Chapitres 6: La Pires Des Nouvelle

Il m'embrasse passionnément et tendrement, tout mon corps frissonnait comme si lui et moi sommes faits l'un de l'autre, j'ouvre grandement les yeux puis je le fixe.

Il se lève du lit et immédiatement je regarde sont bosseur qui est bien tendu et bien dure dans son caleçon de marque GG, il affiche un sourire et revient s'asseoir prêt de moi je prends le draps pour couvrir mon corps qui était exposé et je ferme les yeux face à ce corps d'athlète.

Il souffle de l'air sur mon visage que j'ouvre.

_ Nihad : bonjour Aliya Touré, comment était ta nuit ? Ooh laisse moi deviner ! Ta nuit a été merveilleuse parce que le lit à été très confortable, j'imagine que tu n'as jamais dormi sur de tels matelas ?

Quoi !!? Mais il vient de m'insulter celui là! Je ne dis puis je touche ma tête je vois qu'il n'y a plus de voile , je commence à la chercher , il se retourne encore vers moi et dit.

_ j'ai enlevé le voile pour voir les cheveux de ma femme, au passage tu as de très beaux cheveux en plus d'être longue et noir. Humm j'imagine que tu ressembles à ton grand-père.

Je ne bip pas mots, je le regardais comme s'il parlait à une soude muée, alors il continue.

_ Nihad : ne me regarde pas comme ça, apprend à dire merci quand quelqu'un te fais des compliments.

Je vois qu'il commence à s'énerver, je lui demande gentiment.

_ Najib où comment tu t'appelles déjà ? Il écarquille les yeux sur moi.

_ Oui je ne maîtrise pas ton nom alors je suis désolé, mais j'aimerais que tu me laisses seul et désormais quand je mettrai mon voile ne t'avise plus de l'enlever j'espère que j'ai été claire. Aller maintenant tu dois sortir je veux prendre une douche avant de faire le petit déjeuner.

Il était tellement en colère, mais moi je n'ai rien à foutre avec son visage serré.

Je le pousse jusqu'à la porte, une fois devant la porte ; je l'ai fermé à double clé. C'est vrai j'ai accepté le mariage mais pas l'amour de ma vie, je rentre sous la douche.

**** Nihad ****

Aaaaah cette petite va me rendre fou , attendez, attendez, moi et ma maison elle me fait sortir de notre chambre simplement parce que mademoiselle veut se doucher.

Toute la nuit j'ai veillé sur elle, cette fille je ne l'aime pas du tout mais comment expliquer c'est frissons en un simple contact avec elle.

Elle est tellement belle, on dirait la lumière qui illumine le jour avec les yeux verts et les cheveux longs, je sens une forte force en elle mais malgré tout ceci je l'aime pas du tout.

Je suis dans le jardin concentrer sur mon ordinateur, je devrais finir quelques dossiers avant que nous ne prenons départ pour le Mali demain, tellement concentré que mon téléphone sonne et je me suis même pas rendu compte, c'est lorsque ma femme vient me tapoter que j'ai vue le téléphone entrain de sonné à nouveau.

_ Aliya : Najib le téléphone sonne depuis des minutes.

Cette fille est vraiment folle, mon nom est Nihad mais elle m'appel Najib.

_ je m'appelle Nihad et non Najib, combien de fois dois-je te le répéter Aliya.

Dis-je en haussant le ton.

_ Aliya : OK ! OK ! Tu n'avais pas besoin de crier sur moi monsieur Nihad Traoré, je ne suis pas ton enfant après tout. Le petit déjeuner est prêt si tu finis viens manger.

Elle se retourne pour partir lorsque je l'attrape pas la taille et la colle contre moi, cette fille est vraiment sauvage, il lui faut une bonne correction.

Je m'approche de moi .

_ je te montrerai comment il faudrait parler au plus âgé désormais.

Elle avait peur du sort que je lui réservais et commença à frissonner comme une petite fille qu'on voulait frapper, elle n'arrivait même plus à parler, c'était les larmes qui sortaient à la place des mots.

Je l'a tiré à l'intérieur sous le regard des gardes du corps et des employés de la maison et j'ordonne à elles toute de sortir. À cet instant je ne sais pas ce qu'elle sait imaginer puis elle ne voulait plus marcher, elle essayait du moins de se débattre de moi emprise mais je suis l'homme et l'homme c'est la force.

_ Aliya : s'il te plaît laisse moi tranquille , s'il te plaît Nihad…

Dit elle le visage abîmé par des larmes.

Disons que la prononciation de mon prénom dans sa bouche le plaît bien, je la soulève sur mon épaule jusqu'à la chambre à coucher.

Une fois dans la chambre je l'ai déposé sur le lit tranquillement et je retourne bloquer la porte.

_ alors tu disais quoi déjà dans le jardin ?

_ Aliya : non non non , s'il te plaît ne me fait pas du mal je savais pas ce que je disais, s'il te plaît pardonne Nihad, s'il te plaît.

J'enlève mon tee-shirt et je la regarde elle baisse la tête.

