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Chapitre 5

❣️❣️ JASON ❣️❣️

Assis dans le canapé de ma chambre , j'observe Renée qui dormait profondément et mon coeur se gonfle de joie . J'aime tellement cette femme que je fais des choses inimaginable rien que pour la garder . Je ne veux et ne peux vivre sans elle . Elle représente tout pour moi . Et l'idée même qu'un autre puisse seulement la regarder , pire la toucher m'ai complètement insupportable . . Je suis même entrain de tout mettre en œuvre pour qu'elle soit renvoyé de l'hôpital . Je déteste l'idée qu'elle côtoie d'autres hommes dehors . Je la veux seulement à la maison , comme une femme au foyer que je viendrai retrouver après une journée de dur labeur . Je suis immensément riche donc pas besoin qu'elle travaille , elle a une carte illimité à sa disposition donc je ne comprends pas cette hobbies qu'elle a pour son travail . Vivement que ça se termine vite , j'aurais le coeur tranquille pour me concentrer sur ma promotion de mes Hôtels . .

Je pars poser un baiser sur sa joue avant de sortir prendre un café à la cuisine . De la fenêtre , je peux apercevoir Audrey entrain de nager . Dieu a pris toute une lustre pour la confectionné , elle est chaude et bandante . Au lit , elle est une lionne , une bonne petite chienne que j'aime dompter . Tout ces pensées m'exitent déjà . Je ne comprends pas mon envie pour le sexe , j'ai beau passé toute cette nuit à faire l'amour à ma femme dans toutes les positions malgré ça , je n'ai qu'une seule envie maintenant , sauter sa meilleure amie . Je vide ma tasse de café et sort pour la piscine . Dès qu'elle me voit , elle se mets à caresser ses tétons déjà durcir et commença à lécher sa lèvre supérieure. Je bande déjà comme un malade .

Moi : Tu vois comment, elle est remplit ?

Audrey : Et si tu venais afin que je te soulage ?

Moi : Dans ma piscine ? Et courir le risque que ma femme nous voit ?

Audrey : Je croyais que tu aimais le risque ?

Je souris et lui fait signe de se rapprocher . Oui , j'aime tout ce qui est à risque. C'est excitant l'interdit mais je ne courrais pas ce risque de la perdre pour rien au monde . .

Moi : Je te veux dans ta chambre dans cinq petite minute . C'est un ordre .

Je la quitte sans plus tarder pour ne pas fait remarquer ma boss . Je pars d'abord vérifier si Renée dormait toujours et bingo . Je referme tout doucement avant de m'introduire discrètement dans la chambre d'Audrey . . Son linge se trouvait sur le lit et j'en ai profité pour l'humer le temps de l'attendre . La seconde qui a suivit , elle fit son entrée enroulé dans la serviette .

Jason : Retire moi tout ça et mets toi à genoux

Elle s'exécute sans broncher . Voilà ce que j'aime en elle . Elle exécute tout mes ordres sans aucune hésitation. Elle me laisse réaliser tout mes fantasmes. Et j'avoue , je n'arrive plus à me passer de son corps . Et vivre ici avec nous m'a facilité les choses . Je pourrais la sauter comme bon me semble .

Jason : Maintenant , tu vas ramper jusqu'à moi et me taillé une de ses pipe dont toi seule à le secret .

Elle marche donc à quatre pattes jusqu'à ce que ses mains douce se pose sur ma ceinture . Elle le défait, ouvre ma braguette et tombe nez à nez sur ma bite volumineux et remplit de désire .

Jason : Suce la

Elle l'engloutit et commence à me lécher le gland du bout de sa langue avant de la prendre complètement en bouche . J'empoigne ses chevelures et la guide dans son va et vient . Je suis tellement excité que je lui baise sauvagement la bouche . Du vomis s'est mise à couler de sa bouche et ses narines mais cela avait pour don , de m'exciter encore plus . Je continue à saccager sa bouche de grosse coups de bites jusqu'à ce que je ne vienne . Je sors d'elle et elle s'écroule au sol en toussant durement . Mon sexe reprends de vigueur en la voyant si misérable et soumise complètement à mon désir . . Je la positionne sur ses genoux , sort un préservatif de ma porche et la déchire avec mes dents .

Audrey : Pas ce soir Jason , souffle t-elle difficilement ..... Ce soir , je veux sentir ta chaire contre ma chaire .

J'empoigne ses chevelures et la redresse pour coller mes oreilles contre la sienne .

