Chapitre 3

° L'HERITAGE

☆ Chapitre 3:

(Agathe n'arrêtait pas de pleurer, je la regardais et là je l'en voulais vraiment. Depuis tout ce temps je vivais dans le mensonge sans savoir que mon mari avait une deuxième famille dehors)

Je restais toujours sur le choc sans comprendre vraiment ce qui ce passait. Ma mère n'arrêtait pas de bavarder après le depart de ses monsieurs. Elle etait incontrôlabe

- si ils veulent la guerre et bien ils en auront la guerre.. Mettre ma fille hors de cette maison après tous les sacrifices qu'elle a subit avec cet fameux homme

- maman je t'en prie calme toi. Ne te mets pas en colère comme sa tu sais que c'est pas bien pour toi

- Marie on dirait que tu ne vois pas la gravité des choses.. Reveille toi un peu et vois dans quelle merde tu es. Si aujourd'hui tu es vider de cette maison et qu'on t'arrache tous les biens de ton mari comment vont grandir tes enfants?? Avec le luxe qu'ils ont connu depuis leurs naissances

- maman cela n'arrivera pas je te le promets

On se regardait toutes les deux et en vrai je ne savais quoi faire!!! Et ce qui me choquait le plus, c'etait cette deuxième femme qui avait des enfants avec michel. C'etait impossible pour moi de croire en cette histoire.

Cela faisait à peine trois jours que l'enterrement de mon mari avait eu lieu et trois jours que c'est oncles me faisait la guerre. Après le depart de c'est oncles, des choses etranges ce sont passer dans la maison. D'abord la mort tragique du chien de mes filles. Celui ci etait tomber sans raison dans la cour de la maison sans que quelque chose ne lui arrive. Plus-tard que hier, ma soeur s'apprêtais à prendre sa douche lorsque celle ci aperçut du sang jaillirent du robinet. Ma mère etant une fervente chretienne, avait jeter du sel beni dans chaque pièce de la maison ainsi qu'un pasteur qui venait nous rentre visite chaque soir afin de prier pour notre protection. Moi personnellement je ne croyais pas du tout en c'est choses là mais je devais quand même me proteger surtout veiller sur la vie de mes petites filles

Aujourd'hui nous avions tous été regrouper devant l'avocat de notre famille afin de lire le testament de mon mari. J'etais en compagnie de ma mère , ma belle mère et sa fille etait egalement presente sans oublier les deux oncles qui m'avaient rendu visite chez moi la nuit dernière. Je me demandais vraiment ce qu'ils faisaient là. Sans plus tarder Eric notre avocat commençait à lire le testament

LORSQUE VOUS AUREZ LU LES MOTS QUI SE TROUVENT SUR CE PAPIER JE SERAI BIEN EVIDEMENT PLUS DE CE MONDE. COMME VOUS LE SAVEZ TOUS, JE SUIS MARIER AVEC MA CHÈRE ET BIEN AIMÉE EPOUSE ET PÈRE DE DEUX ADORABLES FILLES QUI ME RESSEMBLES COMME DEUX GOUTTES D'EAU.. J'AI BEAUCOUP TRAVAILLER DUR AFIN DE PREPARER UN AVENIR RADIEUX À MES FILLES ALORS J'OFFRE CASIMENT LA MOITIÉ DE MA FORTUNE À MES DEUX FILLES SANS OUBLIER CERTAINES MAISONS QUI SONT EN LEURS NOMS. CONCERNANT LEUR MÈRE, LA MAISON DANS LAQUELLE NOUS SOMMES LUI EST DESTINER ET MES NOMBREUX COMPTES BANCAIRE SONT À ELLE. ENVIRON DIX COMPTES DANS LAQUELLE SE TROUVE DES MILLIONS. CHERI JE TE SUIS VRAIMENT RECONNAISSANT POUR TOUTES CES ANNÉES DE GALÈRE QUE NOUS AVIONS EU À TRAVERSER ENSEMBLE. TU M'AS TOUJOURS SOUTENU DANS TOUS MES PROJETS. MA MÈRE ET MA SOEUR REPARTIRONT AVEC CHACUNE DEUX MAISONS QUI ONT ÉTÉ CONSTRUITES RECEMMENT ET UNE GRANDE SOMME D'ARGENT QUI POURRONT LEUR PERMETTRES DE VIVRE ASSEZ BIEN. MA BELLE MÈRE ET MA BELLE SOEUR AURONT DROIT À UNE SOMME D'ARGENT EGALEMENT.... LA MOITIÉ DE MON ARGENT SERA OFFERT DE DON ENVERS UNE ONG QUI S'OCCUPE DES ENFANTS MALADES, JE M'ETAIS LIER D'AMITIER AVEC LE PRESIDENT DE CETTE ONG ET VENIR EN AIDE À SES ENFANTS EST UNE CHOSE VRAIMENT EXTRA-ORDINAIRE ET JE TIENS À CE QUE CE SOIT TOI MARILINE MON EPOUSE QUI AILLE REMETTRE LE CHÈQUE AU MAIN DE CE HOMME (PRESIDENT DE L'ONG)

