Chapitre 3
3
******Ryan
Assis sur le balcon de mon bureau, pense encore à cette blague que mon enfoirés de paternel ma annoncé ce matin , me marié à cette fille jamais même dans mes rêves les plus fous. J’ai 22 ans je suis encore jeune, j’ai pas la tête à sa en ce moment depuis que l’un de mes hommes ma vendu à mes ennemis j’ai perdu beaucoup de territoire, il faut à tout prix que je reprends mes terres.
-jefe m’appelle mon bras droit Sandro
-sa combien de fois inh, viens plus dans mon bureau sans frappé, la prochaine fois je te plombe.
- Oui désolé jefe , votre père vient d’arriver.
Non , je veux surtout pas m’engueuler avec lui , surtout pas. Il croit qu’en venant il peut me convaincre d’épousé cette femme.
- Fait le entré dit-je a Sandro qui est un frère pour moi , il s’est toujours comment faire son travail et me conseil
- C’est compris jefe dit-il en sortant
Après quelques secondes , mon paternel entre dans mon bureau. Je le regarde droit dans les yeux, sa a été toujours comme ça entre nous depuis le jour battus ma mère jusqu’en sang pour le simple raison qu’elle filtre avec le voisin.
- Tu ne salut pas ton père dit-il les mains dans la poche.
- Tu veux quoi dit- je en tournant la tête vers l’horizon.
- Toujours aussi mal poli, j’ai appris que tu as perdu beaucoup de territoire, je peux te les récupérer en un clin d’œil mais dit-il en souriant légèrement.
- Je ne suis pas un gamin, je peux les récupérer moi-même , j’ai tout faire moi-même jusqu’à ici. Alors je peux.
- Et comment dit-il en s’approchant de moi, d’après mes renseignements sa fait quelques mois que tu essaye mais jusqu’à la rien , tu sais bien que je peux t’aider tu es mon fils et je t’aime .
- Et tu veux quoi en échange ?dit-je en l’observant il a une idée derrière la tête, il ne propose jamais sont aide sans rien en retour.
- Tu accepte le mariage avec Rebecca dit mon enfoiré de paternel.
- Non dit-je calmement très calmement.
- Alors tu na plus besoin de ses territoires je ne sais pas pourquoi tu refuse de te marier , tu a tout sans une femme , ta mère est très heureuse pour ton mariage .
- Ah oui, si j’accepte ce mariage, c’est pour ma mère, mettre sa bien dans ton crâne et la prochaine fois que tu essaye de me faire suivre je te brise la nuque dit-je en sortant de mon bureau.
- Je suis ton père, je ne veux que de ton bien , j’ai quitter New York pour t’aidera récupérer tes affaires, le mariage aura lieu dans 3 jours elle viendra s’installer avec toi demain . Au-revoir mon fils.
Je ne peux pas croire que je viens d’accepter ce mariage, marié n’était pas dans mes projets mais maintenant toutes a changé . Je marche dans le couloir en repensant à mon frère on était tellement inséparables quand on était ado mais quand j’ai suivie mon père un soir, j’ai commit mon premier meurtre lorsque Rodrigo ma vue recouvert de sang il s’est isolé depuis ce jour là . Lorsque j’ai appris son décès j’ai pas puis me contrôler, je suis pas un faible dans mon organisation il n’y a pas de faible mais c’est quand même mon frère, mon sang. La sonnerie de mon téléphone me sort de mes pensées, je jette un coup d’œil sur l’écran qui affiche le nom de ma sœur Éliane.
- Salut dit-elle au bout du téléphone
- Oui ça va ?
- Oui , c’est vrai que tu te marie ? Me demanda-t-elle avec sa douce voix
- Ouais
- Tu es heureux ?
Heureux ? Pourquoi je le serai vue que je suis devenu un putain de bambin qui ont m’oblige de se marié à une veuve
- Si je suis heureux ? mais bien sûre que je suis heureux dit -je avec sarcasme
- Ah c’est vrai dit -elle en éclatant de rire
- Comment tu t’en sort avec les études ?, La demanda-je en souriant, Emilia a toujours le don de me faire sourire à chaque fois .
- Tu sais quoi , papa accepte que je continue mes études en Mexique
- Et tu est d’accord ?
- Tu rigole mais j’ai toujours attendu ce moment, je suis heureux de vivre à avec toi.
- Ok , je raccroche j’ai un appel en cours dit-je en décrochant l’appelle de Kate une prostituée que je fréquente depuis quelques années déjà
- Salut toi , passe me prend au bar dit -elle en marchant vulgairement sont chumwigom comme dans ses habitudes.
- Je suis ton salope moi , tu m’appelle la prochaine fois avec sa et je vais mal de cogné.
Elle pousse trop d’ailles a peine deux ans de chambre en l’aire , elle se croit tout permis
- Mais chéri je coupe l’appel avant qu’elle ne finisse sa phrase.