I~ Chapitre 05
_PAGE: ÉROTIQUE+ TV
_TITRE: UN MONDE D'AVENTURES SEXUELLES
_AUTEUR: LOLO
_CHAPITRE 05:
Merde, pensa-t-il, Bénédicte ! Toujours au bord de ses pensées; même ici et maintenant, après tout ce temps.
__Oui, M. M'pong, puis-je vous apporter quelque chose ?
Étonné de la rapidité avec laquelle ils repéraient les noms, il bégaya;
__Eh, oui, un autre Scotch, s'il vous plaît
Elle adressa à Julien son plus beau sourire de pilote de ligne;
__Tout de suite, M. M'pong
Il la regarda s’éloigner. Le balancement de ses hanches était-il plus prononcé ou était-ce
son imagination ? Parfois Bénédicte marchait de cette façon, pensa-t-il.
La chaleur lui emplit les reins, comme toujours quand il pensait à sa sœur de cette façon. Elle faisait partie d’un monde imaginaire d’adolescent; un monde qu’il gardait soigneusement caché, pour être examiné seulement dans l’obscurité de la nuit. Alors que l’hôtesse de l’air apportait son verre, une image fugace du corps nu de Bénédicte lui vint à l’esprit.
Embarrassé et en colère, il croisa les jambes pour cacher son érection grandissante. C’est idiot, pensa-t-il. C’était il y a longtemps. Il n’avait même pas vu Bénédicte depuis plus d’un an. Il aurait dû penser à Marlène Bojito, pas à sa sœur; quelqu’un de réel, pas un fantasme.
Il avala son verre et se força à se concentrer sur Marlène, mais même s’il glissait dans la rêverie, il savait que sa sœur était un fantasme qui serait toujours avec lui.
En effet, pour sa demande de permission au boulot, sa patronne lui demanda;
__Et la faveur, M. M'pong ?
__JULIEN: Mes parents fêtent leur anniversaire ce week-end et ils prévoient une fête de famille. J’aimerais prendre congé demain et prendre l’avion si vous êtes d’accord, bien sûr.
Marlène Bojito fit le tour du bureau et se tint près de lui. Il aperçut une cuisse bronzée alors que le pan de sa jupe s’ouvrait. Ce doit être une première. Un nouvel avocat qui fait preuve de considération pour le cabinet.
N’est-ce pas comme ça que ça se passe ?
Pas habituellement. Les jeunes avocats sont assez arrogants et les faveurs ont toujours un prix.
__JULIEN: Je demande juste un jour de congé.
Elle lui sourit, comme un chat sourit à une souris juste avant de bondir;
__Tout a un prix, M. M'pong.
Marlène s’adossa au bureau, les bras en arrière, les jambes écartées, la jupe tendue; la fente large, les cuisses gainées de nylon apparaissaient.
__JULIEN: Quel est le prix d’un jour de congé, Mlle Bojito ?
Elle fonça sur lui comme un coup de feu. Ses bras le saisirent fermement, ses lèvres couvrirent les siennes durement; sa langue chercha son partenaire, s’enroulant comme un serpent fou. Son corps se moula contre le sien, en quête; en manque.
Les mains de Julien trouvèrent ses seins et son cul serré. Il la tira contre son aine et enfonça sa bite dans le V de son entrejambe.
Elle siffla;
__Bon sang, bon sang ! Tu m’as manqué hier soir.
Sa voix était lourde d’émotion, ses mouvements frénétiques. Elle attrapa sa bite dressée à travers son pantalon et la serra fort.
Julien embrassait ses yeux, son nez, ses lèvres;
__Aïe ! Pourquoi diable es-tu en colère contre moi ? C’est toi qui as dû aller à ce récital de merde
Sa langue traça un parcours humide le long de son cou jusqu’au décolleté de son chemisier en soie.
Elle dit d’une voix rauque de passion;
__Le devoir d’entreprise
Julien grogna;
__Putain de devoir d’entreprise. Je te veux ! Est-ce que cette porte est fermée ?
__MARLÈNE: Je m'en fiche, baise-moi ! Ici ! Maintenant ! Sur le bureau !
Son esprit tournait sous le désir, lui faisant perdre tout sens de la précaution, de la convention. La possibilité d'être découverte ajoutait en fait à son excitation.
Julien la poussa contre le bureau jusqu'à ce qu'elle soit obligée de remettre ses bras en arrière pour garder l'équilibre. Il attrapa ses jambes et les souleva du sol. Le bord du bureau mordit brusquement son cul. Marlène Bojito ne portait pas de culotte. Un porte-jarretelles en dentelle noire encadrait le chaume épais et noir qui cachait sa chatte palpitante. Les poils de sa chatte scintillaient de gouttelettes de jus de chatte. D'une main experte, il ouvrit son pantalon, libérant sa bite engorgée, et d'un coup sûr, il écarta les lèvres roses de sa chatte et enfonça brutalement sa verge dans sa chatte chaude et lisse comme du beurre.
