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Jeudi s'annonce

CHAPITRE V

Et comme ça m’arrivait fréquemment sans me prévenir, j’avais commencé à avoir mal au ventre, très mal même, je dû écourter la sortir, et me débrouiller à conduire jusqu’à la maison, cette vie vraiment parfois j’en avais assez mais qu’est-ce que j’y pouvais ? 

Ce soir je n’étais vraiment pas bien, au point d’oublier que le lendemain devait être jeudi le jour de la semaine que je détestais le plus.

Pourquoi ce jour était si important ? Je devais d’abord vous faire un flash-back

**Flashback**

Moi : Larissa le fait que tu te confies à moi alors que nous ne sommes pas amis me touche beaucoup et je ressens ce besoin de me confier à toi également

Larissa : vas-y je t’écoute 

Moi : tu me promets également de le garder pour toi ? 

Larissa : promis

Moi : bon la vérité c’est que mon père et ma mère sont dans une secte et c’est la source de tout notre argent, et notre pouvoir dans ce pays et tu n’imagines pas ce que mon frères, mes sœurs et moi sommes obligé de faire pour maintenir ce niveau de vie

Larissa : vraiment ?

Moi : je suis très sérieux 

Le professeur nous avait interrompu quelques minutes après

** fin du Flashback**

C’est exactement ce que j’avais dit à Larissa, vous comprenez pourquoi j’avais peur qu’elle le dise à quelqu’un et si cela s’ébruitait ca pourrait nous porter préjudice à ma famille et à moi.

Tout avait commencé quand mes parents étaient jeunes, ma mère fille d’un ancien ministre devenu grand homme d’affaire, ayant grandi dans une famille extrêmement riche qui était dans une secte, avait rencontré mon père qui lui se cherchait encore, malgré tous ses diplômes il était manœuvre dans un chantier, par manque d’emploi en rapport avec ses qualifications.

Ayant vue en mon père un grand potentiel, et lui venant d’une famille extrêmement pauvre elle avait su le convaincre de la suivre, de ce fait nous avions nos deux parents dans la même secte, ou bien loge comme mes parents aimaient appeler mais pour moi c’était la secte.

Une fois initié mon père s’y es très vite plut, au point de détester les personnes pauvres, la pauvreté de toutes ses forces, on dirait que c’est son plus grand ennemi, la pauvreté, raison pour laquelle il a horreur que nous manquions de quelques chose mes frères et moi, pour lui nous devons avoir tout ce qui peut s’acheter car, il est assez intelligent pour savoir que l’argent n’achète pas tous, mais nous préférons l’avoir en abondance au lieu d’être pauvre.

Mon frère et Yvonne savions que nos parents étaient dans des sectes et qu’ils avaient des conditions à remplir et nous devions les accompagner pour la bonne marches de leurs affaires, Gladys faisait juste ce qu'on lui demandait et devais plus en savoir a ses 15 ans, nous avions l’interdiction d’en parler à quelqu’un, chose que j’avais déjà fait, et c’est la l'une des raisons pour lesquelle j’avais si mal au ventre cela arrivait la plupart du temps à moi uniquement quand je derapais un peu et parfois pour rien, même mon corps repoussait parfois cette vie, seul les employés ne se doutaient de rien.

Jeudi, c’était le jour de la semaine que je détestais le plus, ce jeudi nous avions réunions de famille très particulière, d’après les conditions nous devions manger les selles chaque jeudi, ça devait être soit ceux de mon père ou ceux de ma mère mais pour l’un des deux alors on alternais, parfois ma mère mettais dans son frigo personnel le matin et rentrais plus tôt pour retirer, afin que ça soit moins glacé, ou bien on mangeait quand ça vient juste de sortir... et chauffe encore en peu, même les plats elle les gardais avec elle et faisait la vaisselle juste après que nous ayons fini.

Avant le repas la personne qui était propriétaires des selles faisait des incantations, plusieurs, et il y’avais des niveaux ou nous répétions, mes frères et moi, c’était en une langue étrangère donc on ne comprenait pas exactement ce qui se disait, et je pense que seuls mes parents comprenaient.

