Chapitre 5

5

~~~~Daniella Rivera Kim

L'homme s'approche de moi d'un démarche très lent alors que mon cœur bat a tout rompre.

Je recherche un objet qui peut m'aider a me défendre mais rien, la seule chose que je voie c’est un pair de ciseau un peu loin de moi.

- Vous n’aviez pas besoin de sa dit-il en suivant mon regard.

- Qu’est-ce que vous voulez ? Dis-je en étant sur mes gardes.

Il sort quelques chose de sa poche et quand je regarde bien, je vois un téléphone , le mien évidemment.

- Ou es que vous aviez eu sa ?

Sans me répondre, il me remet le téléphone et je m'empresse de le prendre et commence a fouiller. Aucune de mes photos ni les vidéos ne sont plus a l’intérieur.

- Qu’est-ce que vous aviez fais de mes photos ?

- Vous recevra les consignes du patron.

Puis il repars. Mon cœur commence a battre.

La porte d’entrée s’ouvre a nouveau sur Harold alors que je suis totalement perdu dans mes pensées. Comment ? Pourquoi ? Le porte devrait brûlé dans l'explosion et moi aussi mais, c’est le contraire qui s’est passé.

- Tu m’écoute ?

Je reviens a moi quand il me touche le bras

- Qu’est ce qui t'arrive ?

- Rien pourquoi ?

- Tu as l’air ailleurs

- C’est rien

Quelques minutes après que je range mes affaires dans mon sac, le docteur entre dans la pièce .

- Vous auriez besoin de ses médicaments pour la douleur dit-il en me donnant deux boites contenant .

- Merci dis-je en prenant les médicaments pour les mettre dans le sac.

*

Nous entrons dans ma voiture et comme Harold avait décidé de conduire la voiture, je me suis penché vers le pas vitré de la voiture pour regarder les voitures passant.

Je suis focaliser sur cet homme et ses paroles. Comment sa son patron ? Je ne me souviens pas d’avoir des problèmes avec qui que ce soit sauf les hommes que j'ai déjà mit derrière les barreaux.

Quelques minutes après, je suis au boulot.

Quand j’entre a l’intérieur, tout le monde se rue sur moi pour une étreinte interminable.

- Bienvenue parmi nous Daniella

- Merci

Je regarde de loin et mes yeux pose sur le pervers dans un fauteuil roulant.

Sa me fait beaucoup plaisir de le voir dans cet état, j’aurais dû lui mettre une balle entre ses jambes.

- Bon retour parmi nous

- merci

- alors dit moi , il a du nouveau sur l’affaire ?

- Vous êtes sûre de travailler aujourd’hui alors que vous venez de sorti de l’hôpital ? Demanda Pedro en me regardant.

- Oui je vais bien a présent.

- Alors, nous avions une nouvelle vraiment frappant.

- Je t’écoute

- Nous suivons depuis quelques temps les appels de la mère de macgee.

- Et qu’est-ce qui ne vas pas ? La pauvre femme, elle doit être dévastée.

- Elle communique avec un homme qui n’est personne d’autre que le kidnappeur de la fille.

- Je croyais qu'elle devrait nous informer a chaque fois

- Il parait qu'elle est prête a tout pour ne pas que ses secrets se dévoile.

- Quel secret demanda-je toute perdu.

- Nous avions pu identifié l’homme qui est l’amant de la mère, donc la petit macgee n'est pas la fille de son père actuel.

- Je croyais que la petite s’est fait kidnappé

- C’est le cas

- Il faut qu'on lui rendre une petite visite

Je prend un manteau puis sort de la maison accompagné de mon mari.

*

Une fois dans la maison de la mère de mâchée, je sors de la voiture toujours accompagné d'Harold, nous dirigeons vers la porte.

Je toque a deux reprises avant que la mère ne vienne m’ouvrir avec un regard triste. Elle croit que personne n’est au courant de ce qu'elle manigance.

- Bonjour madame ROM dis-je en la regardant de façon suspecte vue qu'elle tremble.

