Chapitre 04

Mon cousin sortit de sa chambre avec un large sourire, je n'arrêtais pas de me demander ce qu'il cachait derrière ce petit sourire.

___ John je venais tout juste de demander à ma fille si tu te sentais à l'aise.

___ Oui Oncle. Ma cousine est vraiment gentille donc je n'ai pas d'inquiétude à m'en faire, l'essentiel est que nous allons nous entendre très bien. Oubien cousine.

___ Oui

___ Bien, les enfants je vous laisse.

Mon père nous laissa tous les deux. Mon cousin et moi nous descendirent pour aller nous installer au salon. J'évitais à nouveau son regard, je ne voulais pas le regarder, avec la scène que je venais d'assister dans sa chambre, j'étais complètement hors de moi.

___ Cousine tu peux me porter un coup de main.

___ Oui quoi.

___ La télécommande de la télévision oubien vous ne regardez pas la télé ?

___ Si si, simplement que moi, j'aime pas passer des heures devant l'écran. Toi tu es un homme donc c'est possible que tu le fasses. Un instant.

Je me suis levée et je suis allée aller ouvrir l'amoir, l'endroit où nous déposons les trucs de la télévision. J'ai pris la télécommande que je lui ai donné et j'ai repris ma place. Il a allumé la télé et il s'est mis à suivre une chaîne d'action. Moi j'étais concentrée dans mon téléphone portable. Soudain, j'avais commencé par entendre le bruit d'une voiture, on dirait celle de ma mère.

Je me suis rapidement levée et je suis sortie pour aller voir si le bruit venait de notre portail oubien celui du voisin. Effectivement, c'était ma mère. Je lui ai ouvert le portail et il est rentré dans la maison. J'ai jeté un coup d'œil à l'écran de mon téléphone portable, il sonnait exactement 22h00min.

___ Bon arrivée maman. On était toute inquiète.

___ J'avais appelé ton père mais il était hors zone, j'avais oublié que tu serais à la maison sinon j'allais t'appeler.

___ L'essentiel est que tu sois la.

___ Et ton père ?

___ Il est à l'intérieur de la maison.

___ Allons-y.

Ma mère a verouillé sa voiture et nous sommes parties à l'intérieur.

___ John comment vas-tu ?

___ Je vais bien ma tante. Bonne arrivée.

___ Je t'en prie.

___ Je vais m'apprêter pour qu'on puisse passer à table.

___ D'accord maman.

Ma mère se rendit dans sa chambre. Après avoir passé quelques minutes, nous tous nous sommes passés à table pour prendre le petit déjeuner.

___ La nourriture est vraiment délicieux ce repas, s'ecria John.

J'ai soulevé tout doucement la tête et je lui ai regardé. Pour ne pas trop le verser, j'ai décidé un petit sourire sur mon visage. John sourit à son tour et renchérit.

___ Tu es super en cuisine.

___ Merci beaucoup cousin, répondais-je.

___ Ma fille est vraiment super en cuisine, s'écria la mère.

___ Exactement, renchérit mon père. J'oubliais, chérie ta fille m'a dit qu'elle a été accepté dans l'entreprise.

___ Waooooh félicitation chérie.

___ Merci beaucoup maman.

Un lourd silence s'installa, nous sommes restés silencieux durant tout le reste du dîner. À la fin, j'ai rangé la table et chacun d'entre nous a rejoint sa chambre pour aller se reposer vu que demain serait une journée très très chargée pour tout un chacun de nous.

Très tard dans la nuit, alors que j'étais encore couchée, quelque chose me traversa l'esprit, vous n'allez pas me croire mais le pénis de mon cousin me hantait, on dirait que si je ne le gouttais pas je deviendrai folle à jamais. L'envie était tellement forte jusqu'au point je n'avais pas pu résister à la tentation, j'ai enlevé mon drap et sans me contrôler, j'ai enfoncé deux de mes doigts dans mon vagin.

Je me caressais la poitrine avec une main et j'enfoncais également deux de mes doigts dans mon fort intérieur. Précisément dans mon vagin. Me souvenir de mon cousin et surtout de son machine me mettait encore plus aux axes et m'amenait à être flippée.

Soudain, j'entendis quelques bruits venant de la chambre de mon cousin, je n'avais plus le choix, je me suis levée tout nu sans même mettre quelque chose et je suis sortie. Arriver dans sa chambre, il était déjà sous la douche comme d'habitude, pour cette fois-ci, j'ai ouvert la porte sans même le prévenir parce-que l'envie était déjà de trop.

___ Madeline que fais-tu la ? Me demandait il tout en tenant sa bite en main.

J'avais perdu ma langue, la seule chose que je voulais c'était son bite, oui rien que ça, je m'enfoutais complètement de sa question.

___ Cousine il y a quoi ? Redemandait il

J'ai écarté tout doucement ma jambe, il m'a regardé tout comme ci j'étais une viande à manger crû. Il a déposé tout doucement son téléphone portable sur le lababo. Il s'est approché de moi et il m'a soulevé, mon cœur battait très très fort, je sentais également son cœur battre au même rythme. Il m'a déposé tout doucement sur le lit et il est parti fermer la porte de sa chambre. Il s'est approché de moi, et il a saisi mes lèvres, sans vous mentir, j'avais commencé par mouiller, tellement ces lèvres étaient douce que je ne pouvais pas y résister à cette forte envie.

À suivre.