Chapitre 2

2

~~~~Daniella Rivera

C’était quoi ce manque de respect a deux balles ?

Je peux accepter tout les horreurs de ce monde mais pas sa. Je suis le chef ici et toute les personnes présentes dans cette pièce travail sous mes ordres.

Cet homme qui me donne toujours envie de gerber, pas son style vestimentaire qui me donne envie de rire ni son accent horrible.

Mais c’est son habitude de vouloir a tout prix coucher avec toute les femmes de l’unité.

- Merde tu m'as gifler ? Dit-il en posant l'une de ses main dégoûtant sur sa joue qui vient de reçu le bijoux.

Tout les regards sont attiré par la scène et sa je n'aime pas, j’ai toujours détesté d’être au centre d’attention.

- Je veux que sa soit la première et la dernière fois que tu fasse ce genre de chose avec moi sinon la prochaine fois, je ne serai pas aussi gentille.

- Tu crois que seul Kim a le droit de profiter de ses deux boules bien rond ?

- Tu es un vrai malade manteau

- Je sais que tu m'adore.

- Dégage espèce de salle rat dit une voix que je connais très bien derrière moi.

Quand je me retourne, c’est Harold que je vois dans son smoking noir qui lui va a ravi. Ses cheveux blondes attacher en queue de cheval me fait craquer . je pourrais sauter sur lui la toute suite mais, j'ai d’autre chose a régler avec ce salaud.

J’aurais aimé qu’il me défend comme il vient de le faire mais , je ne veux pas avoir la réputation de la femme qui se fait défendre par son mari.

- Mais regardée qui est la, le bon samaritain qui sauve sa femme.

- Merci Harold mais je vais régler sa

- Avoue seulement que tu es toute mouillé.

- Je ne te permet pas de nous parler sur ce ton.

- Tu veux essayer…..

Avant qu’il ne finisse sa misérable phrase qui m’aurait fait péter un câble, je lui tire une balle dans la jambe et le bruit résonne partout dans la piève. Personne n'ose dit quoi que ce soit sous ses cries de douleur sui ne me font ni chaud ni froid.

Je me dirige vers mon bureau suivit par mon mari . d’ailleurs, je l'en veux déjà de ne pas m’avoir informé de son retour alors que je l'attend depuis des joues et lui il revient comme si rien était.

Une fois dans mon bureau, je m’asseoir dans mon fauteuil en l'ignorant comme s'il n’avait jamais existé.

- Comment tu vas mon amour ? Dit-il en contournant le bureau pour être juste derrière moi.

- Bien dis-je froidement.

- Je sais que c’était pas sympa de ma part de passer une semaine sans nouvelle mais, je ne voulais pas vous mettre en danger dit-il en massant mes épaules.

- Tu aurais pu me laisser un message, ta fille et moi nous étions inquiète.

- Je ne souhaite pas sa pour les deux magnifique femme de ma vie.

- Je n’aurai pas du accepter cette mission quand lorraine l’avait proposé.

- Ne dit pas sa c’est pour nous que je fais sa.

Je pose ma main sur le sien qui est sur mon épaule avant de me lever. Je me retrouve en face de lui et l’envie de l’embrasser prend possession de mon corps.

Et a l'aide de main deux mains, je l’attrape par les joues et pose mes lèvres sur les siens doucement. Notre baisé est doux et romantique car, il me porte dans ses bras et me pose sur la table de mon bureau.

Notre baisé de plus en plus intense et nos mains se balade un peu partout sur le corps de l’autre, je l’arrête juste et referme les boutons de ma chemise qu'il avait ouvert lors de notre preuve d’amour qui a failli nous conduire a faire l’amour dans notre lieu de travail. Cette genre de chose me dérange fortement car je suis le chef ici et je dois donner un bon exemple aux autre.

- Ne refais plus jamais sa dis-je en quittant sur la table

- D’accord je m'en rappellerai.

La porte de mon bureau s’ouvre précipitamment sur l’informaticien

- Oh désolé pour l’interrupteur mais nous avions du nouveau sur l’affaire dit-il en repartant

Je me pose un bref baisé sur les lèvre D’Harold avant de me précipité vers la sortie. Je me dirige vers les autres qui étudie déjà les infos.

- On a quoi ?