- Salut dit-elle précipitamment.

- On peut entré ?

- Non…je veux dire…non..je fais la ménage actuellement et…je

- D’accord dis-je simplement en sachant très bien qu'elle vient de me mentir en me regardant droit dans les yeux.

- Vous aviez du nouveau concernant ma fille ?

- Oui c’est pourquoi nous sommes la.

- alors ?

- Vous aviez oublié de nous informer de vos appels dis-je en la regardant .

- Quoi ??? Je…c’est

- On ‘est au courant de votre liaison avec Orlando

- De quel liaison vous parlez ?

- On sais tout, n'essayez pas de nier quoi que ce soit.

Elle ferme les yeux durant quelques secondes et quand il les ouvres a nouveau et quelques larmes coulent au long de ses joues.

- Je suis désolé je ne voulais pas perdre mon mari.

- Sa ne prouve pas le faite que vous nous aviez mentir sur toute la ligne.

- Ma femme a failli perdre sa vie a cause de vous dit Harold en faisant pleurer de plus belle la femme.

- Je suis tellement désolée mais, il m’avait dit que si je vous informe, je ne reverrai plus jamais ma petite Macgee.

- Je veux que vous nous aidiez a trouvé Orlando et votre fille.

- Je sais qu’il travail en tant qu'homme de main rien de plus.

- Il travail pour Qui ? Demanda-je

- J'en sais rien

Je tourne vers Harold

- Demande a Pedro de chercher pour qui Orlando travail

Il sort son téléphone et passe un appel puis quelques minutes après il revient.

- D’après Pedro, il travaille pour une grande organisation dirigé par un certain Alexander Alvarez

- Le criminel le plus recherché de l’Amérique latine.

- Oui, la CIA a plusieurs essayer de l’arrêté mais aucune preuve n'a été retenue.

- On va aller le voir dis-je en avançant vers la voiture mais, Harold m’arrête dans ma course

- C’est très dangereux d’entrée sur son territoire.

- On vas juste lui poser quelques questions rien de plus pourquoi tu fais cette tête.

- Tu ne comprends la gravité de la situation, cet homme est le diable incarné.

- Je ne suis pas intéressé par son statut , le moment venu il sera envoyé derrière les barreaux.

Je quitte devant lui et entre dans la voiture et il s'empresse de faire la même chose ce qui me fait légèrement sourire, cet homme est celui qu’il me faut. Il me soutien toujours dans tout ce que je fais et sa, juste sa me comble comme si j’avais un vide vraiment profond.

Je regarde de loin ( Andréa) la mère de la petite avant de démarré la voiture. Je ne comprends pas comment certains parents font pour laisser leur enfant dans les bras d'un criminel pour sauver son mariage .

Elle a préféré laisser sa fille de 5 ans pour protégé ses aventures.

- A quoi tu pense ? Me demande Harold en posant sa main sur la mienne

- Je ne comprends pas comment elle a fait pour se regarder dans le miroir ce matin

- Certains ne sont pas capable d’aimer leur propre sang.

- C’est horrible

- Je sais

Je conduit et au fur a mesure, je pense a mes parents. Il m’aurai jamais fais une chose pareil.

J’avais tellement passer des années a chercher le coupable de leur meurtre mais rien alors, j’essaie de passer plus de temps a travailler sur les affaires mineur pour oublier sa pour l’instant mais c’est carrément impossible. Il n'a pas de jours ou je revoir mes parents pas mes parents dans ce marre de sang.

J’arrête enfin la voiture dans un quartier vraiment chic qui peut coûter des millions pour un appât. Il faut croire que illégalité aussi fait quelques miracle pas net.

Nous descendons de la voiture et se dirige vers la grande porte sur la quelle plusieurs hommes son présent armé jusqu’à dent.

Leur lunette dissimule leur identité et les oreillettes laisse apercevoir leur dangerosité qui aurait fait reculer n’importe qui mais, pas moi.

J’ai tellement passé de temps a traquer ses genres de personnes sue, sa ne me fait ni chaud ni froid de voir leur armes chargée a tirée.

