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- moi : oui ? Vient t'assoir (je lui donne une chaise et m'assoit face à elle). Ça va, ils t'ont pas trop cassé la tête ?

-Inès : mdrrr non ça va, ils sont adorables. J'aime beaucoup les familles nombreuses, moi je suis fille unique et j'ai pas été élevé « à la rebeu ».

- moi : a bon comment ça se fait ?

-Inès : bah mon père il est français et quand ma mère elle a décidé de se marier avec lui, sa famille ils ont coupé les ponts avec elle. Mais parents ils sont tous les deux dans les affaires et j'habite dans un quartier de riche où y'a que des blancs, sa a rien à voir avec ici.

- moi : ah ouai sa c'est sur sa change. Sinon ta quel âge ?

-Ines : 19 ans et toi ?

- moi : 18 en décembre.

-Inès : ah d'accord. Dis-moi je peux te poser une question ?

-moi : oui vas-y je t'écoute

-inès : t'es amoureuse de Isam ?

Alors là, je m'y attendais pas, je fais un arrêt cardiaque. Qu'est- ce que je peux répondre à sa ?

- moi : ahahahahahahahahah (et oui je rigole), cette question ne mérite pas de réponse ma belle.

Elle sourit.

-inès : en tout cas t'es vraiment très jolie

- moi : mais t'es malade toi t'es vu ? T'es une bombe ma sœur

- inès: mdrrr merci

Et là on commence à parler de nos vies et tout. Vous savez quoi ? Je l'aime beaucoup Inès, c'est une fille bien sa ce voit et je me trompe rarement sur les gens et surtout, le plus important, c'est qu'elle aime vraiment Isam.

On retourne au salon avec les autres et je vais m'assoir à coté de sara

- sara : qu'est-ce que tu penses d'elle ? Moi je l'aime pas trop

- moi : mais arrête elle est trop gentille cette fille, soit pas méchante avec elle (une vraie peste cette petite quand elle veut)

- sara : tssss en tout cas t'es plus belle qu'elle sa c'est sûr

- moi : mdr t'es mignonne. Bon je vais rentrer faut que je révise.

- mama : tu vas réviser quoi même ? Vas-y reste avec nous.

- tata zouira : non laisse là rentrer elle au moins elle travaille, ta fille elle a un bon avenir devant elle, c'est pas comme mes enfants là que des incapables.

- moi : mama faut que je révise mon bac. Allez bisous tout le monde. En me levant, y'a Inès qui me dit :

- Ines : elles sont belles t'es chaussures mdr

- moi : mdr merci.

Je sors de l'appartement et y'a Isam qui me rejoins.

-Isam : alors qu'est-ce que tu penses d'Inès ?

- moi : bah je sais pas c'est ton choix et je la connaît pas je veux pas parler trop vite

- Isam : tant que tu me dira pas concrètement, je serais perdu. J'attends juste ton feu vert. Tu sais Ayssa, si tu me dis de la tèje, je le fait direct c'est toi ma meilleur amie, t'es ma moitié

- moi : oh c'est mignon. Bah écoute lâche là sa sert à rien c une p*** elle t'aime pas en plus.

- Isam : t'es sérieuse là ?

J'aurais bien aimé dire sa (et que ce soit vrai) mais la vérité était tout autre

-moi : non je rigole c'est une perle préserve là et en plus elle est amoureuse de toi donc que demander de plus, sans parler que c'est une frappe. T'es ma moitié, ton bonheur fait le mien et c'est elle ton bonheur.

Il me prend dans ses bras et me sert très fort. Ya Rabbi, je n'ai pas fait preuve d'égoïsme, alors je t'en supplie, enlève-moi cet amour qui se trouve dans mon cœur. Je tremble et il le remarque.

- Isam : pourquoi tu trembles ?

- moi : je sais pas je me sent pas très bien.

- Isam : tu veux que je reste avec toi ?

- moi : ça va pas la tête, y'a Inès et toi tu veux rester avec moi ? Allez va avec elle t'inquiète je suis un bonhomme

-Isam : mdr vas-y toi t'es pas un bonhomme t'es ma princesse et elle passera jamais avant toi

- moi : mdr allez va là-bas avec t'es disquettes sa prend pas avec moi. Vas-y rentre.

- Isam : sale folle. Vas-y je t'appel ce soir

-moi : incha Allah.

Il se dirige vers la porte et là, il me lance un :

- Isam : t'es belle toi aussi

Mais ? Il est sérieux à dire des trucs comme ça ? Tu veux me tuer Isam c'est ça ? Je le calcule pas.

Je rentre chez moi, prie et lit un peu le Coran ; qu'elle merveilleux remède. Mine de rien, cette rencontre a été dure. Non seulement il est tombé sur une fille bien, mais en plus elle est vraiment belle. Comment puis-je rivaliser ?

Wafa m'appel, je parle avec elle, lui raconte et raccroche. Elle est dégoûtée que Isam il a trouvé une copine avec qui c'est sérieux. Pourquoi est-ce qu'ils sont tous là à me dire la même chose, à me le rappelez sans cesse, à remuer le couteau dans la plaie ? C'est pas leur faute je sais, il ne savent pas, mais j'y peut rien, ça m'énerve.

Je vais me coucher tôt ce soir. Demain est un autre jour.