CHAPITRE 7 : L’étonnement de ma mère
Ce matin-là, Flora était entrée dans le salon après le départ de maman au boulot. Elle était venue pour ranger la table, amener avec elle, les assiettes utilisées la veille. Pendant ce temps, je m’étais assise dans le divan avec papa Katy. Puisque quand maman quitte la maison, son retour était dans l’aprèm, mon petit père et moi profitions toujours de son absence pour faire tout ce qui nous plaisait. Si ce n’était pas qu’il y avait même une domestique dans la maison, je dirais que quand maman va au boulot, la maison nous revenait ; elle devient privée à son mari et moi.
Ce matin-là, j’étais assise dans le divan, non, sur les jambes de mon compagnon lorsque Flora la domestique a fait son entrée. J’ai eu peur et me suis lentement glissée des jambes de papa Katy. Comprenant vite le jeu, il me fixa du regard avant de chercher à comprendre ce qui se cachait derrière ma réaction. C’est alors qu’il interpella calmement sa domestique et lui adressa une phrase interrogative à laquelle celle-ci répondit :
– On m’appelle Flora.
– Bien, Flora, quel est ton rôle dans cette maison ?
La jeune fille, tête basse, lui répondit timidement : « je suis là pour prendre soin de la chambre et pour faire la cuisine ».
– J’espère que tu n’es pas dans la maison pour faire le point des choses qui se sont passées dans la maison à madame quand elle serait de retour de son boulot ?!
– Non monsieur, je ne suis pas là pour ça ; désolée de vous avoir perturbés.
– Maintenant dégage !
Oh, quelle grossièreté !
Sous nos yeux, la jeune fille se pressa les pas et s’en fut de la pièce après avoir rapidement ramassé les assiettes.
– Il ne fallait pas être dur avec elle ! lui reprochai-je, inquiète.
– Non, il faut que je le sois un tout petit peu. Je veux que tu sois heureuse dans cette maison !
– Je vois et merci infiniment.
– Ah oui !
– Et dis-moi, tonton, est-ce la même manière dont tu me baises que tu baises aussi ma maman ?
– C’est une grande question que tu m’as posé et je pense que tu as droit à une réponse. Je ne sais pas si tu me croiras.
– Je te croirai, alors parle !
Mon compagnon me tira une fois encore vers lui et me pria à venir m’asseoir sur ses jambes comme tout à l’heure. Ce que je fis sans contestation aucune.
– Tu vois ta mère, elle fait des trucs qui m’étonnent parfois et je me demande sa raison d’être présente sous mon toit.
– Peux-tu m’en parler s’il te plaît ?
– Oui, et c’est là que j’en viens d’ailleurs ! Peux-tu imaginer que ta mère me refuse le sexe lorsque j’ai envie d’elle ?
J’écarquillai grands les yeux parce que papa Katy venait de me surprendre de sa déclaration. Comment une femme au foyer pourrait refuser le sexe à son mari ? Il est vrai que je ne le suis pas encore mais refuser le sexe à son mari, c’est de l’amener à être cocu et ça s’arrête là !
– Es-tu sérieux ? lui demandai-je, ébahie.
– Je sais que tu n’allais pas me croire. Ta mère m’empêche le sexe.
– Et pourquoi ?
– Tout son prétexte, c’est qu’elle a eu une journée chargée et qu’elle est très fatiguée. Dans un mois, je pourrais compter combien de fois nous faisons l’amour. Voilà pourquoi quand tu es venue dans cette maison, je ne me plains plus et bien qu’au départ je regrettais de m’être mis ensemble avec elle, depuis que tu es venue dans cette maison, je n’ai plus ce remord.
Avec tout ce goût indescriptible du sexe, ma mère ose refuser le sexe à papa Katy ? Hum ?
– Je comprends enfin pourquoi tu aimes me prendre dans toutes les positions, lui avouai-je, moqueur.
– Et pour te dire la vérité, tu es mille fois douce que ta mère.
– Sérieux ?
– C’est moi qui te parle ! Tu as de très belles expressions de gémissements.
– Et ma mère ?
– Ta mère tu dis ? Quand je lui fais l’amour, elle ne dit jamais rien ! Elle ne fait aucun effort. Au moins toi, quand je te caresse, toi aussi, tu en fais pareil. Au cours du sexe, ta mère se comporte souvent comme si c’est uniquement moi que profite le plaisir sexuel alors qu’elle est celle qui en tire plus de plaisir. Tu vas lui caresser seulement les seins, elle te dira que tu lui presses trop les seins. Tu vois ce que j’endure ? Difficilement elle te laissera t’approcher d’elle et dès que tu jouies une seule fois, il faut savoir que c’est fini et que ça fait encore dans deux ou trois semaines. C’est quand elle autre à l’envie qu’elle commencera à te toucher de partout.
Bouche béante, j’écoutais papa Katy exprimer sa rage, son mécontentement.
