Chapitres : 5
« Jean Maco López ! on a fait des bailles.» Dit le masque blanc au téléphone.
« mais qui êtes vous et où se trouve ma fille que faites vous avec son téléphone »Demande Jean Maçon au bout du fil
« hahaha ! Tu oublies vite la voix de tes partenaires apparemment inh ! Laisse moi te dire que tu n'a que des incompétent garde du corps, écoute moi très bien Jean Maco si tu ne veux pas que j'envoie ta fille dans une maison close travailler comme une escorte ! Tu à jusqu'à une semaine pour me rembourser mes dettes.»
« non masque blanc ! Je t'en prie ne fais pas ça à ma fille, je savais que ton silence signifiait grand chose mais, s'il te plaît ne fait pas de mal à ma fille.»
Rétorque Jean Maco en suppliant le masque blanc.
« Sais tu que ta fille est très bonne au lit ! Dit il d'un ton séduisant, Haha hahaha Ne t'inquiètes pas c'est juste deux cou que j'ai fait, elle est très douce humm , si dans une semaine tu ne me rembourse par mon argent tu pourras dire aDieu à ta fille et ta Mariana également, au passage n'essaye plus jamais de me trahir.»
A dit le masque blanc à Jean Maco avant qu'il ne raccroche.
« prie pour que ton papa me rembourse sinon tu pourras dire adieu à la virginité et ta famille Santa López.»
Réplique-t-il à nouveau d'un ton colérique.
« Donner là à manger et mettre là au sous-sol ensuite les garde non car entouré sa pièce, Farès suis moi .»
Farès le suis sans broncher
** À Cotonou, quartier Haie vive **
Nous voyons Bryan faire son entrée dans la maison, il gare la voiture et se faufile dans le salon.
« Bonsoir maman !»
« Oh mon fils, comment à été ta journée !»
« Je vais bien maman je vais dans ma chambre.»
« non Bryan, tu as un invité, dit la mère en disant à l'invité de venir.»
« Invités ici à la maison !» Demande t il étonné.
« Bonsoir Bryan.» Dit l'invité en question en sortant de la cuisine.
« Ah Barbara c'est toi! Dit il en allant l'a fait du bise sur la joue. Comment tu vas ! Je n'ai plus de tes nouvelles depuis un moment.»
« je vous laisse les enfants et toi Bryan va te changer et descend dîner.»
« d'accord maman, Alors Barbara tu viens » Demande t il en dévorant du regard à Barbara.
« euh non je préfère rester ici, va te changer je t'attendrai.»
Répond-t-elle timidement.
« super ! Il monte se changer .»
Dans un restaurant de la ville, le commissaire s'y rend pour un rendez-vous avec le commandant de la brigade.
« bonsoir commissaire, le commandant vous attend dans le VIP.»
À dit un homme au commissaire.
« d'accord. Dit simplement le commissaire, il se dirige vers le VIP et voit le commandant assis au fin fond du VIP avec un Monsieur.»
Il se dirige vers eux, une fois à leur niveau il les serre la main à tout de rôle en les saluant.
« commissaire laissez moi vous présenter adjoint du préfet du nord, monsieur Akim Cissé.»
« enchanté Monsieur Cissé, moi ces commissaires Rolando.»
Dit le commissaire en tendant la main.
« ravie de vous connaître commissaire Rolando.» A-t-il replié en saisissant la main du commissaire.
« Alors commandant ! qu'est ce qu'il y a de si urgent au point où vous m'avez demandé de venir ici»
Demande Rolando
« commissaire, si je vous fais appel aujourd'hui c'est pour demander si votre équipe à puis débuter les enquêtes et à quelle niveau vous êtes »
Il est surpris par cette question venant du commandant.
« tout va bien commander, juste que c'est compliqué de trouver les traces de ce gang et il a des yeux partout où nous sommes»
Répond t'il .
« Ah Oui ! Mais l'un de vos collègues du poste m'a informé que vous avez quelqu'un qui vous guide, raison pour laquelle j'ai décidé de vous appeler Ici et désormais, j'aimerais être la première personne qui serait au courant des nouvelles de ce trafiquants.» Réplique le commandant en buvant un gorgé .
« OK, j'ai compris le commandant. »
Dit Rolando en se levant.
« Je vais devoir prendre congé de vous commander.»
« mais resté un peu. Rétorque Akim Cissé. Vous venez à peine d'arriver.»
« Non je dois aller rendre visite à un vieil ami.»
Il partait lorsque le commandant l'interpelle, il revient et l'adjoint au préfet sort un Elias billet puis le lui tendit.
« C'est quoi ça monsieur Akim Cissé» !
Demande t'il en regardant le billet dans sa main.
« Je veux juste vous remercier pour votre travail et si vous arrivez à mettre la main sur ce trafiquants vous serez nommé lieutenant de police, prenez cet argent comme un cadeau.»
Il dévisage Akim et regarde l'argent ensuite prend l'argent en question puis la compte.
« Deux cent mille comme cadeau monsieur Akim ! Dites moi ce que vous voulez simplement.»
« Je veux juste t'encourager pour le travail que vous faites en équipe rien de plus…»
Il jette l'argent sur la table devant eux en colère et dit.
«Merci pour votre gentillesse mais mon salaire me suffit largement.»
Dit il d'un ton colérique, puis sort du VIP.
« Je ne crois pas qu'il puisse accepter nous fournir en premier les informations concernant ce trafiquants.» Dit simplement le commandant.
« Humm.»
*** Colombia-Bogotá ***
°°° village, Barichara °°°
Dans une Ranch nous voyons un homme très en colère qui cassait tout.
« vous êtes des incompétent et inutile ! Ils ont enlevé ma fille sous vos yeux et vous n'avez pu rien faire pour les empêcher. Merde merdes merde ! Où vais-je trouver tout cette somme en une semaine »
Vocifère Jean Maco López affolé, il ne pleurait pas devant ces hommes mais avait les yeux rouges comme à l'intérieur du volcan.
« patron nous pouvons faire de gros braquages avant une semaine, comme ça vous rembourserez son argent. » a dit l'un des hommes.
« c'est une bonne idée je n'y avais pas penser.»
Il rentre chez lui quelque heures après, sa femme lui demande s'il a les nouvelles de leur fille mais il répond négatif et dit à sa femme de lui donner une semaine pour retrouver leur fille.
°°° Retour au Bénin °°°
Il vient d'arriver à sa résidence accompagné de Farès. Il sort du véhicule et jette un coup d'œil rapide vers la cage où est enfermé Valentina qui n'a ni bu de l'eau ni mangé depuis deux jours.
Il l'observe et voit qu'elle ne bouge plus, Farès en ce moment viens de voir la fille dans le cage de chien,il dit en hurlant.
« Oh mon Dieu, Quesque t'a fait Olivares ! Pourquoi l'emprisonner dans une cage pour chien ! N'es tu plus humaine » Demande t il en secouant le cage.
Il voit qu'elle ne bouge plus, alors il met la main au niveau de son nez et prend sa main derrière le cage pour contrôler son pou et il voit que son pou bat faiblement.
Il ce retourne et regarde le masque blanc sauvagement.
« Quoi ! Pourquoi me regarde-t-il de la sorte » Demande t il s'en gêne
« elle est morte…»