Chapitres 1 : La Décision P1
Mère : Aliya ! Aliya !
_ maman j'arrive
Dis-je en répondant depuis ma cabane
_ Mère :ton père t'appelle, viens ma fille.
Je vais rejoindre ma mère et mon père dans notre petit salon construit en banco puis je m'asseoir à leur côté.
_ père me voici
Il regarde ma Mère et lui fait un geste de tête.
_ Mère : Aliya ma fille ! Tu sais que tu n'es plus une petite fille n'est-ce pas ?
Je savais que quand les parents commencent une discussion telle que ma Mère vient de le faire, c'est qu'il veulent t'imposer quelque chose de très compliqué.
Je réponds oui maman.
_ Mère : ma fille tu sais très bien qu'au village les filles de ton âge sont déjà marié, alors que ton père et moi avons décidé que tu ailles plus loin dans tes études et pour ça tu nous remercie à chaque fois.
Je sais où elle veut en venir déjà, mais je ne les laisserai pas faire. Je me suis promis de finir mes études avant le mariage, donc personne ne me fera changer d'avis.
Je renforce le visage en une seconde et je deviens agressif avec mes parents.
_ Maman s'il te plaît ne continue pas cette conversation, je pense t'avoir dit à mille reprises de ne jamais me parler du mariage avant la fin de mes études alors s'il te plaît ne commence pas.
Dis-je catégoriquement.
Je me lève pour partir lorsque mon père se met devant moi .
_ père : écoute moi très bien jeune fille insolente, si jamais tu ose me défier tu va le regretter toute ta vie je te promets.
_ mais … mais père je ne te défie pas je veux juste que tu me laisses terminer mes études avant de me marier de force comme vous savez bien le faire.
Paff… Je viens de recevoir une bonne gifle de la part de mon père.
_ père : que tu le veuilles ou non tu serais marié dans deux semaines.
C'était le dernier mot de mon père , mais ce qu'il oublie est que moi j'ai pas encore dit mon dernier mot, alors qu'il se prépare arrivera à soi disant mari.
Je m'appelle Aliya Touré originaire de Burkina Faso, nous sommes des peul blanc. Je viens d'une famille poligame .
Mon père est un homme poligame, il est marié à quatres femme dont ma Mère Adizathou est la première et la deuxième est Mariama les deux dernières autre son des femmes que je déteste Fati et Latifa.
Je retourne dans ma petite cabane que je partage avec ma petite sœur Rayanath.
Une fois dans la cabane je me jette sur mon matelas en chiffon et je commence à réfléchir à quoi faire et qui étais la personne qui a osé me demander en mariage ? Est-ce je lui ai dit que j'étais prête pour une quelconque relation ?
Trop de questions dans ma tête, dont je ne pourrai jamais avoir des réponses, j'étais toujours dans mes pensées lorsqu'une main me touche l'épaule et je sursaute.
Je me retourne et je vois ma petite sœur qui m'informe qu'elle m'appelait il y a un moment.
_ Que veux tu Rayanath ?
_ Rayanath : je t'appelle depuis des minutes, mais on dirait que tu as fait un voyage en esprit ! Bref Nana m'a demandé de t'appeler.
Puis elle ressort.
Mais que me veux t'elle encore ?
Je me lève pour aller entendre ce qu'elle a, à me dire.
‹‹Nana, en langue peul veux dire maman ››
Dans la cour de la maison je rencontra les deux dernières femme de papa , quant elle me Vu ! Elle commença à parler de moi avec leur enfant en disant que je suis désobéissante envers mon pauvre père et blablabla bla… je ne les fais pas.
Je vais rejoindre ma Mère qui me demande de m'associer à ses côtés.
_ Nana pourquoi ne pouvais tu pas refuser à baba de me marier de force ? Alors que tu m'avais promis de ne jamais accepter que baba prend cola de quelqu'un sans mon consentement ? Nana pourquoi ! Pourquoi? Pourquoi ?
Elle me regarda droit dans les yeux et se leva pour faire face à la porte, les bras croisés sur la poitrine.
_ Nana : je ne peux pas tenir tête à ton père pendant longtemps ma fille, mais je sais que toi tu peux toujours refuser la demande.
