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Chapitre 7

Un jour que nous sommes sortis faire du shopping. Mon fils qui voulait des nouveaux vêtements et moi, une nouvelle paire de talons.

C’était une journée ensoleillée, presque chaude ; le soleil qui tape dur me faisait transpirer dans ma robe de soleil courte, blanche. C’était un de ces jours, ou je ne portais pas de soutien-gorge, je voulais que la brise légère rafraîchisse mon corps moite, et je voulais me sentir libre et détendue. Tellement libre que j’en oublie de mettre un slip !

Mon fils est assis à côté de moi dans la voiture à la recherche de la bonne position et je remarque le petit appareil photo dans sa poche. La photo est vraiment son dada !

Je garde mes yeux sur la route, mais je peux sentir son regard posé sur mes seins. Je souri à la pensée de mon fils mâtant les seins de sa maman.

— Que vas-tu acheter maman ?

— Je cherche une nouvelle paire de talons haut pour aller avec ma mini robe noire. Tu vois laquelle je suppose !

Je l’entends haleter quand il me visualise lentement dans cette robe, talons hauts.

La robe est très serrée, épouse chaque courbe de mon corps. Quand mon mari l’a acheté pour moi, je l’ai essayé sur moi une seule fois devant tout le monde. Et me voyant dans le miroir montrant presque la totalité de mes jambes et une grande partie de mes seins, je l’ai immédiatement rangée dans le placard me promettant de ne jamais la porter.

Et maintenant je me vois dans cette mini robe noire, avec des talons hauts. Elle ferait de moi une belle salope, ce que je suis maintenant pour mon fils.

Il trouve soudainement qu’il fait chaud dans la voiture et appui sur le clim.

— Maman, tu es magnifique !

Et négligemment, il met sa main sur ma cuisse exposée.

— Éric, ne t’emballes pas ! Je conduis.

Mais j’ai apprécié son touché !

Il remonte légèrement sa main sous ma robe pour toucher mon pubis avec ses doigts, mais je réagi en saisissant son bras pour qu’il ne va trop loin.

— Chéri, que pensais-tu faire avec cette main ?

— Laisses-toi aller maman et tu vas le découvrir. Je pense savoir que tu as envie; t’es chaude et tu veux être un peu salope ! Et je vois aussi que la salope a oubliée de mettre la petite culotte !

Je lui donne un coup d’œil. Suis-je vraiment une salope ? La salope de mon fils ? Vais-je le laisser faire ? Dois-je laisser mon fils toucher ma chatte ici dans la voiture ?

Un virage arrive et je dois reprendre ma main pour l’aborder.

Il en profite pour immédiatement glisser plus bas entre mes jambes en touchant mon clitoris. Oh Dieu... ma chatte est déjà humide.

C’est fou ce que je peux mouiller rapidement sous l’influence d’une excitation sexuelle. Comme je dois me concentrer sur ma conduite, je laisse mon fils faire ce qu’il veut de moi. Il frotte mon clito et descend son doigt dans mon trou dégoulinant.

— Oh oui... tu es tellement humide maman... si chaude...

— Peut-être, mais tu ne devrais pas faire ça à ta mère quand je suis au volant !

Quelle sensation de sentir ses doigts s’enfoncer lentement à l’intérieur de moi !

C’est si bon que j’écarte mes cuisses autant que le permet ma conduite de voiture, tout en veillant à ce que mon regard s'assure si les voitures qui roulent à coté ne peuvent rien voir.

— Maman… tu sens ta chatte ? J’ai bien l’impression qu’elle aime ce que je lui fais !

Tu parles que je le sens ! Elle coule de plus belle !

— Oooh oui… mais Éric, s’il te plaît… Aaarr…rette… je conduis !

Il insère ses doigts le plus loin possible et moi je glisse mes fesses en avant pour lui facilité la tache. Je conduis mais je ne sais plus ou je vais car il commence à baiser ma chatte de ses doigts, lentement, tendrement, faisant aller et venir.