Après les incantations, ma mère servait chacun de nous et nous devions finir tout notre plat, ce n’était pas facile mais il le fallait, depuis tout petit les parents nous rappelait que si nous refusions de manger nous devions en mourir, alors on le faisait par peur de mourir.

Je ne peux pas vous décrire le gout qu’on les selles mais c’est horrible dans la bouche, juste l’odeur donnait envie de vomir, mais nous n’avions pas le choix, notre mère nous répétais chaque fois « considéré ça comme des remèdes qui vous empêchent de mourir » et honnêtement comparer au fait de mourir c’était mieux, alors chaque fois nous faisions les efforts pour finir nos plats, ce n’était pas beaucoup mais alors difficile a manger.

Quand tu te mets en tête que si tu ne manges pas quelque chose tu vas mourir c’est plus facile de manger, je coupais souvent des grosses parts que j’avalais rapidement, je ne voulais pas trainer de peur de me décourager. 

Ce repas se prenait chaque jeudi à 18 heures aucune personne présente à la maison à cette heure ne devais le manquer, et pour être en intimité, nous n’acceptions aucune visite ce jour, tous les employés étaient libéré à 15 heures, ils devaient rentrer chez eux et revenir le lendemain très tôt le matin.

avant nous leur demandions de rentrer dans les dépendances mais la curiosité de certains avaient plusieurs fois faillit nous mettre dans une situation critique, alors tous devaient libérer la maison et revenir le lendemain

Le jeudi  les employés faisait un grand buffet avec des choix variés, et dressaient la table avant de partir, quand nous étions tous à table, ma mère nous apportait l’assiette contenant… lorsque nous finissions avec... nous consommions de la vrai nourriture, ça faisait du bien, mais pour manger la bonne nourriture il fallait automatique manger en premier les selles.

Chacun avait son rôle à jouer ce jour, Ethan et moi ont veillaient à ce que tous les employés soient bien partis jusqu’aux gardiens et refermaient le portail. La maman faisait la vaisselle des plats utilisés pour…les filles débarrassaient la table après le repas et mettais le reste des nourritures au congélateur

Vue tous ces sacrifices nos parents nous donnaient tout, nous avions tout ce que nous voulions, même si l’argent du mois finissait ils en redonnaient, déjà que manger ces selles n’était pas les seules conditions que nous devions remplir, l’argent ils nous en donnaient, et nous étions très dépensier, pour la plus part du temps l’argent finissait rapidement, du moins nous le savions, restaurant, cinéma, snack, boite de nuit, shopping...

Notre maison était immensément grande, et nous avions au moins une maison dans 6 villes de notre pays, quand à celle dans laquelle nous vivions, elle avait 5 dépendances dehors de 3 appartements, et deux studios, sans compter ou nous logions nos employés. Dans la grande maison il y’avait 6 chambres, 4 salons, 5 salles de bains, deux cuisine, deux magasin, une grande salle de jeu, une salle de sport,  une grande salle de cinéma une salle d’étude, et une buanderie, on se sentait vraiment très bien dans notre maison, elle était tellement belle.

Coté employé, nous avions un Majordome (Albert), 4 ménagères (Inès, Divine, Joëlle et Marissa la nouvelle), deux  chauffeurs (Paul et George), deux gardiens (Michael et Stéphane ), un blanchisseur(Youssouf) et deux jardiniers, (je ne connaissais par leur nom), car c'est ma mère mettait un accent particulier sur notre jardin, elle le voulait toujours beaux et bien entretenu à l’intérieur comme à l’extérieur, et tous nos employés non seulement étaient bien payés mais jamais n’avaient eu de retards de salaire, sans compter qu’ils étaient tous affiliés à la sécurité social, ils dépassaient plusieurs personnes qui passaient leurs journées dans les bureaux en veste gravâtes, au total nous avions 13 employés, mais juste 10 vivaient avec nous dans la maison, ils étaient deux par chambre, mais chacun avaient son lit. 

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