Le choc soudain de la pénétration lui coupa le souffle. Sa bouche s'ouvrit, comme pour crier, mais aucun son ne sortit. Ses yeux devinrent vitreux et son corps convulsa alors que le premier spasme de l'orgasme, un petit, se précipitait dans son corps.
Ses bras entourèrent son cou, ses jambes autour de son cul, dans une tentative désespérée de forcer sa merveilleuse bite aussi profondément que possible. La douleur se mêla au plaisir lorsque le bord du bureau creusa ses fesses nues.
Elle siffla à son oreille;
__Mmmm... oh, doux Jésus, oui ! Oui ! Baise, baise-moi, Julien... Enfonce, oui enfonce ta grosse bite profondément ! Rends-moi jeune à nouveau !
Avec un objectif, Julien plongea sa grosse bite gluante de sperme en elle et hors d'elle.
Le corps de Marlène tremblait sous la force de chaque coup. Il lui força les jambes contre
ses épaules, et elle gémit, à moitié de douleur, alors que son corps se tendait contre cette position inconfortable, mais cela lui permit une entrée plus profonde dans sa chatte, et elle soupira d'émerveillement alors que la chair supplémentaire la remplissait.
Elle gémit;
__Donne-moi, donne-moi ta bite... J'en meurs d'envie ! Oh, ouais ! Ouaiiiiiii !
Julien rougit;
__Allez, allez patronne, baise, baise-moi aussi. Allez, salope, baise !
__MARLÈNE: Julien, oh, Julien... ouiiiiiii ! Oh, je vais jouir à nouveau. Je ne peux pas me retenir ! Ohhhhhhh
__JULIEN: Jouis, oui jouis pour moi, bébé, jouis pour moi !
__MARLÈNE: Aaaaaahhhh ! Jouis... ohhh ma vie
Elle sentit les violentes contractions au plus profond de sa chatte, et elle se mordit la lèvre pour retenir le cri automatique de plaisir qui montait à sa gorge. Elle sentit Julien enfoncer ses doigts dans son cul, incapable de retenir l'éruption dans ses couilles. Sa bite martela sa chatte crue et son sperme chaud gicla profondément dans sa chatte trempée, se mélangeant à ses propres jus, débordant de sa chatte. Il traça un chemin chaud le long de sa joue.
Les jambes de Julien tremblaient et son corps se soulevait sous l'effet d'une réaction sexuelle alors qu'il essayait de contrôler sa respiration saccadée. Lentement, il retira sa bite toujours rigide de la chatte fumante de Marlène. Ses jambes tombèrent lourdement sur le sol et elle dit;
__Oh, mon Dieu, c'était bon, c'était tellement bon
Elle se glissa à genoux devant sa tête de bite lisse et tremblante. Elle commença à le lécher jusqu'à ce qu'il soit propre, sans se soucier de sa propre chatte dégoulinante. Le jus de sperme tachait le tapis coûteux alors que sa langue tourbillonnait autour de sa bite qui se dégonflait lentement, à la recherche de gouttelettes errantes de sperme mélangé. Une main tenait ses grosses couilles tandis que l'autre trayait le dernier vestige de leur passion de sa tête de bite violette. Sa chatte picotait de plaisir sauvage, son corps brillait et sa bouche caressait le poteau de baise qui était devenu son tapis magique vers la jeunesse et la passion. Marlène Bojito était en extase et vivante.
Julien rit;
__Je suppose que cela signifie que j'ai un jour de congé
~~ GERMAINE ~~
À dix-sept et trente minutes, Germaine M'pong était prête. Le buffet était dressé, le vin rafraîchi, les voisins invités. L'horaire de vol de Julien avait été vérifié et l'itinéraire et l'heure de Bénédicte avaient été efficacement planifiés. La seule chose qui restait était l'attente. Soudain, elle se sentit fatiguée.
Cela n'avait pas été une tâche facile. L'arrivée de Billy avait déclenché une nouvelle vague de désir, avec Véronique l'heureuse récipiendaire du gros gode. Germaine rougit en se rappelant le corps frétillant et haletant de Véronique alors qu'elle plongeait la fausse bite bien au fond de sa chatte dégoulinante; Billy et Louis enfonçant leurs bites dans tous les trous disponibles qu'ils pouvaient trouver; son propre corps exigeant recherchant frisson après frisson. Il avait fallu un acte de volonté suprême de sa part pour les faire sortir de la maison. Elle aurait pu continuer comme ça pour toujours. Parfois, son désir découvert tardivement l'effrayait. C'était si intense !
