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CHAPITRE 3 :Ma première expérience

Le mari de ma mère m’a tellement mouillée de ses doigts qui ne lâchaient pas mes tétons et de sa langue qui me suçait les lèvres au point où j’ai fini par me perdre. Je sentais ma culotte mouillée alors que je n’avais ni versé l’eau dedans ni fait du pipi. J’avais peur que ce soit le deuxième cas.

Oui, comment expliquer au monsieur que j’ai fait du pipi dans mon caleçon. C’était un peu louche, ce que je sentais dans ma culotte.

Malgré moi et mon état d’âme, je me donnai le courage et l’audace à aller voir de ma main, ce qui se passait entre mes poils dans mon caleçon. Et c’est comme ça je me surpris avec un lubrifiant qui coulait de mes entrailles. J’ouvris la bouche pour marquer ma surprise.

Tu as quoi ? me demanda l’époux de ma mère.

Il y a de l’eau gluante dans ma culotte, lui répondis-je.

De l’eau gluante ? Ce n’est pas de l’eau, c’est un lubrifiant naturel.

Mais je n’avais jamais vu ça !

C’est bien possible ! C’est parce que personne ne t’avait jamais caressée comme je te caresse.

C’est vrai ! Je ne me suis jamais faite caresser par qui que ce soit.

C’est compréhensible. Alors, as-tu aimé ma façon de te caresser ?

Je gardai mon silence un moment avant de le regarder droit dans les yeux pour lui répondre « oui ».

Merci ma carotte ! J’aime tes seins ; ils sont très jolis comme ceux d’une blonde.

Une blonde ? Avez-vous une fois fait l’amour avec une blonde ?

Non, mais je vois ça en télé.

Ah d’accord ! Donc vous appréciez mes seins ?

Oui, ils sont canons et très jolis. J’ai fini par t’aimer.

Oh non, sinon ma mère va me tuer !

Ta mère n’est pas compliquée, crois-moi. Et si ça te chante bien, nous ferons tout en cachette sans quelle ne soupçonne rien.

Alors là ça marche !

Je jetai un clin d’il à la pendule murale et aperçus qu’il tanguait être midi, lheure du retour du service de ma mère.

Maman sera de retour dans quelques minutes.

C’est vrai ! Habille-toi rapidement. Et d’ailleurs, je veux aller rendre visite à mon ami.

Le français dont vous avez parlé ?

Exactement ! Il est mon seul ami d’ailleurs parce que lui et moi parlons tout le temps du business. Nous faisons le même business.

C’est super ça !

Et je saisis mon maillot que je reportai avant de quitter le salon.

Arrivée dans ma chambre, je commençai à revivre les scénarii de tout à l’heure. Les yeux fermés, je revoyais mon petit papa en train de me sucer les seins. De mes mêmes yeux fermés, je me surpris en train de mouiller. Lentement, j’introduisis mon index dans mon vagin pour voir si le liquide y était encore. Mais grande fut ma surprise de constater que ce liquide avait pris le large. Je me souvenais encore et encore de cette instance lorsque j’entendis quelqu’un toquer à ma porte. Lorsque j’allai ouvrir, j’aperçus mon petit père debout derrière la porte de ma chambre.

N’êtes-vous plus parti ?

Oui, j’y vais déjà ! Tiens ce téléphone, il y a plein de vidéos là-dedans ! Sois en train de les suivre pour te divertir.

Ah, merci infiniment ! J’étais même ennuyée.

Je le savais ! Tiens et laisse-moi partir rapidement. Quand ta mère serait là, dis-lui que je suis allé voir Franck.

Votre ami s’appelle Franck ?

Oui, Franck Descartes.

D’accord, n’oubliez pas de le saluer de ma part.

D’accord, je ne manquerai pas.

Et l’époux de ma mère s’effaça de la devanture de ma chambre et moi, je rejoignis mon lit.

J’entrai dans la galerie du téléphone et au lieu des vidéos pour enfants, ce furent plutôt celles d’adultes qui m’accueillirent.

Eh oui, des vidéos pornographiques. N’importe quelle vidéo que j’activais me donnait accès aux vidéos au cours desquelles l’on voit deux ou plusieurs individus nus. Je les voyais en train de se baiser. Je n’aimais pas voir ces vidéos mais pour ma première fois que je me suis mise à les visualiser, je ne pouvais pas dire avec exactitude ce qui me donnait lenvie de continuer. C’est alors que, après avoir défilé et défilé encore les diverses vidéos, j’ai fini par en choisir une laquelle je me mis à suivre. Pour me concentrer sur la vidéo, je me levai et allai verrouiller ma porte. J’enfonçai les écouteurs que m’avait remis mon petit père dans les oreilles et lançai le film.

Dans mes oreilles, j’entendais « Aï ; oh bébé ; fuck me please ; yes fuck me ; oh my God, I like you ».

Ce que racontait la jeune fille n’était pas mon souci ; mon souci, c’était comment le monsieur la baisait. Le monsieur avait un long pénis et ça m’étonnait de voir que tout le pénis la pénétrait. Je me disais que sûrement, il y avait un long chemin que Dieu avait tracé dans le ventre de la jeune fille et qui prenait chemin par son anus. Sinon, c’était étonnant que tout le pénis du monsieur entre dans son vagin et au lieu quelle pleure, c’était « Oh my God » elle trouvait à dire. Ses seins étaient tellement tombés on ne dirait même pas que cétait une jeune fille qui n’avait pas encore fait d’enfant.