- Une maison non loin de la scène, selon les voisins, un homme dans les trentaine avais amené une fillette qui se débattait.

- Qu’est ce qui affirme que c’est Macgee ?

- Une témoin a pu identifié la fille.

- Je me rend toute suite l’ABA

Je met mon interphone et avec deux de mes agents, nous sortons du sous sol . une fois dans le parking, Elisabeth l'une des agents s’asseoir au coté conducteur et je démarre la voiture.

Quelques minutes après, j’arrête la voiture sur la scène du crime et regarde l'espace espérant trouver quelque chose mais rien.

J’étais sur le point de repartir lorsque mon regard se pose sur une petite bracelet sur lequel est inscrite macgee RON

Je m'accroupi et prend le bracelet que je manie entre les doigts.

Toujours accompagner par les deux agents , nous marchons dans la rue avant d’atteindre enfin la maison.

Discrètement, je fais sortir mon arme et les autres en fait de même. D'une signe de main , j'ordonne a agent Pedro de d’ouvrir la porte et c’est ce qu’il fait sans plus tarder.

Quand il tourne le poignet, les coups de feu commencent a pleuvoir de partout. On prend l’appuie sur la porte et commence a tiré a notre tour.

La porte s’ouvre sur l'effet des balles. Tout d'un coup, quand le tireur arrête de tiré, on entre a tour de rôle dans l’appartement mais aucune trace de qui que ce soit.

Le salon, la cuisine, les chambres, il n'y avait personne même pas le tireur mais une chaussure toute rose prouve que la fille était ici.

- Je veux savoir ce qui s’est passé ici dis-je dans mon micro

- Il y a quelques chose d’étrange dans l’appartement

- Comme quoi dis-je en me courbant devant le sang sur le sol.

Je pose l'une de mes doigts dans le goute de sang et l'approche de mon nez pour le humé. C’est claire que c’est pas un sang de chien c’était notre tireur, il est blessé.

- Je crois qu’il est blessé il ne doit pas être loin.

- Agent Kim

Je prends mon talkie-walkie

- Je vous écoute

- Lever vous lentement

- Pourquoi ? Dis-je toute perdu.

- Il a une bombe juste sous votre pied.

Mon cœur rate un battement mais, je ferme les yeux doucement et les ouvre a nouveau.

- Je vais essayer de piratée a distance il faut que vous restez immobile. Je peux maintenir sa juste pour 5 minute le temps que vous évacuer.

Au même moment, les autres reviens

- Il est….merde dit Pedro en voyant la bombe.

- Sortez pour évacuer les voisins

- Impossible Daniella on ne peu pas te laisser.

- Je vais m'en sortir

Mon téléphone sonne dans ma poche et lorsque je vois le nom de mon mari afficher, je comprend qu’il est au courant .

- Daniella il faut que tu soit forte, je viens te sortir de la.

- Non , ne viens pas Harold, je vais bien.

- il faut que vous sortiez de la dit Pedro a travers mon micro .

Je sais sue si jamais je bouge, tout l’appartement s’expose et je ne veux pas être l’auteur de la mort de tout ses innocents.

Je n’avais jamais pensé que des années de travail pour trouver les assassins de mes parents se finira ainsi une bombe sous mes pieds qui n’attend qu'a être exploser.

Je pense a ma petite fille , a ma Jess et une larme coule au long de mes joues sans que je ne puisse me retenu, d'autre s’en suit.

Je veux juste la voir grandi avec moi a ses côtés et son père. Je ne veux pas que ma fille vivre sans une famille complète.

Je savais depuis le début que le travail que j’ai choisi de faire n’était pas sans conséquence et je savais que tôt ou tard, sa arrivera mais, je ne me suis jamais préparer à être réduit en cendre.

Je sais qu’en partant aujourd’hui, j’aurais laissé une blessure dans le cœur de chaque membre de ma sœur surtout ma sœur mais ce qui est fait est fait et quand je pense a elle, mes yeux s’échauffe, elle n'aura plus personne avec qui parler ou sur qui compter.

Et puis , un petit bruit retenti dans toute la pièce et je me sens projeter contre le sol et ma tête cogne fortement contre le sol et mes yeux se ferme lentement. La pièce est remplie de fumée mais j’ai parvenir a voir un homme s’approcher de moi avant que mes yeux ne se ferme.

A Dieu