Chapitre : 03

Il sonnait exactement 06h30min, coucher sur mon lit, j'entendais une discussion depuis le salon. Les bruits et les effets de la discussion était tellement forte jusqu'au point ou je n'arrivais pas à dormir, je suis allé chercher mon casque pour le placer mais malheureusement le bruit était toujours incombrant.

___ Qu'est ce qui se passe ? Demandai-je à moi-même.

Je ne pouvais pas supporter ce bruit pendant longtemps, à voir la façon dont les deux voix se battaient pour s'expliquer, on aurait cru que c'était dans une série d'action ou l'enfant d'un président a été kidnappé ou je ne sais pas quoi. J'ai enlevé mon casque et je suis sorti de ma chambre. Une fois au niveau de l'escalier qui permet d'avoir accès au salon, je me suis arrêté au bon milieu pour écouter ce qu'ils disaient. Pour ne pas se faire remarquer, je me suis rabaissé et j'ai commencé par leur regarder à travers la petite espace qui existait entre le fer des escaliers. Je me suis calmé et j'ai commencé par entendre l'objet de la discussion.

___ Quand vas-tu arrêter de mettre la faute sur moi John ? Demanda ma tante avec les yeux remplir de peur, à la voir, vous allez croire que c'était une femme innocente ou une femme qui se préoccupe des autres des autres mais c'était la réincarnation du diable en personne.

___ Thérèse, nous avons déjà fait 15ans de mariage, je dis bien 15ans. Que m'as-tu rapporté en dehors des stresses ? Quoi ? J'aimerais que tu me le dises. Durant ses 15ans, tu m'as même pas donné un brindille de balai même pas une poupée.

___ Ah bon ? C'est comme ça tu me parles aujourd'hui John, que je ne t'ai rien rapporté en dehors du stress ? Merci beaucoup à toi. Dis-moi m'as-tu laissé l'occasion pour que je tombe enceinte ? Est-ce que tu me satisfais ? Dis-le moi John.

___ Le sexe ? C'est ça tu veux trouver comme excuse, on l'a fait ici pendant une semaine. Tu me disais que tu tomberas enceinte, et ci et ça. Dis-moi où est la grossesse ?

___ Tu commences par me faire flipper John. Je n'ai rien à te dire et d'ailleurs n'oublie pas que mon neveu est ici.

___ Ton neveu dort et je ne suis pas la responsable de cette dispute, maintenant, tu vas me laisser respirer. J'ai plus de chose sérieuse à faire que de me chamaer avec toi. Je vais voir ton neveu, tu as la chance qu'il soit la.

___ Sinon tu me feras quoi John ? Me renvoyer de la maison oubien quoi ?

___ Loin de la. J'oubliais, tes copines la, elles ne te conseillent pas ? Oubien lorsque vous vous rassembliez c'est tout juste pour parler des choses qui n'ont aucun fondement.

___ Et toi ? Lorsque tu te retrouves avec tes copains, qu'est ce qu'ils te disent ? De m'insulter ?

___ J'en ai mare

Je vis le mari de ma tante prit place sur le divan, au départ, je me disais qu'il avait tort d'insulter ma tante de cette manière. Mais maintenant j'ai totalement compris, il avait raison, il avait raison d'insulter cette femme qui jouait à l'innocente. Pourquoi ne tombait elle pas enceinte ? Vous allez le connaître devant, je ne suis pas encore en mesure de vous parler.

Laissez-moi vous parler de cet homme, cet homme que je respecte beaucoup, un homme digne de nom, un homme sans façon, en le voyant, vous allez penser que c'est un homme vraiment méchant, un homme qui fait flipper alors que c'était totalement le contraire. Il était un peu gros, pas trop gros de cette façon mais il était un peu gros quand même. Je ne maîtrise pas bien son âge, mais il était beau, si c'est la beauté ? Je dirai qu'il était l'incarnation de la beauté, je ne sais pas pourquoi ma tante veut coût que coût le rendre la vie difficile en tout cas je dois une partie de ce que je suis devenu à cet homme aujourd'hui. Je ne suis pas encore en mesure de vous faire la description, mais laissez-moi vous dire qu'il n'a aucun défaut simplement qu'il s'énerve trop vite. C'est l'unique chose que je peux dire vu que ce n'est pas cool. Il passait toujours le sentiment des autres avant toute chose. Il s'appelle John, un très bon prénom, il travaille dans une société de transformation agroalimentaire, il est le PDG et il gère très bien sa boîte. Je me demande si c'est la raison pour laquelle il avait notifié à ma tante de ne pas travailler. Je n'ai aucune idée.

De loin, je regardai mon oncle qui fatigué de voir le visage de ma tante se leva et se dirigea vers moi. Pour ne pas se faire remarquer, je me suis levé tout doucement pour aller dans ma chambre à quatre pieds, c'était vraiment comique.Arriver dans ma chambre, j'ai pris place sur le lit.

___ Brayane tu dors toujours ? Demanda monsieur John.

___ Non papa, je suis déjà debout.

Il ouvrit tout doucement ma chambre et rentra. Son visage était un peu souriant, je me demande comment il arrive à supporter ce basard, comment fait-il pour garder ce sourire ? Je n'ai aucune idée, l'essentiel est qu'il est un homme remplit de ressource. Il s'approcha de mieux, me regarda pendant un bon moment avant de s'asseoir à mes côtés.

___ Tu es là ? Demanda t'il

___ Oui papa, je suis la.

___ Comment vas-tu ? Tu t'ennuies pas ? Tu n'es pas fatigué par hasard ?

___ Non papa tout va bien, merci pour l'inquiétude.

___ Tu sais, tu peux tout me dire.

___ Ça va très bien.

___ J'espère que tu te sens à l'aise ? Je ne t'ai pas vu hier.

___ Oui je dormais déjà au moment que vous êtes rentrés.

___ Oui c'est vrai. Va te doucher, on va sortir entre garçon, je te ferai plaisir.

___ Vous devez aller au boulot non ?

___ Si si mais j'aimerais te faire plaisir.

___ J'ai compris. Je vais me doucher.

___ Je t'attendrai Ici.

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À suivre.