Jason : Je ne baise personne d'autres sans préservatif sauf ma femme souffle je à son oreille avant de m'introduire violemment en elle , lui volant un cri que j'étouffe avec mes mains . Je la lime pendant une quinzaine de minutes avant de me déverser de nouveau en elle. Je sors d'elle , retire mon préservatif et le remets dans ma porche . Il faudrait pas qu'elle vienne me piégé avec une histoire de grossesse. Je m'essuie avec un mouchoir que je mets également dans ma porche . Aucun trace de mon sperme . J'en remets un autre et cette fois-ci, je le prends par l'anal . Au moins de ce côté , c'est moi qui l'ai dépucelé . Une autre quinzaine de minutes à la baiser par derrière .

Audrey : Je ne me lasse plus de notre petit jeu . J'ai envie de toi à tout moment , chaque instant .

Jason : Je les aimes accro à moi , à cette bite phénoménale

Audrey : Oui , je suis accro à toi , tellement accro que j'ai rompu avec Mike hier .

Jason : Tu as fait quoi ?

Audrey : Si tu pète un câble à chaque fois que Renée cause avec un homme , tu dois être fou de rage en sachant que Mike et moi , on couchent toujours ensemble non ? C'est pour éviter ce malentendu que j'ai rompue avec lui .

Jason : Non mais t'ai stupide où tu le fais exprès ? Je m'en fou , du nombre de mecs qui fou leurs bites dans tes trous . Tu n'ai rien pour moi qu'un plan cul , une pute que je baise et que je paie bien pour ses services . Ne va surtout pas imaginer autre chose . Merde !

Des larmes ruisselaient déjà de ses yeux . Je sors des lasse de billet de ma porche que je lui jette à la figure .

Jason : Avec ça , tu pourras payer un bon hôtel , une robe sexy et tu invitera Mike à te faire tout les gâteries que tu veux afin qu'il oublie cette séparation et qu'il veille encore te récupérer. Tu as intérêt à réparer cette boude .

Je tapote ses fesses et me retourne pour sortir.

Audrey : Et si je refuse quoi ?

Je m'arrête un instant avant de me retourner pour lui faire face .

Jason : Je te tuerai tout simplement .

Audrey : Comme cet homme à Paris ?

Jason : .......

Audrey : Ta femme m'a tout raconté et si elle est toujours ici c'est que je l'ai convaincu du contraire .

Jason : Ah merci beaucoup pour m'avoir sauver la mise . Et tu veux que je te dise ? Oui , c'est moi qui l'ai tué , tout comme j'ai causé l'accident du petit ami de Melvine . Tu n'a aucune idée en quoi , je me transforme quant il est question de Renée . Alors ne me pousse pas à bout .

Audrey : Tu ne vois pas que je suis tombé amoureuse de toi ?

J'explose de rire à n'en point finit .

Moi : Approche , aller vient par ici .

Elle essuie ses yeux et se mets devant moi . Je serre son cou de mes deux mains et la plaque contre le mur de la porte .

Moi : Écoute bien , ce que je vais te dire , je ne le répéterai plus jamais . Je ne t'aime pas et jamais je ne t'aimerai. Pour moi , tu es juste une vide couilles . Et ne va surtout pas commettre la bêtise de me séparer de MA FEMME , sinon je te tue et tu sais que j'en suis capable.

Je sors sans me retourner . Merde , je déteste le chantage. Je jette les deux préservatifs dans la toilette et tire la chasse d'eau. C'est tout furieux que je rentre dans ma chambre . Renée venait également de se réveiller .

Moi : Eh , désolé de t'avoir réveiller .

Elle affiche son plus beau sourire et s'étire . Je pose mon genoux sur le lit et nous échangions un baiser

Moi : Bonjour mon rayon de soleil

Renée : Bonjour toi !

Moi : Alors comment tu te sens ?

Renée : Toujours inquiète pour Melvine . Teddy a eu un accident , mon rôle c'est d'être avec qu'elle, la soutenir mais pour une raison que j'ignore , elle ne veux pas de moi auprès d'elle. Je ne sais même pas dans quelle hôpital, ils sont .

Moi : Arrête de te prendre la tête , ça en vaut pas la peine .

Renée : C'est mon amie Jason

Moi : Et elle ne veux pas de toi .

Renée : Ça ne va pas m'empêcher de m'inquiéter pour elle .

Je baisse la tête ne sachant plus quoi dire . Je peux avancer des dizaines de raison , elle ne s'avouera pas vaincu . Elle trouvera toujours un moyen de se rapprocher d'elle , moi je ne peux décidément pas laisser cela se fait . Peu importe ce que cela me coûtera , je dois trouver un moyen de baisser à tout jamais l'estime et l'affection qu'elle a pour Melvine pour ne pas courir le risque qu'elle l'ouvre un jour .

