lâché les mains.

Il l'a guidée jusqu'à la table rustique en bois où il y avait une myriade d'objets que je ne pouvais pas bien voir de là où j'étais... puis il l'a retournée face à la table et l'a penchée vers l'avant ..... Il lui a de nouveau attaché les mains mais maintenant derrière son dos avec un mouchoir et a fait glisser les chaînes à pinces qui étaient toujours sur ses tétons sous ses bras vers l'arrière...il a dénoué le cordon de son pyjama le laissant tomber entre ses jambes et moi me donnant une vue glorieuse de son cul arrondi parfait puisqu'elles étaient tournées à l'opposé de la porte........

Il s'est approché d'elle et l'a plaquée contre la table d'une seule poussée, la faisant haleter à travers le bâillon.

C'est alors que j'ai compris... Ce n'était pas des gémissements de douleur, mais des gémissements de plaisir...

À ce moment-là, la température de mon corps avait augmenté de quelques degrés...

Je ne savais pas quand, mais j'avais mis ma main sous ma robe et j'avais commencé à me toucher... plus le temps passait, plus la moiteur de mes doigts augmentait et c'était dû à cette scène dont mes yeux étaient témoins....

A presque mon âge et étant ce que je suis... il est évident que je ne suis plus vierge mais depuis les mois que je suis au couvent, j'avais oublié le sexe. Le père Léonard resta immobile en elle pendant quelques secondes et lui caressa le dos avec l'étrange fouet avant de le relâcher à nouveau. Il lui a donné deux grandes claques sur les fesses et a murmuré quelque chose à laquelle elle a répondu non en secouant la tête. Il a dit autre chose et elle a hoché lentement la tête. Il prit les chaînes et tira à nouveau dessus et elle gémit en secouant la tête. Ces sons lascifs et le spectacle qui s'offrait à moi alors que je le regardais bouger en elle et que son corps se tendait à mesure qu'il entrait et sortait m'ont rendu fou... J'ai commencé à bouger mes doigts plus rapidement jusqu'à ce que je me laisse aller et que je ferme les yeux avec l'un des orgasmes les plus délicieux que j'ai jamais eus en me masturbant. Tellement délicieux que pendant une seconde, j'ai oublié où j'étais et la situation et j'ai laissé échapper un gémissement.

Je pense que le père l'a entendu car il s'est arrêté instantanément et je ne sais pas comment mais encore tremblante et en sueur j'ai réussi à m'arracher à la porte et à courir vers ma chambre derrière les jardins jusqu'à mon couloir...l'obscurité pour une fois a été une parfaite complice de ma fuite et quand je suis arrivée, j'ai fermé et je me suis laissée tomber sur le lit où j'ai enfin réussi à libérer l'air dans mes poumons...mon esprit n'arrivait pas à croire ce qui s'était passé.....

J'ai pris ma serviette ainsi que mes affaires de toilette et je suis allée prendre un bain..... Lorsque je suis revenue, je me suis mise au lit avec tant de pensées folles....

Et accompagné par elles, je me suis endormi....

Oh mon Dieu ! Qu'est-ce que c'était ? Est-ce que j'ai rêvé ? C'est possible... mais un rêve aussi vivant ! !! Je commence vraiment à penser que je deviens folle avec tant d'abstinence et que je commence à imaginer des choses... J'ai passé toute la matinée distraite à penser à l'image érotique du père Léonard en train de bouger.... I could not concentrate... I could only watch the movement of his lips as he spoke and how he unconsciously ran his tongue over his lips to moisten them after speaking... I swear I had never noticed that detail... nor his voice... his accent is deep and grave when he speaks, so manly... I looked around at the novices and sisters, they all listened attentively to every word he said... The mother superior kept a close eye on the novices and the sisters, they all listened attentively to every word he said... The mother superior kept a close eye on the novices and the sisters, they all listened attentively to every word he said... The mother superior kept a close eye on the novices and the sisters, they all listened attentively to every word he said... The mother superior kept a close eye on the novices and the sisters.

La mère supérieure a gardé le regard baissé pendant tout l'office... en fait pendant tout le temps qu'il a duré, je ne l'ai pas vu regarder directement le père, même une fois quand elle regardait dans sa direction, et c'était très souvent. La revoir dans un habit aussi sobre et dissimulateur après avoir vu les grains de beauté les plus cachés et dans une situation qui n'était pas religieuse mais assez excitante..... Uff rien que de m'en souvenir ça me donne chaud... qui la verrait ici si réservée mais comme elle jouit le plus damné....

J'étais totalement perdue dans mes pensées sales et excitantes jusqu'à ce qu'une voix légèrement altérée me fasse sursauter pour me remettre à ma place.

- Rossy ! C'est à toi que je parle, pour l'amour de Dieu jeune fille, où as-tu la tête ? Je te disais que tu dois aider sœur Marie à faire venir du village de la nourriture et des provisions, nous avons déjà le garde-manger à un niveau critique. Va te préparer, tu dois partir tout de suite, tu m'as entendue ? ! -

-Oui, mère supérieure, j'arrive tout de suite - J'étais tellement pleine d'air et de pensées pas du tout innocentes que je n'ai même pas remarqué quand l'office s'est terminé et que la mère est venue à mes côtés... tout le monde avait quitté la chapelle et il ne restait plus que sœur Katerina, sœur Raquel, sœur Marie, le père Léonard, la mère supérieure et moi dans la chapelle.....

- Mère supérieure ... mes excuses, pourriez-vous venir un moment, je dois vous communiquer quelque chose d'important - je serai avec vous dans un moment père, je donne un message.

- Je serai avec toi dans un moment père, je donne quelques instructions aux sœurs qui doivent aller au village pour quelque chose, as-tu besoin de quelque chose ? Alors elles pourraient te rendre service et te l'apporter. -

Quoi ? ! !!! Je viens d'entendre la mère supérieure s'expliquer et être condescendante avec quelqu'un ? Et après ? Est-ce qu'il va pleuvoir des crapauds ?

- Non, mère, merci beaucoup. La chapelle a toutes ses fournitures à jour et les bougies que j'ai commandées sont arrivées hier matin. L'évêque m'a envoyé une hostie, du vin de consécration et suffisamment d'huile pour au moins deux mois. Et personnellement, je me porte bien, merci beaucoup.

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