JE TERMINE CETTE LETTRE AVEC LE COEUR LOURD. MARILINE PARDONNE MOI MON AMOUR MAIS J'AI ETE OBLIGER D'EPOUSER UNE FEMME AU VILLAGE CAR C'ETAIT LA TRADITION SI JE NE LE FAISAIS PAS, JE DEVAIS ABSOLUMENT DIVORCER D'AVEC TOI. CHOSE QUE J'AI REFUSER ET SI J'OBEISSAIS PAS ALORS LES ANCÊTRES ALLAIENT ME PUNIR. J'AI EU À TE TROMPER AVEC MELISSA UNE JEUNE FEMME DISONS TRÈS INGRATE ET TRÈS MECHANTE. A CHAQUE FOIS QUE J'ALLAIS AU VILLAGE ET BIEN C'ETAIT POUR ELLE. ELLE M'A DONNER UN GARÇON MAIS JE DOUTE FORT QUE CE SOIT MON ENFANT CAR CETTE FEMME EST UNE INFIDÈLE, MEFIE TOI VRAIMENT D'ELLE MA CHERIE. JE NE COMPTE RIEN LUI DONNER DE MA FORTUNE CAR ELLE NE MERITE AUCUN SOU VENANT DE MOI. LE JOUR QUE JE SERAI PLUS DE CE MONDE, NE TE LAISSE PAS INTIMIDÉ PAR N'IMPORTE QUI SURTOUT ELLE, JE REGRETTE AMÈREMENT DE T'AVOIR CACHER CETTE LIAISON MAIS J'ESPÈRE AVOIR TON PARDON. JE VOUS AIMES TOUS FORTS EN PARTICULIER TOI MA CHERIE

lorsque l'avocat termina sur la dernière phrase, j'eclatais en sanglots. C'etait vraiment très dur pour moi d'accepter ainsi la mort de mon mari. Pourquoi l'avoir tuer?? Qu'avait t'il fait pour meriter une telle chose?? (...) Après plusieurs minutes j'arrêtais de pleurer et l'avocat continuais de parler

- j'espère que tout à été claire, ce sont les dernières directives de monsieur Akossou.

- pas question, je ne suis pas d'accord avec vous. Mon neveu ne peux pas n'on seulement rien nous donner mais ne pas penser à melissa sa femme du village. Ce testament est truquer. Et ceci ne se passera pas comme sa

Ma mère aussitôt se levait et pris la parole telle une tigresse

- et qu'allez vous faire?? Bande de sorcier. N'osez pas vous approchez une fois de plus de ma fille et mes petites filles sinon

- ce sont des menaces?? Et bien vous l'aurez chercher. Gabrielle vient on part laissons c'est dames aboyer

J'etais toute aussi choquer que ma belle mère et sa fille. Je voyais dans le regard de cette dernière le regret. Je savais que celle ci souffrait de la disparution de son fils. Les yeux pleins de larmes, elle se retirait avec sa fille qui l'aidait à marcher vers la sorti du bureau.