— Eric... Eric ! Oh mon Dieu...Oh...Ooooooh...

— Oui, maman…c’est bon hein ? T’es chaude…

Et il frotte mon clitoris avec son pouce tout en me branlant de ses doigts.

— Tu veux que j’arrête… ou tu veux être ma salope ?

Je le regarde les lèvres sèches, ma bouche ouverte. Il ne m’appelle plus maman. Que puis-je lui dire. Je l’ai laissé faire ça, à sa maman... NON. À sa salope !

— Oooh putain de salaud de fils ! Oui... baise ma chatte… ouiii encore ! Plus loin…mets tous tes doigts… aah… ouiii… comme ça.

Je suis prête à jouir sur les doigts de mon fils !

— Maman ! Ce n’est plus une chatte ! C’est une fontaine ! Qu’est-ce que tu mouilles ! Tu veux goûter ?

Je suis figée mais ma chatte adore se faire malmenée par les doigts de mon rejeton pervers.

Dieu que je l’aime. Il a le don pour me faire jouir en quelques minutes. Et la pensée de lécher mon jus de chatte sur les doigts de mon fils ici dans la voiture pendant que je conduis, me rend folle.

— Oooh, oui, maman, je crois que tu en as envie !

Il a retiré ses doigts de mon trou détrempé et les porte jusqu’à mon visage.

— Allez, maman lèche ! Goûte ta chatte et ton jus de petite salope… Vas-y.

— Eric, non!

Trop tard, il a mis ses doigts dégoulinant sur mes lèvres. Dieu, ce goût... cette odeur...Je ne peux l’arrêter, j’ouvre ma bouche légèrement et immédiatement ses doigts plongent à l’intérieur. Je les enveloppe de mes lèvres et je fais tournoyer ma langue, je suce et j’aspire le jus humide….

— Oui, c’est ça… suce maman, ouiii… Attends je vais t’en donner un peu plus.

Il sort ses doigts et les amène vers ma chatte, en les poussant profondément à l’intérieur de moi une nouvelle fois' mm. Il me baise avec eux. J’ai un réel besoin de me concentrer sur la conduite pour ne pas éveiller de quelconques soupçons aux conducteurs des voitures à coté de la mienne.

Encore une fois, il sort ses doigts et les porte à ma bouche, cette fois j’ouvre facilement ma bouche pour prendre les doigts de mon fils en savourant leur goût, le goût de ma propre chatte.

— Oui... Belle salope ! Suce ce nectar de jus de femme… imagine que tu lèche une autre femme.

— Salaud… Oooh, Ouiii c’est boooonnnn.

C’est fou! J’aime ce qu’il me dit. J’aime cette dégustation imprévue. Et il recommence une nouvelle fois et me permet de les goûter encore et encore.

Maintenant je ne lui cache plus que j’aime et je gémis de plaisir en les suçant.

— Oh oui...Ouiiiii...J’aime...J’aime le goût de ma chatte...Oh Éric…donne moi encore plus.

Il le fait car ma chatte en fabrique continuellement et de plus en plus.

Je lèche ses doigts comme une salope droguée par un fluide sexuelle. Mais c’est mon fluide, mon jus, et je suis prête à faire n’importe quoi.

— Maman, je suis sûr qu'en ce moment tu aimerais lécher la chatte d’une autre femme. Hein maman ? Dis-moi la vérité.

— Oui...Oh oui fils...Oh par l’enfer ! J’aimerais bien avoir une chatte inconnue sous la langue ! Putain ouiiiii ! Une belle chatte bien ouverte et bien chaude…

Je glisse ma main entre mes jambes et je frotte ma chatte ouverte, j’enfonce mes doigts dans ce trou humide, je me baise... là, à coté de mon fils qui n’en perd pas une miette et qui prend même des photos quand je retire mes doigts pour les porter à ma bouche et les sucer comme une bonne salope que je suis.

J’essaye d’arrêter, mais je ne peux pas, ma chatte est si chaude... tellement humide... tellement délicieuse. Clic, clic, clic et je continue presque jusqu’au moment de mon orgasme.