Moi : Tu as raison ,les amis sont comme une partie de nous . Si tu le souhaites, je t'aiderai à comprendre ce qui cloche avec qu'elle .

Elle se redresse sur ses genoux et pose un baiser sur mes lèvres .

Renée : Merci mon amour .

Elle se rapproche de nouveau et cette fois-ci dévie dans mon cou pour me renifler .

Moi : Qu'est-ce qu'il y a ?

Renée : Tu empeste le parfum d'Audrey .

J'avale rapidement ma salive . Merde , Il me faut inventer un truc rapidement

Moi : Je l'ai vue à la cuisine en pleure

Renée : En pleure ?

Moi : Oui , apparemment, Mike et elle c'est fini . Elle était toute chamboulée et j'ai dû la prendre dans mes bras pour la consoler un peu .

Renée : Oh non !

Elle sort du lit mais je la retiens par le bras

Moi : Et tu vas où comme ça ?

Renée : Il faut que je la vois .

Moi : Audrey va bien , tu pourras la voir le reste de la journée mais pour l'instant , moi , j'ai trop besoin de toi .

Renée : Ah oui !

Moi : Oui

Renée : Et pourquoi faire ?

Je la soulève et la balance sur le lit avant de monter en califourchon sur elle . Mes yeux ne se dévie plus de son éclat de rire , de sa dentition parfaite et de ses lèvres qui me rend fou de désir . Je passe ma main sous sa robe de nuit et y glisse le string que je brandis sous ses yeux après l'avoir renifler .

Moi : Tu me rends fou , tu le sais ça ?

Elle remue la tête

Moi : Ah non ?

Renée : Non !

Elle pousse un cri quand j'enfonce deux doigts en elle .

Moi : Et maintenant ?

Elle secoue de nouveau la tête . Je souris avant de rajouter un doigt de plus . Mes doigts se resserrent autour de son cou pendant que mes autre doigts de ma seconde main la baise . Elle retient difficilement ses gémissements , ma langue vient rencontrer la sienne pour étouffer ses cries . Mon sexe se tends douloureusement dans mon pantalon. Il ne réclame qu'une seule chose . La posséder . Je lâche sa bouche pour descendre tout doucement dans son cou que je gratifie de doux baisers avant de descendre vers sa poitrine pour descendre sa bretelles . J'enroule son téton dans ma bouche pour le mordiller et l'aspirer . Ses gémissements redoublent de vigueur et ses ongles s'enfoncent dans mon dos me volant aussi un petit crie . Ses petites doigts fine recherchent ma braguette et une fois ils l'atteignent , celle ci l'ouvre et en sort ma queue bien tendue et gorgé de sang . J'ai une érection gigantesque. J'ai beau baisé son amie il y a un instant pourtant il en redemande encore . Je retire mes doigts et m'enfoncer délicatement en elle avant de commencer à faire des mouvements de va et vient . Front contre front , Nous nous regardons , pendant que je la baise . Le sexe avec qu'elle est différent, les autres c'est la brutalité et avec qu'elle,la douceur . . Elle est tellement étroite que je suis arrivé très rapidement . Je finis par m'écrouler à l'autre côté du lit , la respiration saccagé .

Moi : Le sexe avec toi est toujours meilleure .

Renée sourit et passe ses doigts dans mes chevelures .

Renée : J'adore ses petits moments avec toi mais il faut que j'aille prendre une douche et rejoindre Audrey . J'ai besoin de savoir si elle va bien .

Moi : Très bien , par contre moi , j'ai besoin d'un bon sommeil .

Renée : D'accord , profite s'en .

Elle pose ses lèvres contre les miennes et nous échangions un long baiser avant qu'elle ne sorte du lit . Je m'apprêtais à couvrir ma tête du drap lorsque je sens son portable vibrer sur la table de nuit . Je tire ma main et la saisit . Je tape le code qui est notre date de mariage et l'ouvre .

" Merci pour hier , j'ai apprécié ta compagnie, ça me fait toujours du bien nos têtes à têtes . Passe une bonne journée. Greg "

Mon sang bouillonne de rage, mon corps se tend à l'extrême. Je serre fortement le téléphone entre mes doigts avant de le balancer contre le mur . Le boucan que fait celui-ci oblige ma femme a sorti de douche le corps ruisselant de l'eau . La vue de son corps me fait imaginer les mains de ce Greg sur son corps et cela me fou les jetons .

Renée : Qu'est-ce qui se passe ?

Moi : Ton imbécile d'ami te remercie pour hier . Apparemment votre tête à tête lui a fait un grand bien ...

Renée : De quoi tu parles ?

Moi : De Greg, ce salaud vient de t'envoyer un message de remerciement .

Renée : Tu as fouillé mon téléphone ?