- pauvre dame, j'imagine ce dont elle ressent en ce moment

- oui ma fille, et toi aussi tu souffres. Heureusement que ton mari à été vraiment genereux avec nous. Vient rentrons à present. Si c'est oncles pensent nous faire peur alors ils se mordent bien la langue

On remerciait Eric notre avocat et nous voilà parti pour la maison...(...) La vie avait repris son cour normal. Les filles allaient toujours à l'ecole, moi j'aidais tant bien que mal à m'occuper des affaires de mon mari. Aujourd'hui j'avais decider d'aller enfin rendre visite à cette ONG afin d'offrir le chèque de mon mari et essayer de me changer des idées car j'etais encore dans la douleur de la perte de mon mari. Je m'habillais toujours en noir et me couvrait la tête telle une veuve. Je n'avais pas vraiment d'amies car je me disais que les amies c'etait se creer des problèmes alors je me deplacais casiment seul lorsque je le pouvais sinon ma petite soeur ou ma mère etait à mes côtés

Je garais ma voiture devant un grand batiment. J'escaladais les marches des escaliers et me retrouvait au troisième etage devant une dame qui avait l'air vraiment occuper.. Je saluais avec respect et demandais à voir le president

- ok, le nom s'il vous plait

- madame Akossou

- oh c'est vous madame Akossou. Je suis vraiment enchanté de faire votre connaissance madame, votre mari etait le bien venu ici

- merci beaucoup lui repondis je avec un petit sourire se dessinant sur la lêvres

J'attendais environ deux, trois minutes puis la dame me fit signe d'aller à la rencontre de son patron. J'entrais dans la pièce lorsque je fût captiver par plusieurs photos d'enfants accrocher au mur. C'etait vraiment beau de voir le sourire de c'est enfants..

- bonjour

Je sursautais aussitôt à travers la voix rocque qui s'addressait a moi

- excuser moi si je vous ai fait peur

- rire, non ce n'est rien. Bonjour a vous

- madame akossou

- c'est bien moi

- je suis vraiment ravie de vous voir ici. Toutes mes condoleances pour votre mari, j'y etais aux obsèques

- merci mais c'est la vie

- j'espère vraiment que la police mènera à bien les enquêtes afin de trouver cet assassin

- tout est dans la main de Dieu...

Je m'asseyais sur une chaise qui m'etais destiner. Sans attendre une seconde, je faisais sortir le chèque et le tendit au president

- Ceci faisait parti des derniers voeux de mon mari. Il a eu vraiment un grand coup de coeur pour ce lieu et je tiens à le respecter alors je vous tend ce chèque monsieur

- appeler moi Emmanuel, et tel à été le voeux de notre ami j'accepte de prendre ce chèque et le mettre à la disposition des enfants d'ici... merci bien que son âme repose en paix

J'acquiesçais de la tête et fit un sourire.

- Sans être mal polie, si vous voulez bien m'accompagner, je desirai vous montrer quelque chose c'est la coutume ici.

Je le suivais sans hesitation. En vrai, je voulais decouvrir ce dont ce endroit cachait afin de faire chambouler le coeur de mon mari. A vrai dire, j'etais vraiment curieuse... Nous arrivons devant un nombre d'enfant qui mangeait avec appetit. Il y en avait de different âges. De zéros à dix huit ans si je me trompais pas

- voilà le visage de c'est enfants qui sont afficher dans mon bureau. Ils sont tous orphelin de père et de mère. Ils attendent à être adopter. Ils ont tant d'amour à partager surtout et à donner

Mes yeux etait vraiment stupefaite et remplis de larmes. C'est enfants meritaient de connaitres la joie et l'amour et cela dans une famille et non dans un orphelinat . J'etais vraiment peiner de voir tout c'est enfants là sans parents. Je comprenais desormais pourquoi mon mari avait fait un grand dont à cette ONG

Emmanuel chuchotais dans l'oreille d'une des enseignantes et il me fit signe de le suivre. Nous allons dans une autre salle cette fois tout seul avec toujours en main le chèque. Quelque minutes plus-tard, on entendit les cris des enfants venir nous rejoindres. J'etais folle de joie de revoir ces enfants... Ils entraient et se mirent à danser devant moi. Je me tordais de rire lorsque mes teux se posait sur chacun d'eux. C'etait vraiment amusant, pendant un moment la tristesse avait disparut de mon corps

- Les enfants ecouter, nous allons tous faire du bruit pour madame Akossou qui vient de faire un don pour vous

Et c'etait reparti de plus belle, on entendais crier de partout, c'etait la folie. Il me fallait ça afin de retrouver le sourire... Je me sentais vraiment bien avec ses enfants.... Je restais près d'une heure avec Emmanuel entrain de m'expliquer comment les choses se passait làbàs avec les enfants.. Je pris contact avec lui et promis de poursuivre ce dont mon mari avait commencer. Je repartais avec le sourire au lèvres. Ceci faisait partit d'une de mes meilleures journées depuis la disparution de mon homme

À suivre....