Je reste là sans mot , que veut dire ma mère par je pourrais refuser l'offre de mon père ? En tout cas je le saurai.
_ Nana ! Comment puis-je tenir tête à baba ? puis qu'il va jamais me pardonner et d'ailleurs tes coepouse son des mauvaise femme, elle risque de te faire du mal en salissant ton nom.
_ Nana : c'est pas grave ton bonheur avant tout ma princesse, tes petits frères et sœurs, vos bonheur sont mes priorités, maintenant écoute très bien se que je veux te dire.
Je vais regarder par la fenêtre et j'ai supris la quatrième femme de baba Fati qui écoutais notre conversation, j'ai dit à ma mère de me donner quelques secondes.
Puis j'entre dans la chambre de ma mère pour prendre de l'eau bien fraîche dans un petit bassin, je ressors quelques secondes plus tard,je marche sur le point de mes pieds jusqu'au dehors ou je l'avais trouvée coller l'oreille contre le mur entrain de nous espionné.
Mais ces femmes là veulent quoi à ma mère au juste. Sans aucune pitié je renverse l'eau sur elle, elle sursaute et commence par crier pour allaiter les gens de la maison.
_ Fati : au secours ! Venez voir ce que Aliya m'a fait.
Ils sortent tous de leur cabane et s'approchent de nous, sa fille aînée avait dix ans, Comme elle vient voir sa mère dans cette état elle est partie allaité Baba qui était avec ses amis.
Il arrive avec deux de ses amis , sans rien demander il commence à me rouler des cou , je l'ai fait comprendre que je savais pas qu'elle était là. Mais mon père ne m'a pas cru, il continuait de me battre lorsque ma mère vient se coucher sur moi , histoire de ne plus me battre ! mais non il nous bat ma mère et moi toute ensemble.
Ma petite sœur criait et se lamentait, à quoi servait elle de crier et supplié papa puisque ça ne servait à rien.
Il arrête de nous battre lorsqu'il s'est senti fatigué, puis il me dit.
_ Babar : le jour tu osera encore manquer de respect à ta petite mère tu me reconnaîtras plus, prendre juste pour aujourd'hui comme avertissement insolente fille.
Il s'approche de cette stupide femme et la rassure que je ne ferai plus d'une telle chose.
Ma mère et moi retournons à l'intérieur, tout notre corps était méconnaissable, les bleus était trop, surtout moi qui ai blanche de teint.
Je pleurais tellement que ma mère me criait dessus.
_ Nana : que t'arrive t'il hein ? N'es ce pas toi qui est chercher les problème avec la femme de ton père ? Maintenant tu viens pleurnicher comme une petite fille dans ma chambre.
Me balance-t-elle au visage.
_ Nana tu sais bien qu'elle nous espionnait raison pour laquelle je l'ai rendu la monnaie de sa pièce, je ne savais pas que papa allait le prends Mal, Nana je ne voulais pas que tu te mêlais maintenant regarde ce que Babar ta fait, Nana je suis vraiment désolée.
Dis-je en sanglots.
Je peux vous dire que ma mère était intellectuelle , mais après son mariage avec Babar elle avait abandonné tout ce qu'elle faisait Parce que chez nous les peulh.
Une fois marié tu abandonne tout tes projets et tu deviens soumise à ton mari et la belle famille ,tu ne vivras que pour ton mari, mère est une malienne de Rimabent sans oublier qu'elle est une très belle femme , elle à un peau blanche des cheveux bien long et très bien soignée, d'ailleurs c'est à elle nous ressemblons tous.
Après qu' à aménager dans son foyer son père ‹‹ mon grand père maternelle ›› il l'a donné l'argent pour un commerce, c'est de là que Nana vend les palles , les bijoux en or et les Bazin cher.
Comme je viens de vous le dire,ma mère est très riche et elle est classée parmi les premières femmes riches du village.
Vous comprenez pourquoi je ne veux pas que mon père me force la main. Bref,je retourne dans la chambre que je partage avec ma sœur, j'ai mal au corps alors que dans deux jours j'irai à l'examen de BEPC.
J'entre sous la douche et prend une douche fraîche , simple eau versé sur mon corps me pique déjà, je n'es même pas essayer de frotter avec de l'éponge. Je me rince et sort.
J'entends deux voix au dehors, celle de mon père et pour un inconnu.