Moi : Pourquoi il te remercie ? Qu'est-ce que tu as fait avec lui hier ?

Renée : Ça suffit Jason .

Moi : Je ne te baise pas assez c'est ça ? Au point que tu ailles voir ailleurs .

Renée : Tu commences sérieusement par dépasser les bornes .

Moi : C'était quoi ce message bordel ? Tu as couché avec lui ?

Elle me mets une baffe et je la lui rends avec surplus non mais elle se voit dans les films ou quoi ? Elle tombe sur ses fesses .

Renée : ( pleurant à chaude larmes)

Moi : Si je venais à découvrir que tu as baisé avec lui , je vous tue tout les deux . C'est claire ?

Renée : Je ne suis pas disposé à subir de nouveau ta stupide crise de jalousie infondé ... Alors je me casse et tu n'as pas intérêt à te le ramener avec ton excuses à deux balles . C'est claire ?

Dès qu'elle se retourne pour partir , je lui empoigne la chevelure et la ramène de force pour la plaquer contre le mur .

Moi : N'ose plus jamais lever le ton sur moi . Et tu n'ira nulle part car tu m'appartient . Ta place que tu le veuilles ou non est ici et nul part ailleurs . Alors tu vas gentiment poser tes putain de fesse ici pendant que j'aille donner une bonne leçon à ton imbécile d'amant .

Je la traîne de force jusqu'à vers le lit et la pousse violemment sur celui-ci. Je sors en fermant la porte à clé . Je déballe les escaliers comme un furie .

Audrey : Qu'est-ce qui se passe ?

Je la dépasse et sort prendre mon véhicule . Je roule comme il n'est pas possible . Auteur : Ma bel dovi . J'arrive pas à penser à rien d'autre qu'à ma femme nue dans les bras d'un autre . Cette pensée me rends dingue ,me broie l'estomac. Je ne rêve que d'une chose , lui casser la gueule à celui là. Les minutes qui ont suivi, je me gare devant l'hôpital et descends rapidement. Je fonce directement dans son bureau où je le trouve entrain ausculter une femme . Sans qu'il n'ai le temps de l'ouvrir, je lui balance mon poing en face et il s'écroule . Je monte sur lui et les coups de poing se mettent à pleuvoir . Je ne lui laisse aucun moment de défense . Soudain , je me sens porter vers l'arrière où des hommes me maintiennent solidement .

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Cette phrase a pour don de me ramollir complètement. Merde ! Qu'est-ce que j'ai fait ?

Je regarde ma main recouvert de sang et celle-ci se mets à trembler .

Moi : Oh non ....Je ...

Ils le soulèvent et sortent en courant avec lui . Le directeur m'entraîne dans son bureau

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Moi : Ce n'ai quelques coups putain , rien de dramatique

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Moi : Qu'est-ce que vous essayez de faire là ? M'intimider ? Votre hôpital de pacotille existe encore grâce à moi , grâce à mes dons .

Moi : Mais un homme pleins aux as dont vous avez besoin.

Il pose le combine

Moi : C'est exactement ce que je pensais .

Je sors mon chéquier et il gratifie quelques zéro avant de lui tendre .

Moi : Bonne journée Monsieur le directeur .

Je sors d'abord chercher une toilette et me laver les mains avant de continuer ma route pour la maison . Je ne suis pas en état d'aller au boulot . J'ai appelé mon cousin Sam pour qu'il se charge de mes rendez-vous. À peine je raccroche que mon second téléphone s'est mise à sonner , j'hésite entre le prendre ou le laisser sonner .

Moi : Allô !

Papa : >

J'ai pas eu le temps de placer un seul mot qu'il m'avait déjà raccroché au nez. Je supporte de moins en moins les attitudes de mon père . Je n'aime pas sa façon de me traiter . Auteur : Ma bel dovi . Je contourne mon véhicule vers le centre ville plus précisément au quartier Mont Fleury . Une heure de temps plus tard , mon véhicule entre dans une maison gigantesque . Elle est grande, spacieuse et composée de quatre étages. Elle est toute blanche, et entourée d'un grand jardin fleuri. Et une vue spéciale sur la mer , ce qui donne un environnement Confortable et relaxant qui entoure la maison. J'adore venir ici , C'est mon lieu de paix .

Moi : Ils sont où mes parents ?

>

Je prends l'ascenseur pour arriver plus rapidement . Dès qu'elle s'ouvre, leurs voix me parviennent. On dirait qu'ils se disputent.

Maman : >

Papa : >

Maman : >

Papa :>

J'étouffe mes cries de détresse avec ma main . Ils ne doivent pas savoir que je suis au courant de cette partie de ma vie .

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