Je monte sur le lit à mon tour, elle recule, je l'attrape et l'embrasse passionnément.

Hahaha je vous ai tellement eu, croyez vous vraiment que j'allais battre cette sauvage fille au nom d'aliya ? Non je ne le ferai jamais sinon ma mère me tue.

Je l'embrasse pendant longtemps, au début elle ne répondait pas à mon baisé mais après elle a aimé.

En ce moment au Mali. Le Jet privé de maman à atterrir, elle descend et va rejoindre le chauffeur qui prend ces affaires.

_ chauffeur : bienvenue madame.

_ mère : Merci Ali, conduis-nous chez mon fils.

Le chauffeur obéit et conduit ma mère jusqu'à mon immeuble.

Le vigile ouvre le portail et le chauffeur roule jusqu'au parking.

Ma mère sortait avec son sac à main et sa tablette iPad. Elle marche jusqu'au salon où Il y avait tout un groupe de femmes.

Elle l'es salut puis demande ma femme.

_ Maman elle est dans la cuisine.

avait dit l'une d'elles.

Alors ma mère commence par crier son nom.

_ mère : Awa ! Awa ! Awa !!

Elle répond en sortant de la cuisine.

_ Awa : oui maman, bienvenue chez moi maman.

Ma mère la méprise du regard et la tchipe .

_ mère : bienvenue chez moi maman !!! C'est chez toi ici ?? Et que font ces choses dans le salon de mon fils ? Ce sont elles qui te conseillent d'avorter les grossesses de mon fils n'est ce pas?

Ma femme était suprise de se que vien de dire ma mère, alors elle décide de demander à mère pourquoi là supçone telle d'avorter nos enfants.

_ Awa : mes maman je n'es jamais avorter d'autant plus que j'ai aussi besoin de faire des enfants avec mon mari, alors pourquoi vais je avorter ?

_ mère : j'ai des preuves de ce que j'avance madame, bref ton mari est où ?

_ Awa : Ah mon chéri est parti en voyage d'affaires pour le Bénin, il sera là dans trois jours.

Dit elle fièrement

Ma mère éclata de rire, les filles ne comprenaient plus rien. Alors ma femme demande les raisons pour laquelle elle rire.

_ mère : pendant que tu est la à faire la femme parfaite du monde et ne rien faire ton mari est entrain.. et son téléphone commence par sonné, elle l'a prend et c'était ma sœur qui l'appelais .

Elle va prendre l'appel et le cœur de Awa commence à battre la chamade. Sa copine lui demande si j'étais vraiment partir en mission, elle confirme que oui et que je ne lui mentirais jamais. L'une d'entre elles dit.

_ Awa j'ai comme l'impression que ton mari te cache quelque chose, tu vois comment les yeux de ta belle maman s'illuminent ? Je suis sur quelle là donner une femme.

Au même moment maman entre et à son tour dit.

_ Et si c'était le cas personne ne vas me taper. Puis Monte a l'étage chercher une chambre pour ma nouvelle femme et redescend quelques minutes plus tard.

Quelques jours plus tard.

Nous voilà enfin dans mon pays, je passe chez maman. En ce qui concerne Aliya ! Je ne l'ai pas touché jusqu'à présent, elle et moi sommes devenus de bonnes amies je la taquine beaucoup taquiné en lui grondant dessus, j'ai compris qu'elle est une très bonne fille qui s'occupe des autres qu' elle même.

Quelques jours passé avec elle était super.

Nous entrons et tout le monde vient prendre Aliya dans les bras, même ma mère n'en parle même pas de mes trois dernières sœurs.

_ Anita : soit les bienvenus ma chérie Aliya. Puis elle l'a prise dans ses bras.

Elle se relâche une minute après et Anita là complémente.

_ waouh tu es très belle Aliya, plus belle que cette Awa qui se croit la plus belle du monde.

Elle sourit timidement et là remercie.

_ bah comme ça je suis devenu invisible n'est ce pas ? Depuis, vous ne faites que complimenter Aliya alors que je suis plus belle qu'elle.

Vous savez que malgré tout ce que je dis personne ne me taillait d'importance, mes sœur amène Aliya à l'étage.

Trois heures plus tard, nous voici dans mon parking.

Je sors Aliya, derrière moi ma mère et mes sœurs également.

Arrivé au salon ils y avait des amis de ma femme. Quand elle me remarque elle se lève et court me prend dans ses bras.

_ Awa : bon retour chez toi chéri.

_ merci chéri.

Je ne la serre pas à mon tour, elle remarque et se détache de moi .

_ Awa : chéri qui ya t'il chéri ? Tu n'es pas content de rentrer !?

Ma sœur vient là poussé la disant qu'elle m'agace trop, ma mère fait entrer Aliya et dit.

_ Awa je te présente Aliya Touré.

Elle l'a ballais du regard de la tête au pied puis dit.

_ Awa : chéri tu m'a amené une nouvelle domestique !? Mais celle-ci est trop grande pour rester avec nous.

_ mère : c'est toi la domestique Awa, Aliya est la seconde femme de mon fils…