Je me pommade et opte pour une robe long du couleur jaune qui m'arrive au niveau de la cheville et finir mettre mon petit idjab , je me parfum enfin je suis prête pour prendre mon cahier lorsque ma sœur entre en courant.
_ mais ça va pas où quoi ? Tu veux encore me faire fuir c'est ça?
Elle respire fort avant de dire.
_ Rayanath : tu es assise pendant que ton mariage est programmé dans deux jours seulement, Aliya fait quelque chose sinon papa va détruire notre vie.
Je me lève d'un coup en criant.
_ Quoi !!!?
Cette histoire de mariage forcé veut dire quoi au juste ? Mais l'école nous dit que nous sommes libres de choisir l'homme que nous désirons, car nous sommes aujourd'hui au 21ème siècle et non dans les temps antiques.
Je tournais en rond lorsque ma sœur me dit à nouveau.
_ Rayanath : Aliya tu n'a plus le temps, Babar m'a envoyé t'appeler.
Mais pourquoi m'appel til encore, bon je ne discute pas avec elle, j'met ma chaussure puis nous sortons.
Nous marchons jusqu'à eux, il y avait mon père, mon oncle ‹‹ le grand frère de Babar ›› et maintenant ma future belle famille.
Je les salue tous, il répond avec le sourire aux lèvres. Ce qui était étonnant est qu'il n'y avait pas de jeunes entre eux.
Le plus jeune serait en train d'avoir 42 ans. J'avais un regard noir sur mon père, il le constata pui me demande d'aller amené de l'eau à nos invités.
Je vais chercher de l'eau comme mon altesse là demandé, c'est la j'ai un plan pour faire fuir mon inconnu mari , et si le plan ne marchait pas ? Quel autre plan Verge pratiquer ?
Ma sœur vient me voir à la cuisine toute souriante que j'étais.
Elle balance les devants moi , pour voir si j'allais bien.
_ Rayanath : eeh ooh !! Tu es sûr que tu vas bien !? Pourquoi sourire tu ?
Demande telle étonné
_ j'ai un plan pour mon futur mari.
Je commence par rire, puis nous sortons.
Je l'abaisse pour leur servir l'eau et le vieux de 42 ans me regarde droit dans les yeux, en me levant il pose son pied puis je trébuche malheureusement pour moi il me rattrape avant de me dire.
_ faire attention à Aliya, je ne veux pas que ma beauté se blesse avant le jour de notre mariage ce serait moche.
Attendez, attendez, il vient de dire quoi déjà se porc ? Me marier avec un vieux qui a déjà plus de quatre femmes ??
Hahaha ! Hahaha ! Hahaha commençais-je.
Je me retourne le regardé dégoûté, mais une fois encore je joue le jeu, alors je dis devant eux tous.
_ alhadji donc c'est toi qui serait mon mari , hooo je suis très contente je t'ai toujours aimé tu sais ? En plus d'être un homme beau tu es très riche.
Dis-je pour les convaincre
Et c'est pas fini la comédie, je continue en criant.
_ Nana ! Nana !!
Elle répond, puis je l'a dit de venir voir alhadji donc je l'ai toujours parlé.
Mon père ne comprenait plus rien, il est surpris que je connaissais ce Monsieur qui venait d'un autre village que nous.
Nana sort les saluer quelques minutes plus tard nous retournons à l'intérieur et mère me demande de jouer à quoi?
_ tu as confiance en moi n'est pas ? Elle répond oui je lui ai assuré que je vais gérer son cas .
_ Nana : j'ai confiance en toi mais ne laisse pas que quelqu'un découvre ton plan y compris moi .
Dans la nuit, lorsque tout le monde dormait, je me suis réveillée et j'ai saisi un couteau bien tranchant , j'ouvre doucement la porte puis je me faufile dans celui que mon père a donné à son invité.
Une fois à l'intérieur , je le vois couché comme un porc .
Qu'il est dégoûtant se bâtard .
Je vais consulter les autres chambres et je ne vois personne , alors je retourne où mon futur mari est couché et deviné quoi
Je mets le couteau sur son cou et monte sur lui , il se réveille et veut crier, j'appuie le couteau très fort…
_ shuuuur n'essaye même pas de crier !