Je m’approche des homme et sort mon porte feuille.

- FBI j’aimerais parler a votre patron

- Pour quel raison dit l'un d’eux en me regardant du haut vers le bas.

- Je ne suis pas la pour les enfantillages

Il parle en une langue que j'ignore avant s’approcher de nous

Quand je vois sa geste, je comprends très vite qu’il voulais nous fouiller.

Il prend mon arme et le met dans une petite plastique et fait la même chose avec Harold

- Vous pouviez entré dit-il en couvrant la porte d’entrée.

Je range mon portefeuille et suivi de mon mari, nous entrons dans la maison qui me laisse sans voix mais je n’est pas le temps de contempler quoi que ce soit. C’est la vie d’une petite fille qui est en jeux.

- Excusez moi Madame veillez me suivre dit poliment une femme très jeune qui porte des lunettes.

On la suit depuis quelques minutes et sa me fait tellement mal de se promener un peu partout et de faire des test avant de voir un criminel réputé que je ne connaissait nullement.

On entre ensuite dans une pièce composé des canapé toute blanche . le sol laisse apercevoir la propriété intense des lieu. Juste un magasine posé sur la table et un journal.

- Il sera la bientôt.

J'en ai tellement marre que je me tourne vers l’énorme portrait d’une femme contre le mure.

- Tu crois que c’est une bonne idée de se débarrassé de nos armes ?

- On a pas le choix soit on nous crispe de balle soit on s’en débarrasse

A peine que je fini de parler que des pars provient des escaliers me faire lever les yeux.

Un homme , oui un homme comme tout les autres, mais contrairement au homme que j’avais déjà connu, et vue dans la société , il est différent car quand il vient enfin a notre hauteur, je le vois mieux. Les yeux d'un bleu plus clair que la normal, un nez très naturel à mon goût. Les lèvres qui ressemblent a ceux d'un petit garçon. Un teint trop blanc que la normal , les cheveux légèrement or , et une taille athlétique.

Je n’avais jamais pensé qu'un criminel peut être beau comme un dieu. Je me sentir un picotement dans mon bas ventre quand je remarque son t-shirt mouillées de sueur qui montre qu’il venait de sortir d’une salle de sport car ses muscles en ai témoin a travers le t-shirt.

Maud, il a une chose très importante, je m'en fiche qu’il soit beau ou musclé , sa m'ai égale. J' avait toujours haï les criminel et c’est pas aujourd’hui sa changera.

Quand mes yeux pose dans les siennes, je vois qu’il me regarde depuis quelques temps sans prononcer un seul mot .

Je me racle assez la gorge et lui montre mon badge.

- FBI nous avions quelques questions a vous posez

Il regarde Harold puis moi avant d’afficher un sourire de moquerie.

- La visite d'FBI qu’est-ce que j’ai pu faire pour mériter cette magnifique visite sa voix est tellement rauque que je ravale ma salive

- On ‘est pas la pour vos histoires avec la justice mais vous posez quelques questions.

- Il a une chose que mes hommes ont oublier de vous dire.

Toute perdu , je le questionne du regard.

- Je n’accepte pas les visites aussi courtoise. Alors si vous vouliez me parler, prenez rend vous et il y a une petite chose.

- Quoi ? Dis-je en rangeant mon badge.

- Je n’accepte pas deux personnes a la fois.

Deux hommes en costume nous escorte jusqu’à extérieur. Si seulement je pourrais l’arrêté. Je l’aurais jeter tellement brutal dans sa cellule pour qu’il comprend enfin qui commande dans ce pays……

Une fois dans notre voiture, je peux avoir Harold vraiment hors de lui .

- Qu’est ce qu'il crois ce salaud ? Je vais l’arrêté pour agression sur agent fédéral.

Je le hais aussi a la première rencontre. Il sais qu’il ne veux pas nous recevoir mais, il nous trainer par tout les systèmes de cette planète puis nous rejeter juste après.

S'il crois que j’ai quelques chose a foudre de lui, il se ment a lui-même. arrogant pour toujours