Comme une mère ôte l’habit à son enfant, mon compagnon m’ôta mon habit. Je le laissai faire. Une fois encore, il attrapa mes seins et commença à les masser. Nos lèvres rapprochées, on se suçait les langues. On s’échangeait de salive. Pendant que la sienne coulait dans ma bouche, la mienne coulait aussi dans sa bouche. Doucement, il m’ôta ma culotte et puis mon caleçon. M’écartant grandement les jambes, papa Katy approcha une fois encore sa langue dans mon temple herbacé ; oui, dans mon jardin rempli de poils. Toujours était-il qu’il arrivait vite à localiser mon clitoris qu’il attrapait sur la langue.
Ses deux mains me parcouraient tout le reste du périmètre du corps. Il m’excitait de ses caresses et moi, j’en prenais goût.
– Viens me tailler la pipe, me dit-il doucement.
– D’accord, alors viens t’asseoir.
Et je me levai pour lui laisser place. Effectivement, il enleva sa culotte et laissa à découvert son pénis bien tendu lequel j’attrapai dans la bouche en moins de trois secondes.
Savez-vous à quoi ressemble un pénis dans la bouche ? Avez-vous une fois goûté à un bonbon au lait ? Un bonbon fabriqué à base du lait uniquement ? Voyez-vous comment c’est plus doux que les bonbons fabriqués à base d’autres recettes ? C’est comme ça qu’était doux son pénis dans ma bouche.
Pendant que je lui faisais cette fellation, mon clitoris respirait au sommet des petites lèvres de mon vagin on dirait un athlète ayant fait un parcours de 300km.
Ah oui, il respirait comme il ne l’a jamais fait, mon clito. Il commença à me gratter et, gardant le marteau de mon pointeur avec une main, je palpais mon clitoris avec les doigts de ma deuxième main.
Papa Katy me souleva et me fit coucher sur le dos dans le divan. M’insérant son pénis avec délicatesse dans le vagin, il reprit ses va-et-vient incessants avec ses deux mains calées sur ma poitrine, me saisissant les deux seins.
Mon pointeur me baisa pendant trente minutes avant de finir par libérer son liquide blanc cette fois sur mes poils.
Son sperme était tellement beaucoup que ça coulait de mes poils sur le coussin. Je me levai et me dirigeai dans ma chambre avec mes clics et clacs, abandonnant mon don Juan qui portait déjà sa culotte avec un sourire calé sous les dents.
Lorsque j’arrivai dans ma chambre, je me dirigeai directement sous la douche pour aller me débarrasser de ces débris versés dans mes poils et qui collaient mes poils d’ailleurs. Après la douche, je m’allongeai dans mon lit pour récupérer mon souffle et mes énergies perdues.
J’étais là, repensant à ma nouvelle vie de baise quand tout à coup, Katy pénétra dans ma chambre pour me saluer et pour me charger la commission de sa mère.
– Ta maman m’appelle ? lui demandai-je comme si sa mère n’était plus la mienne.
Et c’est bien possible ! Si ma mère et moi avons commencé à manger le même plantain, comment je peux encore la traiter comme une mère ? Nous sommes d’office devenues des rivales !
La petite fille acquiesça de la tête et je me roulai du lit pour aller répondre à l’appel de ma mère.
– Bonne arrivée maman, lui lançai-je depuis les escaliers en continuant ma marche vers elle.
– Oui Joanita, comment ça va ?
– Ça va bien, maman, merci ! Et ta matinée, j’ose croire qu’elle s’est bien passée !
– Oui très bien, ma fille ! C’est quelque chose que je ne comprends pas !
– Comme quoi, maman ?
– Approche-toi un peu de ce fauteuil, tu verras quelque chose dedans, me dit ma mère en m’indexant le fauteuil en question qui n’était autre que celui dans lequel son mari et moi venions de faire l’amour.
C’est alors que je me figurai de n’avoir pas essuyé ce sperme qui avait coulé de mes poils pour tomber dessus.
– Oh maman, c’est du yaourt ! C’est moi qui ai fait la bêtise. C’est tonton qui m’a apporté du yaourt et lorsque je buvais ça, j’ai commencé à somnoler et c’est peut-être pendant ce temps-là que c’était versé dans le divan.
Ma mère, regard braqué sur moi, m’observait comme pour me signifier que ce que je racontais n’était digne d’aucune vérité.
– Quoi d’autre, maman ? lui demandai-je.
– Ça, ce n’est pas du yaourt, Joanita ! J’ai pourtant goûté ça et ça n’a aucun goût sucré !
Oh ma pauvre mère, comme elle est curieuse ! Comment peut-on être curieuse jusqu’à ce point ?
– Maman, retiens que lorsque le yaourt est laissé à la portée du vent, il perd tout son goût sucré. Et dis-moi, si ce n’est pas du yaourt, alors c’est quoi ?
Ma mère, ayant perdu d’arguments, haussa les épaules comme pour se mettre d’accord du mensonge que je venais de lui faire avaler.