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Chapitre 4

"Je n'ai jamais pensé que tu t'intéressais à moi." Ses mots étaient faibles, comme si elle ne voulait pas les prononcer à haute voix.

« C'est juste ça, princesse. Je me soucie plus de toi alors je devrais…. dis-je, la soulevant du sol et la jetant par-dessus mon épaule. Elle ne semblait pas peser à peu près rien et je n'aimais pas ça, pas du tout putain, et je n'aimais pas non plus qu'elle pense que je ne me souciais pas d'elle.

« Putain de merde ! Un cri de rire perça l'air alors que je la portais à mon bureau. Je voulais lui faire réaliser tous ses rêves, même si ce n'était que pour une nuit. J'ouvris la porte d'un coup de pied et traversai la pièce, plaçant ma main sur son cul que je posai contre le bureau en bois recouvert de papiers.

"Je vais réaliser tous les fantasmes que cette belle petite tête pourrait évoquer… se réaliser…" J'ai aboyé doucement à la coquille de son oreille, ma main glissant du haut de son cul et effleurant sa hanche, vers le bas son ventre, et finalement s'arrêter contre l'intérieur de sa cuisse, là où sa robe avait remonté. Son souffle chaud s'éventait contre ma joue… Elle était tout aussi excitée, sinon plus, que moi.

« Ne me taquinez pas, M. Briggs… Si vous ne livrez pas… » Ses paroles firent craquer quelque chose en moi et avant que je m'en rende compte, je la fis se retourner, les mains contre le bureau.

Ma bite raide pressée contre son cul parfaitement formé.

"Ma capacité à livrer est certaine, la question que vous devriez vraiment vous poser est de savoir si vous serez capable de gérer ce que je prépare." Je pinçai le lobe de son oreille, épinglant sa poitrine au bureau. Si elle était nerveuse ou effrayée, elle ne le montrait pas.

"Prouvez-le", ordonna-t-elle en appuyant son cul contre ma bite comme pour dire, prends ce que tu veux . Toute pensée logique a disparu. Peu importait qu'Audrey soit la fille de mon meilleur ami, ou bien trop jeune pour moi. Tout ce qui comptait, c'était de lui prouver à quel point je la voulais et de lui montrer à quel point j'étais douée pour livrer .

« Joignez vos mains… » ai-je grogné en défaisant ma cravate de mon cou, avant de déboutonner le haut de mon pantalon. Audrey a fait ce qu'on lui a dit, plaçant ses deux mains ensemble devant sa tête, ce qui a poussé son cul plus loin. Je réprimai un gémissement en prenant ma cravate violette, celle qu'elle m'avait dit qu'elle aimait tant aujourd'hui, et enroulai la douce soie autour de ses poignets.

« Tu vas m'attacher ? Elle avait l'air curieuse de savoir ce que je lui réservais et elle

le découvrirait, très, très bientôt.

"Est-ce que quelqu'un t'a déjà goûté ?" J'ai léché mes lèvres d'une voix douce alors que j'ignorais sa curiosité d'être attachée et à la place j'ai fait glisser une main le long de sa colonne vertébrale, aimant la façon dont son corps réagissait à mon toucher.

"Non... je veux dire oui... eh bien en quelque sorte... je n'ai pas aimé ça..." Sa voix s'éteignit alors que l'incrédulité me frappait les couilles. Elle n'a pas aimé ? Elle n'était pas censée aimer ça, elle était censée l' aimer putain . Si un homme ne savait pas manger la chatte, ce n'était pas un homme. Tu ne t'es pas arrêté jusqu'à ce que ses jambes tremblent et que ses mains écartent ton visage.

« Alors ce n'était pas un homme. Je te promets que tu vas plus qu'aimer ce que je suis sur le point de te faire… en fait tu vas adorer ça putain. Je suis tombé à genoux derrière elle, poussant sa robe sur son cul, révélant un string en dentelle noire très sexy.

« Baise-moi ! » Je gémis, pressant un doux baiser contre le haut de sa fente de cul. Je savais qu'elle était vierge donc j'avais besoin de ralentir la baise, mais quand elle m'a surpris avec de la merde comme ça, il m'a été impossible de ne pas vouloir enfoncer des boules au fond de sa chatte serrée.

"M. Briggs, tu me taquines… » Elle remua son cul d'avant en arrière, me tentant de lui mordre la joue douce. Elle ne savait pas le genre de tempête de merde que je subirais de la part de son père s'il découvrait un jour ce qui se passait ici.

"Vous n'avez rien vu, Ms. Hamilton, pas encore..." Saisissant le string entre deux doigts, j'ai tiré le tissu jusqu'à ce que j'entende le déchirer alors qu'il tombait de son cul et le long de ses jambes avec peu d'effort.

"Tu viens de déchirer mon string en deux ?" Je pouvais entendre l'excitation dans sa voix, mélangée à un peu de choc.

"Pourquoi oui, je l'ai fait. C'était dans le putain de chemin de ma collation de minuit… » J'ai poussé et avant qu'elle ne puisse trouver un autre mot, j'écartais ses cuisses blanches et crémeuses et glissais ma langue contre sa chatte nue.

Audrey

L'air se précipita dans mes poumons alors que le bout de sa langue glissait contre la couture de ma chatte. Cela faisait plus d'un an que mon ex-petit ami n'avait pas mangé ma chatte et bien qu'il y ait eu un certain plaisir, cela ne ressemblait en rien à ce que je ressentais en ce moment.

« Laisse-moi voir cette jolie chatte rose… » La voix profonde de Jameson vibra contre mes plis, faisant exploser tout mon ventre de papillons.

Mon corps a réagi à son ordre sans réfléchir, mes jambes s'écartant aussi largement qu'elles le pouvaient.

Les mains fortes de Jameson maintenaient mes cuisses ouvertes pendant que sa langue effleurait mon clitoris.

"Oh mon Dieu!" Je haletai, me mordant la lèvre alors que j'essayais de réprimer un gémissement de plaisir. Je n'avais jamais ressenti ça auparavant, pas quand…

"Allez sur ma langue, princesse. Laisse-moi goûter ton doux sperme. Mon corps a commencé à trembler alors qu'il suçait, furieusement aspiré, sur le tout petit nœud.

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