Elle s'assit à sa coiffeuse et vérifia son maquillage, une dernière fois avant de descendre les escaliers. Le visage qui la regardait ne ressemblait pas à celui qui avait passé la matinée à sucer des bites et à manger de la chatte. Celui-là, celui qu'elle avait vu dans la rediffusion de la vidéo, semblait si sauvage et abandonné, si dévergondé, si concentré sur ses plaisirs physiques, qu'il semblait appartenir à quelqu'un d'autre; une personne dont les désirs sauvages l'avaient fait succomber au péché ultime ! Un frisson soudain la saisit. Je suis devenue deux personnes différentes, pensa-t-elle. Femme, mère et... pute incestueuse ! Je baise mon propre frère !
Les mots lui serraient le cœur. Et si leur logique était fausse et que l'inceste s'appliquait aux adultes consentants ? Et si le monde est juste et que ce que nous faisons est mal, alors, se demanda-t-elle, quelle sera notre punition ?
Un klaxon retentit et elle entendit son mari crier;
__Germaine ! Bénédicte est là !
Son esprit se referma brusquement et la peur se retrouva, une fois de plus, enfouie dans les recoins sombres et profonds de son subconscient. Elle regarda son reflet et son visage devint provocateur. Elle avait pris sa décision. Elle vivrait avec. Que le monde soit damné !
Bénédicte courut vers sa mère et elles sautèrent de joie et poussèrent des cris perçants comme deux écolières; comme des sœurs, ce qu'elles ressemblaient effectivement; belle contre belle, seule la longueur de leurs cheveux semblait les distinguer. La mère et la fille rigolèrent même de la même façon lorsque les voisins rassemblés commencèrent à applaudir. Germaine regarda Bénédicte faire le tour de sa famille et de ses amis, se rendant soudain compte que les hommes, Billy et Louis inclus, observaient ouvertement les contours galbés de Bénédicte; la tenue courte en jean semblait attirer leur regard vers chaque recoin secret de son corps jeune et luxuriant. Elle lança un regard furieux à Bénédicte lorsque sa belle-sœur murmura;
__Beaux seins !
Alors que les M'pong et les Ganh entouraient une Bénédicte M'pong souriante et heureuse, le taxi de Julien s'arrêta et le groupe bruyant se précipita pour accueillir la nouvelle arrivée; tous sauf Bénédicte, qui resta à l'arrière, saluant finalement son frère d'une étreinte nerveuse et du plus léger contact de ses lèvres. Personne ne semblait le remarquer, sauf Germaine. Un sentiment d'appréhension l'envahit. Déjà, les retrouvailles perdaient de leur éclat.
Véronique hurla;
__Laisse-moi m'en occuper
Il saisissa Julien dans une étreinte d'ours. Surpris, Julien trouva la langue de sa tante dans sa bouche et ses hanches frottaient contre son bassin. Son baiser était profond, humide et bruyant. Pour d'autres, cela semblait ringard et dramatique, mais la surprise de Julien et son érection étaient réelles. Germaine rougit et regarda son mari, Billy, qui ne souriait que de manière tolérante. De toute évidence, pensa-t-il, sa sœur avait déjà été au rendez-vous.
Véronique dit avec conviction;
__Mon Dieu, tu es un beau garçon
Elle ignorait son neveu plus que légèrement embarrassé et sa belle-sœur agacée.
Avant que quiconque puisse réagir, Germaine prit le bras de Véronique et commença à pousser tout le monde vers la maison, disant aux voisins de venir dans quelques minutes, après que les enfants se soient rafraîchis. La gêne passa avant que quiconque ne s'en rende vraiment compte.
Alors qu'ils remontaient l'allée, Germaine siffla à Véronique;
__Mais qu'est-ce que tu crois que tu fais ?
__VÉRONIQUE: Quoi ? Je ne peux pas dire à mon neveu qu'il est beau ? C'est vrai !
__GERMAINE: Bon sang ! Tu sais exactement de quoi je parle !
Véronique secoua la tête;
__Il n'y a pas de mal à regarder, Germaine ! Au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, Julien est un sacré type ! Il est aussi costaud, si tu veux mon avis. Ne sois pas hypocrite ! Nos récents camarades de jeu étaient plus jeunes que les enfants; quelque chose qui ne semblait pas te déranger, alors; en fait, c'est comme ça que tu les aimes, n'est-ce pas ?
__GERMAINE: Regarde Billy et Louis...
Elle se tourna vers le groupe qui s'éloignait;
__...pour l'amour du Christ, ils regardent le cul de Bénédicte dans cette jupe moulante ! Sois réaliste !
A SUIVRE...