Dans la vidéo, lorsque le monsieur avait fini de la baiser correctement par devant, il la retourna sur le ventre et se mit à la baiser encore par derrière. La seule chose qui m’étonnait, c’était le fait que partout où le monsieur la baisait, tout le pénis du monsieur, un pénis de plus de dix mètres lui entrait dans l’intérieur. Devant cette surprise, je me suis donnée le plaisir d’enfoncer mon index dans ma chatte pour voir si ma chatte pouvait avaler tout mon doigt mais grande a été ma surprise de constater que tout de suite, des douleurs par-ci par-là ont déclenché et je retirai calmement mon doigt pour reporter ma culotte.

J’ai suivi deux à trois vidéos quand même avant de rejoindre ma mère au salon parce qu’il sonnait déjà treize heures.

Bonne arrivée maman, lui dis-je quand j’arrivai près delle à la table à manger.

Tu es enfin sortie ?

Tu savais que j’étais dans la chambre ? lui demandai-je.

Où irais-tu ou te crois-tu toujours auprès de ta mémé ? J’étais venue toquer fatiguer et puisque tu ne répondais pas, je me suis dit que tu dormais.

C’est vrai, je dormais au point où je ne tavais même pas entendu toquer. Katy, tu as fait un peu ?

La fille de ma mère, fourchette suspendue en l’air, me répondit « oui » de la tête.

Tu as l’idée de là où est allé son père ? me demanda ma mère.

Oui, lorsqu’il sortait, il m’a dit qu’il allait voir un certain Franck ; peut-être que tu le connais.

Oui, c’est son auxiliaire en business. Il est parti il y a longtemps ?

Je pense à onze heures trente minutes.

D’accord ! Et tu as déjà mangé ?

Oui, j’ai pris du thé le matin. C’est parce que j’avais sommeil que je n’ai pas attendu midi pour prendre le repas de l’après-midi.

D’accord, il faut te servir alors.

Et sans commentaire aucun, je m’installai pour me servir.

Franchement, il y avait la belle vie sous le toit du mari de ma mère. Je ne fais rien dans la maison que de dormir, me réveiller, me doucher et manger. C’était trop cool !

Deux heures plus tard et papa Katy, l’époux de ma mère est revenu de sa sortie. Sa femme se maquillait et s’apprêtait déjà à prendre le départ de son boulot.

J’ai demandé après tes nouvelles à ta fille et elle m’a dit que tu es allé voir Franck.

C’est vrai, répondit-il à ma mère en se dirigeant vers les divans pour aller s’asseoir.

Bien, il est déjà l’heure et il faut que j’y aille !

Pas de souci ; Katy, ça va ?

Et la petite fille, ne voulant pas faire entendre sa belle voix, acquiesça de la tête. Ma mère la traîna vers la cour et elles deux montèrent à bord du véhicule.

Ma mère a lhabitude daller déposer sa fille Katy à son école avant de continuer son chemin et de retour, elle passe encore la chercher avant de revenir à la maison.

Je venais de rejoindre le salon après avoir ouvert et fermé les battants qui ont servi la sortie du véhicule de ma mère.

Je faisais semblant de monter les escaliers lorsque la voix de papa Katy me rattrapa.

Jen redescendis pour venir à son adresse.

Tu allais dans ta chambre ? me demanda-t-il.

Oui, parce que j’ai un peu sommeil.

Tiens ce sachet, dit-il en retirant de son sac un sachet emballé.

Il y a quoi dedans ?

Aimes-tu du yaourt ?

Oui, j’aime trop le yaourt.

J’en ai pris six ! Quatre pour toi et deux pour moi.

Très contente, je saisis le sachet des mains de mon donateur et en sortis les quatre qui étaient miens.

Merci beaucoup ! m’exclamai-je en commençant à ouvrir le premier bidon. Je portai le bidon aux lèvres après lui avoir ôté le couvercle. Mon compagnon, au lieu de faire comme moi, il me tira vers lui et me fit asseoir sur ses jambes. Une fois encore, il commença à me caresser comme le matin. Mais cette fois, avec dévouement. Il ne tarda pas à me déshabiller complètement et à me faire coucher dans le divan. Il installa par la suite, sa tête entre mes jambes et commença à me sucer ; non, à me lécher ; oh, qu’est-ce que je raconte ? De sa langue, il me faisait le cunnilingus. J’étais tellement excitée que j’avais abandonné mon bidon de yaourt tomber à même les carreaux. J’ouvris brusquement les yeux et aperçus le contenu du bidon en train de se vider par terre mais je n’avais pas la force pour aller le redresser ou pour demander au monsieur de faire quelque chose de peur que tout le yaourt se renverse par terre.

Ah oui, le monsieur me léchait les lèvres de mon vagin et je me retrouvais aux vingt-et-unième siècle. Ah oui, je me voyais dans un avion qui allait sur la France ; non, sur le Canada. Vous savez comment le miel est doux sur la langue ! C’est ce même goût que le mari de ma mère me donnait dans le corps. J’étais allongée dans le divan mais dans mes imaginations, je me voyais à un pas du paradis. Il me parcourait les poils de sa main fraîche et je me demandais s’il revenait de la douche. Après m’avoir longuement léché la matrice, il ôta son pantalon et me laissa voir sa grosse bite qui était en érection.

Wé ! Un pénis tout joli ! C’est alors que je compris pourquoi sa fille Katy était diablement belle on dirait une métis.

Ah oui, le pénis de papa Katy était très joli ; je dis, très joli. Son pénis avait du charme et sans mentir, l’envie de la croquer comme une carotte commença à m’absorber. Sans lui adresser aucun mot, je me roulai du divan pour me mettre à genoux devant ses pieds. Doucement, jattrapai sa carotte dans la bouche et commençai à la sucer tel un bonbon. Tout de suite, j’ai commencé à kiffer son bangala. Eh oui, je le kiffais. Lui taillant la pipe, j’avais oublié le monde derrière.

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