Chapitre 8
- J'avais rien compris à ce qui m'arrivait, je me suis retrouvé collé sur le mur de cette villa, le feuillage me faisait mal, il piquait et surtout j'avais peur qu'un insect se faufile dans mes cheveux mdr, Donc la main qui serrait mon bras bah elle serrait mon cou mtn, j'ai pu reconnaître Saphyr comme plusieurs d'entre vous ont deviné ; Bref, je voyais la haine et la colère dans son regard, il me bloquait de son grand corps là je pouvais même pas bouger, il m'éttoufait surtout qu'il serrait trop fort mon coup j'avais commencé à avoir beaucoup de mal à respirer, j'essayais de le pousser mais ce corps de béton ne bouger pas, et je commençais à m'impatienter, j'avais peur de mourir étouffée, je commençais à suffoquer en essayant de retirer sa main de sur mon coup mais d'un coup il a trop trop serré d'avantage, j'avais plus de force, mes poumons se vidaient de tout leur oxygène, je me sentais au bord du malaise et quand lui je crois qu'il a vu que je souffrais vraiment bah il m'a relaché, je l'ai poussé et je suis allée m'assoire au bord du trottoir, je reprenais mes esprits alors que lui me regardait toujours avec haine alors que ça devrait être moi qui doit avoir la haine contre lui il a faillit me tuer Bordel !!
Moi : Non, mais t'as perdu la tête toi ! T'a failli me tuer connard ! ( Le gifle )
Saphyr :Attend attend, tu t'es pris qour qui là hein ?? C'est qui que tu traîte de connard petite peste ?!
Moi : Je vois pas quelqu'un d'autre si à part TOI !!
Saphyr : Tu baisse le ton avec moi, je suis pas ton pote ! Tu assumerais moins quand tu goutera à mon poing !
Moi : De toute façon vous êtes tous que des sauvages, à tout resoudre par la violence, je vous ai rien fait laissez moi tranquille putain
Saphyr ; Fallait moins faire la maligne ou plutot la salope à traîner comme ça !
O-o' Alors là, c'était vraiment le choque, moi une salope ?? Le mec je lui offre mon premier baiser et lui là il vient me traîter de salope alors qu'aucun mec à part lui m'a touché !
Moi : Mais oui je suis une salope de t'avoir embrassé, même je suis la plus grosse des salopes quand je t'ai laissé me toucher, j'ai laissé un salop me toucher, un clochard, un CHIEN !!
Bon bah, là aussi j'ai rien compris à ma vie que je l'ai sentis entrain de me ruer des coups, s'il me prennait pour un mec ou un truc du genre bah il a du se tromper car il frappait vraiment de toute ses forces, je me suis retenue de crier, je voulais pas lui montrer qu'il me blessait, ou que je souffrais, et le con il calculait ses coups, il me frappait avec son pied qu'au ventre et avec ses mains au dos, quand il a finit je me suis levé j'ai arrangé mes habits et mes cheveux pour rien laisser paraître, et je continuais la route vers l'épicerie, il m'a retenu par mon bras et m'a tiré vers lui :
Saphyr : Désolé je voulais pas, mais ça t'apprendra à hausser la voix avec moi je suis un de tes potes !
Moi : Lache moi ! Je me dégoute de t'avoir connu wallah !
Saphyr : 9owdi sirri ( Casse Toi )
Moi : 9owed nta nite (casse toi toi ! ), je t'ai pas demander de me suivre, là tu m'a frappé, j'ai rien dis car je fais pas le poid, mais tkt la roue tourne
- Après je suis partie vers l'épicerie, j'ai pris toutes les courses qu'il fallait, en fait j'ai pris que pour les filles, Yanis, les potes à mes frères et moi, ainsi que les ingrédients pour faire des beignets, des crêpes et des gaufres, je voulais provoquer mes frère et les laisser en chien, car je sais qu'il raffollent de ma patisserie Sans oublier, la meilleure création dans le monde du chocolat : LE NUTELLA !!!
- Bon après, je suis rentrée, j'ai donné à la main après les avoir fait jurer de rien donner à Youssef et Sahyr, car Yassine, Yanis et Moncef ne m'ont rien fait eux, Même ces 3 là, je leur ai pris des bonbons, je suis passée à la cuisine, les filles m'ont suivi, elles ont dit toutes les 3 en même temps :
Sarah : Tu nous as rien dis ..
Soukaina : Tu sais, on est toujours là nous
Nouhaila : Hbiba ne t'inquiète surtout pas, tout va se résoudre
Moi : ( les coupant ) : On peut oublier svp ? Faîtes comme si vous n'avez rien entendu, moi j'ai déjà oublier et tourner la page, bref Sarah stp passe moi le batteur
- Après elle m'a sortie le matériel et tout, j'ai fais des gaufres des beignets et des crèpes, y avais une trop bonne odeur qui régnait sur toute la maison, des fois les gars déscendait me faisait des compliments, y en a même un qui m'a proposé le mariage mdr, après vient le tour du chocolat, alors je vous explique en même temps je vous donne ma recette secrette, je prend une casserole, je la met sur le feux, je met un demi verre de lait, puis 3 grosse cuillère de lait en poudre, puis le lait là celui de nestlé le sucré pour la patisserie, j'en met un verre, puis un peu de beure, du sucre, du chocolat en poudre puis 10 grosse cuillère de Nutella, je laisse fondre, puis j'en met sur les gaufres et les crèpes, j'appele les mecs un à un, je leur donne leur assiette et leur sert du jus toujours en leur faisant jurer de rien donner mdr une vrai gamine mais bon, je savais que ça torturrait mon frère et Saphyr qui sont de gros mangeur, et puis qui peux résister au Nutella et sa bonne odeur ??
- Quand j'ai servis tout le monde, il restait la part des deux connards là, je les voyais qui regardait les autres assiettes comme s'ils avaient jamais vu de la bouffe, alors qu'à la maison j'en faisait tout le temps, bref je reviens je leur sert, je réchauffe le chocolat je leur verse et je leur jette l'assiette devant eux sur la table en les fusillant du regard, oui je suis pas aussi crevarde que ça, je m'aamusais juste à les torturer quand ils pesaient qu'ils aurait pas leurs parts, puis sans dire un seul mot, je monte ramasser mes affaires et saute de la fênetre, je m'endore, ils devait déjà faire 18h 19h, je me douche, me change, et m'allonge ...
- Et je pleure ma malchance, mon sort, je comprenais pas ce qu'ils trouvaient tous chez moi à me frapper tout le temps, je m'enfermais dans ma bulle de plus en plus, j'avais du mal à parler de ce que je ressentais, j'avançais fière, forte, dure de caractère, mon coeur déborde de mal, j'encaisse et j'encaisse et j'encaisse, je parle pas de mes sentiments, de ce que je pense, de ce que je vis, de la souffrance de mon âme, la maison était vide, tout comme moi, y a pas de chaleur familliale dans cette baraque qui m'a vu grandir,mais quand ça m'arrive de parler des évenements blessants, je narre que les faits, rien de sentimentals, et j'ai besoin de vider, vider mon chagrin, ma déception mon désespoir car mon coeur était remplie et ne pouvais plus en contenir, pourtant je continue d'accumuler les malheurs, je pleurais silencieusement quand je vois une ombre à ma fênetre me redresse essuie mes yeux, je peux pas qu'on sache que j'ai pleurer, cette ombre rentre dans ma chambre et s'approche de mon lit...