— Maman, c’est là ! À droite !

Je négocie tant bien que mal le virage dans un crissement de pneus et je me gare tout au bout du parking.

J’arrête le moteur et j’amène mes deux pieds sur le tableau de bord et rapidement, les cuisses ouvertes, j’insère trois doigts dans ma chatte dégoulinant et je me branle fiévreusement car je sens mon orgasme arriver.

— Oh que c’est bon…oh oui... oh mon Dieu... Aaah... Aaah...

— Maman, arrête vite, quelqu’un vient !

— Oooh, NON… je viens…..

— Maman, arrête ! Ils vont te voir.

Je sens sa main sur mon genou, je regarde dans le rétro pour voir un couple approcher. Oh non...Pas maintenant bon sang !

Péniblement, je ramène mes jambes et me remet en place, juste à temps pour ne pas être vue. Je reste assise, encore chaude et frustrée de mon orgasme raté. Je suis en sueur et ma robe s’accroche à moi comme une deuxième peau.

Le couple étant passé je mets mes doigts à la bouche et je les nettoie.

— Viens maman, je connais un magasin de chaussures qui a sûrement les talons hauts que tu cherches.

Il descend de voiture mais je suis trop sonnée pour le suivre. Je me remets de ma frustration et je suis mon fils. Je sens que j’ai l’entre-jambe trempé. Par l’ouverture du décolleté de ma robe à peine retenus par trois boutons je vois le bord de mes aréoles sombres quand je marche. Je me sens tellement coquine... si audacieuse surtout après cette branlette en voiture que je déboutonne un autre bouton de ma robe l’ouvrir plus. Je baisse les yeux et maintenant mes auréoles sont visibles en permanence et mes tétons apparaissent ou disparaissent suivant mes mouvements.

Je passe ma main entre mes cuisses jusqu’à ma chatte. Mon Dieu je suis encore trempée ! Je m’essuie avec mes mains et rabat ma robe.

Maintenant j’en ai plein les mains et pas de lavabos à proximité. Qu’à cela ne tienne, je les porte à ma bouche et je me nettoie consciencieusement tout mes doigts et ma main pour une nouvelle dégustation de chatte.

Je rejoins mon fils dans la boutique qui me regarde arriver la bouche ouverte, ses yeux écarquillés, sans doute surpris de l’état de ma robe.

— Bonjour, puis-je vous aider ? Dit une voix féminine.

Je rassemble mon courage et me retourne. Je peux à peine respirer.

Je vois une jeune fille, probablement de l’âge de ma fille ou à peine plus de dix-huit ans, debout qui nous regarde. Elle porte une robe de style uniforme simple, boutonnée sur le devant, exhibant ses belles longues jambes. Ses cheveux bouclés, longs, foncés, couvrent ses épaules, et sa peau bronzée naturellement me fait penser qu’elle est d’origine espagnol. Et ses yeux... Dieu ses yeux légèrement en amandes, foncés et brillants me regardent.

Je me sens gênée...gênée de me pencher sur cette jeune fille de cette façon avec ma robe qui colle à mon corps et encore sous le coup de mon excitation récente. Je sens une chaleur me monter au visage qui, sans aucun doute doit devenir tout rouge.

Elle me regarde, fixe mes seins et probablement voit mes mamelons et je me demande bien à quoi elle pense.

— Bonjour mademoiselle, ma mère cherche une paire de talons hauts pour aller avec une de ses robes.

— Votre maman ?! Répète-elle sonnée.

Eric... Pourquoi as-tu dit cela ! Je panique... mon cœur bat.

Elle va sûrement deviner... Voilà, maintenant je suis mise à nue ! Maintenant mes désirs, mes fantasmes secrets vont me détruire. Eric semble ignorer mes états d’âme.

— Ah oui, ma mère. Elle a besoin d’une nouvelle paire de talons hauts, pour les mettre avec sa mini robe noire. Dit-il sereinement.

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